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Excuse moi steeve je n'avait pas sauter ton post dans ma lecture sans faire gaffe. Effectivement tu semble avoir comprit la Jazz Magie tel que je le conçoit et tel que j'ai pu la comprendre moi même au travers des ouvrages que j'ai lu.

Savoir rebondir sur les coïncidences que nous donne par exemple le mélange d'un jeu de carte permet parfois de faire des miracles. Si bien que parfois on a plus envie de faire quoi que ce soit après avec notre jeu de carte.

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Quelques notions sur la différence entre improvisation et jazz magie, tirées du livre Secrets of Improvisational Magic, de Justin Higham.

The usual approach of performing set routines serves most magicians well enough most of the time. (...) such routines can be tailored via the subtler forms of improvisation (...). But some magicians may wish to abandon the set approach altogether, using full-on improvisation instead. Some magicians refer to this freestyle type of performing as "jazz magic".

(...)

Like improvisation, jazz magic may be considered paradoxical in that it involves "deliberate spontaneity". Whereas we wait for improvisations to occur within the context of an interactive routine of set effects, in jazz magic we improvise for more or less the whole show because we are "on a roll" creatively. In other words, we don't really set out to perform jazz, but find ourselves doing so because our creative impulses are firing on all cylinders.

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Bon je comprends le fait de faire face à un imprévu et de s'en sortir en cogitant rapidement.

Par contre partir devant des spectateurs sans rien de construit en ayant juste une vague trame et faire de la magie, je ne suis pas certain que ce soit très bon.

D'ailleurs c'est le même pb avec la musique : le jazz est une bonne musique d'ambiance mais c'est assez inécoutable dans un concert à moins d'être un adepte.

Le pb c'est que tous les gens qui m'ont dit être adepte de jazz en musique, je ne sais pas si c'était du vrai amour pour cette musque ou bien si c'était une attitude prétentieuse (que j'ai souvent soupçonnée) pour faire bien.

Melvin

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Le but n'est pas forcément de faire que cela, mais de réaliser ton programme classique et dès l'instant que tu tombe par exemple sur un ordre intéressant dans ton jeu de cartes tu te permets un petit miracle.

Ex: Une carte est choisie et signée, tu réalises ton tour classique et donne le jeu à mélanger à la fin, comme par miracle lorsque tu récupères le jeu et peek la carte du dessus et celle du dessous. Tu te rends compte qu'avec le mélange du spectateur la carte choisie et signée est revenue sur le dessus, tu ne vas pas laisser cette coïncidence te passer sous le nez. Une petite ambitieuse n'est pas une mauvaise idée, NON...

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Ok, là il s'agit de saisir une occasion de manière éventuelle du fait, non pas d'une action imprévue du spectateur, mais d'une disposition particulière du matériel ou de l'environnement, te permettant de faire un effet non prévu initialement.

Il s'agit alors de saisir une occasion qui se présente à soi pour effectuer un effet magique.

Melvin

Publié le

C'est de la Jazz magie

Encore faut-il mettre à profit cette disposition particulière du jeu. Lorsque le jeu est mélangé par un spectateur que un roi se trouve sur le dessus et un roi en dessous il est évident que je vais les utiliser. Ce n'est qu'un exemple bien sur.

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Presque Melvin, selon moi la jazz magie sert à:

- saisir une occasion pour effectuer un effet non prévu ;

- partir avec un tour qui peut se passer de différentes façons.

Retomber sur nos pattes par la technique ou autre c'est plus de l'improvisation.

Disons que dans la Jazz Magie, tu peut pas vraiment décider le quand. Vu que tu pourra en faire que dans certaines conditions que tu ne contrôle pas.

Même dans le tour que l'on ne peut expliquer, tu sait quand tu commence. Mais jamais quand tu va le finir.

Après en effet tu peut adopter des habitudes ou autre pour "forcer" un peu la chance et faire en sorte qu'il y est plus de probabilité qu'une "coïncidence" voit le jour.

Exemple steeve parle de faire un peek de la carte du dessus pour potentiellement partir en ambitieuse. En effet tu as 1 chance sur 52 d'avoir cette coïncidence. Encore faut t'l prendre le reflex de faire un peek systématique ou presque de la carte du dessus après un mélange du spectateur.

Ensuite forcément si tu peek les deux cartes du dessus tu auras 1/26 de proba. Si tu en peek trois tu auras 1/17 etc etc.

En partant par exemple sur le principe que l'on peut facilement aller jusqu'à la levé triple sans trop de soucis.

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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