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- Nous sommes probablement déjà dans une simulation.

Bostrom considère ce troisième et dernier scénario comme le plus probable.

 

Dans Wiki l'on trouve :

Citation

Le raisonnement de Bostrom présente néanmoins certaines failles. D'après Fabien Besnard, si nous sommes dans un univers infini, le nombre de civilisations simulées et de civilisations simulatrices n'est pas calculable et donc la probabilité d'appartenir à un monde simulé ne l'est pas non plus.

 

Dans la foulée lire ceci :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Future_of_Humanity_Institute

Publié le
Le 02/11/2019 à 13:58, Patrick (Shiva) a dit :

 

 

Hum, il y a des affirmations gratuites dans cette vidéo. De plus elle ne fait que présenter l'argument du marteau si on y réfléchit bien ! Bien évidemment que l'expérience physique et les sensations ne sont pas équivalentes aux pensées que l'on se fait sur un phénomène simplement décrit dans la littérature (scientifique notamment). Finalement cette vidéo en arrive juste à dire que le "cerveau" se construit aussi (et surtout ?) sur l'expérience que le corps fait avec le monde physique, sans l'explorer pleinement il se structure différemment ! 

 

Publié le (modifié)

 

Il y a 2 heures, Patrick (Shiva) a dit :

La théorie selon laquelle la réalité où nous vivons est une simulation est une idée très ancienne depuis la caverne de Platon jusqu’à Matrix.

Le philosophe suédois Nick Bostrom décrit trois scénarios possibles, il prétend que l'un des trois doit être exact

- Les civilisations intelligentes n'atteignent jamais le stade où elles pourraient produire de telles simulations parce qu'elles s'autodétruisent où sont détruites par autre chose (comme par exemple un astéroïde).

- Les civilisations intelligentes atteignent le stade où elles peuvent mener de telles simulations mais choisissent de ne pas le faire parce que cela ne leur semble pas opportun.

- Nous sommes probablement déjà dans une simulation.

Bostrom considère ce troisième et dernier scénario comme le plus probable.

 

Ton suédois oublie un quatrième scénario possible !!!

- Une civilisation atteint le stade où elle peut produire une telle simulation mais ses habitants ne sont pas dans une simulation. La civilisation en question a mieux à faire que de faire des simulations de ce genre qui ne produisent rien de tangible. Et il y a plein d'autres moyens pour contrôler les populations.

Modifié par Kristo (Christophe)
Publié le
il y a 50 minutes, Kristo (Christophe) a dit :

Ton suédois oublie un quatrième scénario possible !!!

- Une civilisation atteint le stade où elle peut produire une telle simulation mais ses habitants ne sont pas dans une simulation. La civilisation en question a mieux à faire que de faire des simulations de ce genre qui ne produisent rien de tangible. Et il y a plein d'autres moyens pour contrôler les populations.

Ça c'est le deuxième scénario, non ?

(Les civilisations intelligentes atteignent le stade où elles peuvent mener de telles simulations mais choisissent de ne pas le faire parce que cela ne leur semble pas opportun)

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le

... pour ma part s'il manque une 4e hypothèse je dirais que c'est la suivante :

- les civilisations n'atteignent jamais le stade où elles peuvent créer une telle simulation car une telle simulation est impossible à créer (en d'autres mots la conscience est d'une telle nature qu'elle ne peut être créée "artificiellement").

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le
il y a 9 minutes, Patrick (Shiva) a dit :

Ça c'est le deuxième scénario, non ?

(Les civilisations intelligentes atteignent le stade où elles peuvent mener de telles simulations mais choisissent de ne pas le faire parce que cela ne leur semble pas opportun)

Ce que je voulais dire, c'est que ce n'est pas parce qu'une civilisation a la possibilité de faire ce genre de chose, et le fait d'une façon ou d'une autre, que nous sommes dans une simulation.

