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A mon avis, les équations qui régissent l'univers résultent d'un équilibre, une harmonie, de l'énergie et de la matière qui le constituent.

Oui, mais quelle est l'origine de cette harmonie et de cet équilibre ?

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

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J'utiliserais pas le terme harmonie, mais l'origine de tout ça, c'est le Big Bang (ou notre Big Bang pour les plus téméraires... :D ).

Après c'est le débat du destin ou du hasard. Du "pourquoi?" ou du "comment?".

[video:youtube]

Modifié par munky
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A mon avis, les équations qui régissent l'univers résultent d'un équilibre, une harmonie, de l'énergie et de la matière qui le constituent.

Oui, mais quelle est l'origine de cette harmonie et de cet équilibre ?

C'est naturel...

Si cette réponse ne te convient pas, en voilà une plus spirituelle : ça a toujours existé et c'est à l'origine de toute chose...

J'utiliserais pas le terme harmonie, mais l'origine de tout ça, c'est le Big Bang (ou notre Big Bang pour les plus téméraires... :D ).

Je pense que l'univers existait avant le big bang, qui a sans doute été précédé d'un big crunch... et se terminera de la même façon... et il y a peut-être aussi, d'autres univers en dehors du nôtre.

Quant à savoir si les lois de la physique y sont les mêmes, c'est une bonne question... certaines oui, d'autres non sans doute...

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Tu pense donc que c'est une boucle. Que notre univers se répète inlassablement? Ça semble quelque peu opposé à l'idée de multivers justement.

Le multivers est une résultante d'un problème physique. On ne peut pas prouver que notre univers est le seul, c'est qu'il doit y en avoir d'autre (rapport à la valeur de l'énergie noire,

).

L'idée est séduisante, encore plus lorsque l'on extrapole et que l'on ajoute un peu de trous noirs dans la soupe... comme dans le Cosmos de la semaine dernière. :)

On attendra le prochain Einstein avant de choisir un point de vue, mais la sensation de vertige est agréable.

Publié le
Tu pense donc que c'est une boucle. Que notre univers se répète inlassablement?

Oui,

mais je doute qu'on puisse trancher là dessus un jour.

Difficile de savoir si on est au dessus ou en dessous de la densité critique.

Ça semble quelque peu opposé à l'idée de multivers justement.

Je ne pense pas, mais je me trompe peut-être.

Le multivers est une résultante d'un problème physique. On ne peut pas prouver que notre univers est le seul, c'est qu'il doit y en avoir d'autre (rapport à la valeur de l'énergie noire,
).

L'idée est séduisante, encore plus lorsque l'on extrapole et que l'on ajoute un peu de trous noirs dans la soupe... comme dans le Cosmos de la semaine dernière. :)

On attendra le prochain Einstein avant de choisir un point de vue, mais la sensation de vertige est agréable.

Merci pour la video, je tâcherai de la regarder.

Je pensais que tu parlais de "Cosmos a SpaceTime Odyssey" qui est diffusé depuis le mois dernier sur des chaines anglophones.

Publié le (modifié)

Oui pour les trous noirs, je parle bien de Cosmos a Spacetime Odissey.

Le lien que je t'ai mis est un doc plus ancien en 4 parties, sur la physique quantique, ou tout du moins ses origines et applications.

Ta théorie de boucle est aussi plausible que le reste, vis à vis de ce qu'on l'on appréhende du temps. Et c'est vrai que ça n'est pas forcément incompatible avec le multivers, peut être contre intuitif est plus juste pour exprimer mon point de vue.

Peut être vis à vis de l'entropie. Bon c'est surement idiot, car c'est penser que ce qui s'applique à notre échelle s'applique partout, et qu'il serait possible avec un point de vue extérieur de trouver un shéma qui englobe tout.

L'idée me séduit, mais c'est aussi valable que toute forme de croyance.

What is the matrix... ;)

Modifié par munky
Publié le

Apparitions mariales à l’Île-Bouchard

Le 8 décembre 1947 en début d’après-midi, à l’Île-Bouchard, quatre petites filles ont vu dans l’église paroissiale Saint-Gilles une apparition de la Vierge Marie accompagnée de l’ange Gabriel. Les apparitions durent jusqu’au 14 décembre 1947. La paroisse, d’abord sceptique, finira par être convaincue. Une guérison inexplicable de la vue d’une des voyantes, un rayon de soleil extrêmement vif, qui suit un trajet impossible, constituent des signes pour les assistants.

