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Publié le (modifié)

Moi j'imprime en brouillon rapide, je perfore et je relie aec deux bandes plastiques (je sais plus le nom). Trés simple. Aprés, je vise pas la qualité esthétique d'une vraie couverture, mais ca suffit pour le confort de lecture.

Modifié par Joseph Debever
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Publié le

@Vincisme:

Tu peux tenter chez Kalikrea (imprimerie en ligne). Ils prennent les pdf, tu auras le choix du grammage du papier, du type de reliure, du type de couverture... J'ai fait faire quelques impressions il y a un peu plus d'un an, et j'en étais satisfait. Au niveau du délais d'attente de livraison, une fois le pdf envoyé, j'en avais pour en moyenne cinq jours ouvrés d'attente.

@PaulMagie:

J'en ai un (le kindle d'Amazon), c'est effectivement très pratique, mais lire un pdf dessus est vraiment pénible, faut sans arrêt zoomer, dé-zoomer (alors que les e-readers ne sont pas des foudres de guerre au niveau des performances), on passe plus de temps à patienter qu'à lire.

@magicdavidmagie:

Tu as été exaucé: http://www.ebouquin.fr/2011/02/07/parfumez-vos-livres-electroniques-a-lodeur-de-papier/

Parfois les gens n'aiment pas ma personnalité. Ce n'est pas grâve, j'en ai trois autres.

Publié le

L'odeur du papier ça n'existe pas, il y a plusieurs odeurs, celles de l'encre surtout. Pour l'odeur du papier, certaines sontatroces, comme celles des très vieux livres.

Moi j'ai un Kindle. J'en suis hyper satisfait.

Ce qui m'énerve c'est que certaines personnes à qui j'en parle et qui ne l'ont jamais essayé, me dise toujours la même chose "moi je ne pourrais pas, il me manquerait l'odeur du papier".

Je leur répond "n'importe quoi quand tu es pris dans la lecture de qqchose, tu voyages et tu oublies ce qu'il y a autour de toi. Ce qui compte dans un livre c'est le fond".

Croyez-moi y a pas mieux qu'un Kindle (ou autre lecteur d'ebook) pour lire un roman dans son lit. Pas besoin de tenir le livre ouvert, pas besoin de se tortiller car on voit mal le texte au niveau de la reliure...

Par contre pour l'instant ces appareils sont réservés surtout pour du texte (ce n'est pas pour la BD, les livres d'art...).

Pour nos livres de magie, s'ils étaient bien paramétrés au format du lecteur d'ebook, on pourrait avoir sa bibliothèque sur soit.

ceci dit j'adore les livres natamment pour la facilité d'accès à ce que l'on cherche : pas besoin d'énergie électrique, en une fraction de seconde on peut feuilleter le livre et avoir accès à la page souhaitée.

Melvin

Publié le

Pour ma part je n'ai jamais Autant lu que depuis que j'ai un iPad.

pour avoir eue en main un kindle et un ipad ce n'est pas du tout la même chose, l’écran spécial (encre électronique) du kindle est un vrais bijoux pour la lecture ;)

Si j’étais un peux plus modeste je serais parfait...^^

Publié le

Je possède aussi un reader (sony PRST 1 - les améliorations du 2 ne valent pas la différence de prix), le principal inconvénient du Kindle c'est les formats prix en compte (contrairement à beaucoup d'autres modèles), il vit encore d'une réputation fondée a l'époque où c'était le seul reader sur le marché.

Pour ceux qui s'intéressent à cette question, je vous conseille de coupler votre reader au soft Calibre (gratuit et libre, traduit en français, qui permet notamment de convertir vos ebooks au format de fichier de votre choix, et d'éditer les métadonnées très facilement, et bien d'autres choses encore).

Il existe beaucoup de comparatifs de tablette de lecture, prenez le temps de les lire en détail, et de refaire le tableau avec vos critères certains ont beaucoup d'importance pour le testeur et pas forcément pour vous (c'est comme ça que j'ai choisi le mien, et j'en suis ravi, je ne m'en sépare plus-je voyage pas mal c'est idéal pour emporter une bibliothèque, et je peux prendre des notes en direct sur l'écran.)

@Serval l'IPad n'est pas un reader, il possède (appstore) des appli lui permettant de lire des ebooks, mais le confort de lecture na rien de comparable avec un vrai reader a encre numérique et sans rétro éclairage.

Mon regard sur les publications Close-Up :

http://closeupcritique.wordpress.com/

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    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
    • J'ai toujours cru qu'une masterclass était un mot un peu branché pour parler d'un atelier en petit nombre sur un thème précis. Je n'ai jamais vu de conférence se nommant masterclass. Sinon, faisant partie d'un tout petit club qui organise deux conférences à l'année (Amiens), je rejoins ce qu'a dit Marc sur bien des points (mais pas sur l'éducation des jeunes qui,je pense, peuvent rester friands de "live"... Mais tout dépend avec qui. J'ai, par exemple, l'impression que le congrès organisé par Magic Dream rassemble plus de jeunes que, disons, le congrès FFAP).    Après, moi, ce que je préfère dans les conférences, ce sont souvent les échanges avant et après (de préférence au bar ou au restaurant, où ça part parfois en masterclass improvisées 😅)
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