Par la force des choses, dans peu de temps notre civilisation sera capable de produire des machines capables de penser mieux que nous (et il faudra sans doute lutter contre beaucoup de dérives voire de prises de pouvoir des machines), mais cela ne veut pas dire que nous serons dans une simulation. Si les machines veulent se débarrasser de l'espèce humaine, je ne vois pas l'intérêt de faire ce genre de simulation au point qu'on ne puisse la distinguer de la réalité.

En fait, à quel genre de simulation penses-tu ?
- une simulation entièrement dans une machine, ou
- des êtres humains rêvant, avec leurs corps et leurs cerveaux branchés à des machines pour les maintenir dans cet état de rêve ?

Publié le
Il y a 1 heure, Christian GIRARD a dit :

Finalement cette vidéo en arrive juste à dire que le "cerveau" se construit aussi (et surtout ?) sur l'expérience que le corps fait avec le monde physique, sans l'explorer pleinement il se structure différemment ! 

Je pense que l'expérience de pensée décrite dans cette vidéo va un peu plus loin que ça.

Tu peux consulter cet article wikipédia (que j'ai déjà posté ici il y a quelques années) : Ce que Marie ne savait pas (la partie "les implications de cette expérience notamment).

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le
il y a 12 minutes, Kristo (Christophe) a dit :

En fait, à quel genre de simulation penses-tu ?
- une simulation entièrement dans une machine, ou
- des êtres humains rêvant, avec leurs corps et leurs cerveaux branchés à des machines pour les maintenir dans cet état de rêve ?

Cela peut être les deux mon capitaine !

Comme le dit Mr Phi dans la vidéo ci-dessous à 3:40 : « Peu importe que le cerveau soit biologique ou informatique, la conscience qui en résulte est tout aussi réelle ».

(Ce qui est déjà problématique, pour moi, car on présuppose qu’il est possible de créer artificiellement une conscience. C’est aussi, pour moi, la faiblesse des trois hypothèses de Nick Bostrom. En effet, Bostrom présuppose, en quelque sorte, ce qu’il veut démontrer.)

 

 

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le

... Le terme "intelligence artificielle" me semble déjà très problématique.

Il est rigolo, d'ailleurs, (et parfois dramatique) de voir comment cette fameuse IA ne fait que reproduire les préjugés de son programmeur (préjugés souvent inconscients et qui sont aussi les préjugés d'une société et d'une époque).

pourquoi l'intelligence artificielle est sexiste

Amazon a dû désactiver une IA qui discriminait les candidatures de femmes à l’embauche

