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La Cause Animale


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Quand au nitrates ajoutés aux charcuteries industrielles (et qui a fait le gros du documentaires récent de cash Investigation sur France 2) on oublie de dire que dans les fruits et légumes il y a parfois 10 ou 20 fois plus de nitrates que dans ces charcuteries ! On oublie aussi de dire que ce qui est cancérigène ce ne sont pas les nitrates mais les nitrosamines et qu'ils se forment à haute temperature et donc que dans le frigo aucune réaction ne se passe,

Il me semble qu'on en a déjà parlé. Les nitrosamines ne se forment pas dans le frigo, mais sont la conséquence de la cuisson prolongée et à haute température des salaisons (bacon, jambon)...

Quant aux fruits et légumes, justement ils préviennent la formation de nitrosamines dans l’organisme et fournissent une bonne dose d’antioxydants.

(une source)

Je pense qu'il y a pression de groupes, d'assoc. qui défendent les animaux pour faire passer leurs idées en mettant en avant des données partielles sur la viande. C'est intellectuellement inadmissible.

Mais désormais les rapports de force se font ainsi : de petits groupes qui influencent l'opinion médiatique qui influencera ensuite l'opinion publique.

Ces associations, sous couvert de défendre tout le monde, défendent en fait leurs intérêts.

S'il y a un rapport de force, il est entre des grands groupes financiers (les industriels de l'alimentaire) et des associations dont les seuls intérêts sont non lucratifs. Y a pas photo !

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je pense que les industriels de l'alimentaire procèdent de la même façon que ces associations dont le but n'est pas lucratif mais de distiller leurs idées à tout le monde (c'est ce qui se passe avec les féministes, ...).

la bonne attitude est de se méfier des deux. Il n'y a pas un bon, et un méchant, mais deux méchants.

Melvin

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je pense que les industriels de l'alimentaire procèdent de la même façon que ces associations dont le but n'est pas lucratif mais de distiller leurs idées à tout le monde (c'est ce qui se passe avec les féministes, ...).

la bonne attitude est de se méfier des deux. Il n'y a pas un bon, et un méchant, mais deux méchants.

Il faut être vigilant envers toutes les infos, et en regarder la source. Dans le rapport de force dont tu parles, il y a d'un côté des multinationales qui brassent des milliards, et de l'autre des associations dont la seule force est celle de leurs adhérents. D'un côté, des intérêts financiers qui n'ont que faire de notre santé, et de l'autre, des gens comme toi et moi qui se rendent compte qu'on veut leur faire avaler n'importe quoi au nom du pognon. Alors oui, ces gens veulent évidemment faire connaître ces idées, c'est bien naturel, et dans le rapport de force, il y a le pognon d'un côté, auquel les medias ouvrent grand la porte, et de l'autre côté, il n'y a que la force des arguments et souvent, la force de la vérité.

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Non, les nitrates sont rajoutés après la préparation des viandes et des charcuteries (cuisson) pour permettre leur conservation.

Voilà donc d'autres sources :

Ce dangereux phénomène se produit lors des cuissons à haute température, en présence d’acides aminés.

Il existe de nombreuses formes différentes de nitrosamines, et la plupart sont de puissants cancérigènes. Ils sont parmi les principaux cancérigènes de la fumée de tabac, par exemple.

Dans la mesure où les viandes grillées, saucisses, bacon et autres tendent à contenir beaucoup de nitrite de sodium et qu’elles sont riches en protéines (la source des acides animés), les exposer à de hautes températures provoque les conditions idéales pour la formation de nitrosamine.

https://www.santenatureinnovation.com/faut-il-craindre-les-nitrates-et-les-nitrites/

Et aussi :

http://gourmandisesansfrontieres.fr/2014/08/jai-reve-de-charcuteries-sans-nitrites-ni-nitrates/

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Non, les nitrates sont rajoutés après la préparation des viandes et des charcuteries (cuisson) pour permettre leur conservation.

Voilà donc d'autres sources :

Ce dangereux phénomène se produit lors des cuissons à haute température, en présence d’acides aminés.

Il existe de nombreuses formes différentes de nitrosamines, et la plupart sont de puissants cancérigènes. Ils sont parmi les principaux cancérigènes de la fumée de tabac, par exemple.

