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Quand on voit toutes les horreurs qui sont pratiquées sur cette terre , ne peut on avoir un doute sur DIEU .

Ce DIEU que tant de personnes vénèrent est il si bon que cela .

Que fait il pour les malheureux ?

Ne dit on pas : " QUI NE DIT RIEN CONSENT "

Alors ?

Plutôt que de se dire que Dieu n'existe pas, au vu des horreurs terrestres, ne serait-il pas plus sage de se demander si ce n'est pas plutôt à l'homme qu'incombe ces horreurs ?(...)

Oui, c'est l'humain qui est responsable de ses actes...

d'autant que dieu n'existant pas, on ne peut chercher d'explication supérieure à nos agissements.

N'est-ce donc pas se dédouaner de sa propre responsabilité que de dire "Que fait Dieu pour ces malheureux ?"

Ce serait le cas pour quelqu'un qui croit en dieu. Quelqu'un qui ne croit pas y verra, par contre, un argument supplémentaire pour ne pas y croire; comme l'explique Tinet, sans doute.

Dieu est une idée, elle existe donc dans l'esprit des hommes et femmes qui l'ont inventé et de ceux et celles qui y croient depuis.

Oui ! ... C'est un peu comme le monde et l'univers... c'est une idée (une sensation, un rêve) qui n'existe que dans l'esprit des hommes.

mdr

Le monde n'étant pas seulement un rêve, je pense mdr

cf l'expérience du marteau que je propose dans le sujet sur la réalité de l'existence.

Publié le

Le monde n'étant pas seulement un rêve, je pense mdr

cf l'expérience du marteau que je propose dans le sujet sur la réalité de l'existence.

Tu n'as pas l'air sûr à 100 % (qu'il existe le monde ! ).

On avance... On avance ! mdr

Quand tu auras perdu toute certitude absolue sur l'existence du monde, tu pourras t'attaquer (en bon sceptique) à déconstruire la certitude de ta propre existence (très bon exercice aussi mdr ).

Quant à l'expérience du marteau, elle prouve l'existence de la sensation et de la souffrance mais en aucun cas l'existence du monde.

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le
Le monde n'étant pas seulement un rêve, je pense mdr

cf l'expérience du marteau que je propose dans le sujet sur la réalité de l'existence.

Tu n'as pas l'air sûr à 100 % (qu'il existe le monde ! ).

On avance... On avance ! mdr

Pour ma part j'en suis sûr, mais je conçois que d'autres ne le soient pas.

Quand tu auras perdu toute certitude absolue sur l'existence du monde, tu pourras t'attaquer (en bon sceptique) à déconstruire la certitude de ta propre existence (très bon exercice aussi mdr ).

C'est sans doute un bon jeu, ou une bonne expérience, mais attention à ne pas y laisser la santé :crazy:

Quant à l'expérience du marteau, elle prouve l'existence de la sensation et de la souffrance mais en aucun cas l'existence du monde.

Ce n'est pas seulement une sensation, car comme je le disais dans l'autre sujet :

je peux te garantir que si le coup de marteau est assez fort, le crâne est défoncé.

Cela suffit à prouver que ce n'est pas une illusion sensorielle.

Enfin, pour celui qui est encore vivant pour le constater.

Publié le

je peux te garantir que si le coup de marteau est assez fort, le crâne est défoncé.

Cela suffit à prouver que ce n'est pas une illusion sensorielle.

Enfin, pour celui qui est encore vivant pour le constater.

Oui…

On peut, d'ailleurs, multiplier les exemples à l’infini :

Si je lance un pavé dans la vitrine, il y a des chances que la vitrine se fracasse.

Si je fais pipi sur ma chaussure, ma chaussure sera mouillée.

Etc…

Ok… !

Mais je ne fais que décrire là un phénomène et une loi physique. La description du phénomène ne me renseigne pas sur la nature ultime du phénomène, ni sur son existence réelle.

Dans un rêve aussi il y a des phénomènes et des lois. Décrire le rêve n’établit pas sa réalité.

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le
Mais je ne fais que décrire là un phénomène et une loi physique. La description du phénomène ne me renseigne pas sur la nature ultime du phénomène, ni sur son existence réelle.