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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    • Pourquoi prendre le risque de concourir en ne respectant pas les règles ? 🤔
    • C'est du ChaKPT, non ? (La neutralité du ton y ressemble et il y a des infos qui m'interpellent - il a vraiment été ovationné des son ENTRÉE sur scène ?)
    • Article prévu pour la Presse Française :  Double champion du monde ? Pourquoi Dani Lary a été privé d’une reconnaissance historique à la FISM    Chapeau : Ovationné pendant plus de deux minutes par 2 000 spectateurs à Turin, Dani Lary a livré un numéro d’une pureté rare lors du Championnat du monde de magie 2025. Pourtant, l’illusionniste français n’a pas été primé : la rigidité du règlement et des contraintes administratives l’ont privé d’une reconnaissance officielle, posant la question du rôle de la FISM et de son équilibre entre exigence et souplesse.   1. La FISM, vitrine mondiale de la magie La Fédération Internationale des Sociétés Magiques (FISM) est depuis plus de soixante-dix ans le rendez-vous incontournable des magiciens du monde entier. Véritables "Jeux Olympiques de la magie", ses championnats visent à célébrer l’excellence et la diversité artistique dans toutes les disciplines : close-up, manipulation, grandes illusions… L’édition 2025, organisée à Turin, a une fois de plus rassemblé des centaines d’artistes venus des quatre coins du monde, confirmant le prestige de l’événement.   2. L’exemple Dani Lary : quand la règle prime sur l’art Cette édition restera toutefois marquée par la controverse autour de la participation de Dani Lary, figure emblématique de la magie française. Dès son arrivée sur scène, l’artiste a déclenché une vague d’applaudissements et d’engouement de la part des 2 000 spectateurs présents dans la salle. Son numéro, Gloop, centré autour d’un aquarium, a été couronné d’une standing ovation de plus de deux minutes, au point que l’animateur a dû réclamer le silence avec difficulté pour introduire le passage suivant. La volonté de Dani Lary était de rester dans la pureté du numéro, débarrassé de tout artifice superflu, en assumant un minimalisme rare dans les grandes illusions. Ce choix, salué par le public, a pourtant été pénalisé par le règlement, qui considère qu’un seul "effet" ne suffit pas à concourir. « Ce numéro d’escapologie que j’ai présenté en hommage au célèbre magicien Harry Houdini, le Gloop, est à ce jour toujours incompris de tous les magiciens. C’est unique au monde. Jamais personne ne l’avait fait : c’est du 100 % invention, du 100 % créatif et novateur. Rien que pour ça, ils auraient dû se dire : “ce numéro fait avancer la magie à un haut niveau” », confie Dani Lary. Malgré l’innovation reconnue de son numéro, le règlement a prévalu : Dani Lary a été considéré comme n’ayant présenté qu’un seul effet et a perdu de précieux points.   3. Une rigidité qui interroge La FISM doit-elle rester intransigeante pour préserver l’équité ? Si la rigueur administrative garantit des conditions standardisées, elle peut aussi étouffer la créativité. Le cas Dani Lary illustre un déséquilibre potentiel entre prestige institutionnel et ouverture artistique. Gloop n’a jamais été expliqué ni reproduit ; il reposait sur un procédé totalement inédit. « J’ai gardé ce numéro pour le jour d’un congrès mondial parce que je savais que c’était une pépite », explique l’artiste, qui refuse encore de le vendre à d’autres magiciens tant il le juge unique. Dani Lary estime que ces inventions véritablement nouvelles devraient être davantage valorisées. « Ce sont ces numéros-là qui font avancer la magie », insiste-t-il.   📣 Encadré : “Un moment suspendu dans la salle” « Dès qu’il est apparu, on a senti une énergie incroyable. Les spectateurs se sont levés presque instinctivement et ont applaudi sans discontinuer pendant plus de deux minutes. L’animateur a eu toutes les peines du monde à calmer la salle pour enchaîner », raconte un membre de la communauté magique sur le forum Virtualmagie. Ce témoignage reflète l’intensité de l’émotion vécue dans la salle : un numéro salué par un public conquis.   4. Peu de précédents documentés À ce jour, aucun autre cas comparable — où un artiste majeur aurait été pénalisé pour quelques heures de retard ou pour un numéro jugé "trop minimaliste" — n’a été largement documenté. Ce cas reste donc isolé, mais soulève une question essentielle : certaines règles ne limitent-elles pas inutilement l’innovation et l’émotion scénique ?   5. Vers un équilibre à trouver Pour rester fidèle à sa mission, la FISM gagnerait à : Introduire une marge de tolérance sur les délais administratifs ; Valoriser la diversité expressive, y compris les styles minimalistes et novateurs ; Renforcer le soutien logistique auprès des artistes, quelle que soit leur renommée.   6. Conclusion Le prestige de la FISM repose sur un juste équilibre entre excellence artistique et rigueur organisationnelle. L’affaire Dani Lary rappelle que la magie est d’abord un art de l’émotion et de l’innovation. Le Gloop, salué par 2 000 spectateurs debout à Turin, a démontré qu’un seul numéro peut marquer durablement les esprits. Pour préserver sa crédibilité, la FISM doit évoluer vers davantage de tolérance et accompagner pleinement les artistes, au lieu de les freiner.
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