Dans la mesure où les viandes grillées, saucisses, bacon et autres tendent à contenir beaucoup de nitrite de sodium et qu’elles sont riches en protéines (la source des acides animés), les exposer à de hautes températures provoque les conditions idéales pour la formation de nitrosamine.

https://www.santenatureinnovation.com/faut-il-craindre-les-nitrates-et-les-nitrites/

Et aussi :

http://gourmandisesansfrontieres.fr/2014/08/jai-reve-de-charcuteries-sans-nitrites-ni-nitrates/

Oufff... je pourrais continuer à manger mon jambon tranquille !

Melvin

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"Comme dans le cas de la viande transformée, l’IARC a retenu pour son analyse un certain nombre d’études épidémiologiques. Or d’après le texte même du pré-rapport, la moitié seulement de ces études rapportent une augmentation du risque statistique associé au niveau de consommation de viande rouge. Dans l’hypothèse où existerait réellement un lien de causalité entre viande rouge et cancer colorectal, comment expliquer que la moitié des études retenues ne décèlent pas d’association ?"

« [...] la moitié seulement de ces études rapportent une augmentation du risque statistique associé au niveau de consommation de viande rouge », donc une étude sur deux rapporterait un lien de causalité entre viande rouge et cancer colorectal ! -8 , on comprend du coup que certains trouvent cela énorme et s’inquiètent vraiment de la question. De ton point de vue, Melvin, ça jette surtout un voile de doute sur la fiabilité globale des études. L’expression « Dans le doute, abstiens-toi » prend donc tout son sens : les végétariens, les prudents, les craintifs et autres soucieux de leur santé, de celle de leurs proches – et du bien-être animal par la même occasion – s’abstiennent de consommer de la viande rouge, les sceptiques eux (ceux de la doxa « officielle » s’entend) s’abstiennent de prendre en compte des études dont les statistiques paraissent antinomiques et se refusent à se positionner en lanceurs d’alerte.

Un lanceur d'alerte est une personne qui révèle des informations apparaissant comme illégales ou immorales.

Il s'agit d'une personne ou d'un groupe qui estime avoir découvert des éléments qu'il considère comme menaçants pour l'homme, la société, l'économie ou l'environnement et qui, de manière désintéressée, décide de les porter à la connaissance d'instances officielles, d'associations ou de médias, parfois contre l'avis de sa hiérarchie.

À la différence du délateur, le lanceur d'alerte est de bonne foi et animé de bonnes intentions : il n'est pas dans une logique d'accusation visant quelqu'un en particulier mais affirme divulguer un état de fait, une menace dommageable pour ce qu'il estime être le bien commun, l'intérêt public ou général. Le (ou la) lanceur(se) d'alerte prend des risques réels au nom de la cause qu'il entend défendre et diffuser : il met souvent en risque sa santé financière ou physique, la tranquillité de son couple ou de sa famille, sa sécurité personnelle, et son image (en cas de médiatisation, son nom et son visage sortent alors de l'anonymat – au sens de non-célébrité). Les lanceurs d'alertes sont régulièrement l'objet de poursuites-bâillons : des procédures judiciaires dont le but réel est de censurer et ruiner un détracteur.

Définition :

S'inspirant des travaux sociologiques sur les sciences et les risques menés par Chateauraynaud et Torny, la Fondation Sciences Citoyennes définit ainsi le lanceur d'alerte :

« Simple citoyen ou scientifique travaillant dans le domaine public ou privé, le lanceur d’alerte se trouve à un moment donné, confronté à un fait pouvant constituer un danger pour l’homme ou son environnement, et décide dès lors de porter ce fait au regard de la société civile et des pouvoirs publics. Malheureusement, le temps que le risque soit publiquement reconnu et s’il est effectivement pris en compte, il est souvent trop tard. Les conséquences pour le lanceur d’alerte, qui agit à titre individuel parce qu’il n’existe pas à l’heure actuelle en France de dispositif de traitement des alertes, peuvent être graves : du licenciement jusqu’à la « mise au placard », il se retrouve directement exposé aux représailles dans un système hiérarchique qui ne le soutient pas car souvent subordonné à des intérêts financiers ou politiques. »

Est un lanceur d’alerte, selon le Conseil de l’Europe, « toute personne […] qui révèle des informations concernant des menaces ou un préjudice pour l’intérêt général dans le contexte de sa relation de travail, dans le secteur public ou privé ».

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Lanceur_d%27alerte

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