Le sanctuaire est depuis l’objet d’un pèlerinage. Par décret du 8 décembre 2001, à la suite d’une enquête, Monseigneur André Vingt-Trois, alors archevêque de Tours, « autorise ces pèlerinages et le culte public célébré en l'église paroissiale Saint-Gilles de L'Île-Bouchard ».

La "guérison inexplicable de la vue d’une des voyantes" est quand même une formulation exagérée ; ladite voyante n'était pas aveugle, comme on peut l'entendre ci-dessous dans ce témoignage qui, si on le met en doute, peut au moins s'écouter comme un joli conte.

Témoignage de Jacqueline Aubry, l'une des enfants qui virent, en décembre 1947, la Sainte Vierge dans l'église de l'Île-Bouchard.

Les archives soviétiques ont montré qu'au même moment, l'URSS fomentait un coup d'État contre la France... ce que les Français, bien entendu, ignoraient, et plus encore dans les campagnes.

[video:youtube]

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Jamais entendu parler de projet de coup d'état en 1947... et une recherche gougueul de "1947 URSS projet coup d'État contre la France" ne donne rien, dommage ;)

Pour l'instant, moi non plus. Inversement, on a beaucoup entendu parler d'armes de destructions massives avant l'intervention en Irak, et il n'y en avait pas. ;)

La "guérison inexplicable de la vue d’une des voyantes" est quand même une formulation exagérée ; ladite voyante n'était pas aveugle, comme on peut l'entendre ci-dessous dans ce témoignage qui, si on le met en doute, peut au moins s'écouter comme un joli conte.

Comme dans tous les jolis contes, il faut laisser aller son imaginaire... :)

La voyante qui fait état de ses problèmes de vue :whistle: n'était donc pas nécessairement clairvoyante. ;)

Quand on lit un peu tous les témoignages liés à des (prétendues) apparitions mariales (ou autres phénomènes surnaturels), les éléments qui peuvent être facilement mis en lien avec des événements réels (ultérieurs ou extérieurs par exemples) sont largement exploités pour donner du crédit aux voyants (et ensuite au dogme, par voie de conséquence). Par contre, les inexactitudes sont souvent interprétées comme dues à une mauvaise interprétation des différents "niveaux" du message, comprendre qu'il se mêlerait dans lesdits messages des plans liés à du "réel à venir" et du purement symbolique, comprendre aussi que les messages de l'au-delà (un au-delà lié à l'éternité qui est une autre façon de concevoir l'intemporalité) serait une sorte de patchwork de passé, de présent et de futur :crazy: qui nécessiterait une formation spirituelle et théologique permettant de démêler le vrai du faux (ou plutôt l'acté du symbolique). De plus, les annonces d'événements à venir sont rarement datés ce qui fait qu'on a tout loisir d'attendre indéfiniment un événement collant avec la "prédiction" et qui finira sans doute par se produire. Dans le cas du miracle de Fatima, la "prédiction" des voyants pour ce qui concerne le "miracle" était précise (90 jours à l'avance) ce qui en fait un cas un peu à part. Il y a d'autres éléments purement probabilistes que je ne développe pas mais qui permettent par exemple, sur un grand nombre de "voyances", d'en obtenir certaines paraissant plus authentiques que d'autres. Néanmoins, les apparitions se produisent dans des contextes (géographiques, historiques, biographiques, psychologiques, etc.) qui donnent une perspective et une densité vraiment intéressantes à ces "miracles".

Dans la cas des apparitions mariales à l’Île-Bouchard, comme dans ceux de La Salette, de Garabandal, de Fatima, de Lourdes, etc., ont remarquera avec intérêt que ce sont des enfants qui ont des visions.

Publié le
Dans le cas du miracle de Fatima, la "prédiction" des voyants pour ce qui concerne le "miracle" était précise (90 jours à l'avance) ce qui en fait un cas un peu à part.

Merci, c'est intéressant.

Sauf erreur, les enfants auraient dit que l'apparition reviendrait 90 jours après, à midi, et le "miracle" en question a été que le soleil qu'on regarde fixement pendant un moment, ça fait de la lumière, ça fait mal aux yeux et ça fait tourner la tête. Sacrée prédiction en effet. mdr

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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