Dans un rêve aussi il y a des phénomènes et des lois. Décrire le rêve n’établit pas sa réalité.

Dans un rêve, tente l'expérience du marteau. Je te parie qu'une fois tu rêveras que t'auras mal, une autre fois que t'es mort, une autre fois t'auras même pas mal et le marteau se transformera en guimauve... Dans les rêves, les lois physiques ne se vérifient pas, c'est à dire qu'un phénomène n'est pas toujours reproduisible à l'identique.

Bref, dans un rêve tu pourras parfois penser être dans la réalité, puis tu en sortiras, au bout d'un moment, au pire au bout de la nuit.

Dans le monde réel, tu pourras faire X fois l'expérience du marteau, dans des conditions identiques (p.ex. sur terre, avec une masse de 2 kg et un crâne humain moyen), elle fonctionnera toujours.

(Les enfants, ne faites pas ça chez vous)

Publié le (modifié)
Ce serait le cas pour quelqu'un qui croit en dieu. Quelqu'un qui ne croit pas y verra, par contre, un argument supplémentaire pour ne pas y croire; comme l'explique Tinet, sans doute.

Si déjà la personne pose la question, c'est que déjà il y a un début de foi. Une légère étincelle qui ne demande qu'à croire.

Sinon, la question ne se pose pas.

Après, vient la question du libre arbitre. Comment peut-on vouloir que Dieu intervienne (même pour le bien) sans toucher au libre arbitre, à la volonté même de l'Homme ? On en revient alors à la responsabilité même de l'Homme.

On ne peut donc faire des malheurs de la Terre la preuve que Dieu n'existe pas. J'irai même plus loin en disant que c'est parce que l'Homme existe que les malheurs cités auparavant sont là. D'ailleurs, si Dieu n'existe pas, la réponse est encore plus claire quant à la responsabilité humaine -et non de l'absence d'un dieu- dans certains de ces malheurs...

Modifié par tanhouarn

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

Publié le
Ce serait le cas pour quelqu'un qui croit en dieu. Quelqu'un qui ne croit pas y verra, par contre, un argument supplémentaire pour ne pas y croire; comme l'explique Tinet, sans doute.

Si déjà la personne pose la question, c'est que déjà il y a un début de foi. Une légère étincelle qui ne demande qu'à croire.

Sinon, la question ne se pose pas.

Pas forcément, il peut vouloir avancer des arguments pour débattre et convaincre autour de lui. Je me suis peut-être un peu mal exprimé.

Après, vient la question du libre arbitre. Comment peut-on vouloir que Dieu intervienne (même pour le bien) sans toucher au libre arbitre, à la volonté même de l'Homme ? On en revient alors à la responsabilité même de l'Homme.

Ou alors c'est plus simple : ça prouve l'existence du diable.

Coluche en parlait assez justement dans un sketch.

On ne peut donc faire des malheurs de la Terre la preuve que Dieu n'existe pas. J'irai même plus loin en disant que c'est parce que l'Homme existe que les malheurs cités auparavant sont là. D'ailleurs, si Dieu n'existe pas, la réponse est encore plus claire quant à la responsabilité humaine -et non de l'absence d'un dieu- dans certains de ces malheurs...

D'accord avec ta conclusion, c'est l'humain qui est responsable des dégâts qu'il cause. Il est parfois sous influence (ou utilise l'alibi) de telle ou telle religion pour justifier ses actes mais c'est une autre histoire.

  • 2 months plus tard...
Publié le
Tiens avez-vous vu le film The Magdalene Sisters ? Il est terrible)

En effet, il est terrible, mais finalement porteur d'espoir tu ne trouves pas ?

***

J'ajoute cette info assez surprenante (quoique...).

Le dalaï-lama a affirmé dimanche dans un entretien à la presse allemande qu’il entendait être le dernier chef spirituel tibétain et mettre un terme à une tradition religieuse vieille de plusieurs siècles.

Article à lire ici :

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2014/09/08/le-dalai-lama-estime-qu-il-n-a-pas-besoin-de-successeur_4483462_3216.html

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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