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Nous enquêtons sur les expériences de mort imminente en racontant l'histoire vraie de Ronald Beurms qui a fait une EMI qui lui a sauvé la vie et en interviewant des spécialistes pour explorer les mystères scientifiques et philosophiques de ce phénomène. Merci à Renaud Evrard et Patrick Dewavrin pour leur participation !

 

Modifié par SébastienO
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Le 29 octobre sur La Tronche en live

« Les frontières de la MORT [TenL 141] »

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Mourir est un processus, l’extinction des fonctions dont émergent notre personne réclame du temps et se déroule à travers une cascade d’évènement physiologiques étroitement étudiés. Les chercheurs se rapprochent toujours plus de la trace d’activité biologique cérébrale qui marque le point de bascule, l’instant M de la mort. Mais à ce jour cette frontière demeure élusive, floue. Et rien ne nous certifie que tous les cerveaux meurent de la même manière. Faisons le point sur les savoirs et les doutes avec le Pr Stéphane CHARPIER, de l'Institut du Cerveau, auteur de La science de la résurrection.

 

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Le 29/10/2023 à 06:53, Christian DELAMORINIERE a dit :

 

Le 07/11/2023 à 10:10, Christian GIRARD a dit :

Pas besoin de donner mon avis sur ce témoignage non scientifique d’une personne qui s’est drogué à l’ayahusca (aux fortes propriétés hallucinogènes). Par ailleurs on commence à connaître sa réthorique et sa façon d’user de fallacieux arguments d’autorité. 

 

 

  • 3 weeks plus tard...
Publié le (modifié)
Le 07/10/2024 à 16:28, Christian GIRARD a dit :

« Les frontières de la MORT [TenL 141] » Mourir est un processus, l’extinction des fonctions dont émergent notre personne réclame du temps et se déroule à travers une cascade d’évènement physiologiques étroitement étudiés. Les chercheurs se rapprochent toujours plus de la trace d’activité biologique cérébrale qui marque le point de bascule, l’instant M de la mort. Mais à ce jour cette frontière demeure élusive, floue. Et rien ne nous certifie que tous les cerveaux meurent de la même manière. Faisons le point sur les savoirs et les doutes avec le Pr Stéphane CHARPIER, de l'Institut du Cerveau, auteur de « La science de la résurrection ».

La vidéo (À 5’ 54” « La résurrection […] ça n’est pas possible. Mais par contre une réanimation alors qu’on est mal barré : oui c’est possible. » Voilà qui a le mérite d’être clair.) :

 

Modifié par Christian GIRARD
Publié le (modifié)

Je me permets de recommander chaudement la vidéo ci-dessus et les explications du professeur Stéphane Charpier, tout en humanité et arguments à l’appui. En fin d’interview une position très claire quant à la croyance que le cerveau ne serait qu’une sorte de radio ou de réceptacle pour une conscience indépendante et hors de lui c’est « une sottise avérée »

@Patrick FROMENT  « L’expérience de cause à effet dans l’expérience consciente est unidirectionnelle. » Cette direction est : du cerveau vers l’expérience consciente, jamais le contraire. 

Modifié par Christian GIRARD
Publié le

Il n'y a pas de conscience végétale, car il n'y a pas de neurone ! Circulez, il n'y a rien à voir !
Toujours la même erreur qui consiste à assimiler la conscience à l'activité neuronale alors qu'elle est en arrière-plan, en train de l'observer ! Depuis le temps qu'on répète qu'on est totalement conscient que lorsqu'on arrête totalement de penser !

La parole est d’argent, mais le silence est d’or.

Publié le (modifié)
Il y a 2 heures, Christian DELAMORINIERE a dit :

Il n'y a pas de conscience végétale, car il n'y a pas de neurone ! Circulez, il n'y a rien à voir !
Toujours la même erreur qui consiste à assimiler la conscience à l'activité neuronale alors qu'elle est en arrière-plan, en train de l'observer ! Depuis le temps qu'on répète qu'on est totalement conscient que lorsqu'on arrête totalement de penser !

De spécialiste en ufologie te voilà devenu expert en botanique maintenant ? Tes croyances sont respectables mais t’arrive-t-il d’écouter vraiment et avec attention les spécialistes bien plus compétents que toi (et moi), comme le professeur Charpier ? De cette interview d’une grande richesse et qui éclaire sur le niveau de connaissance le plus élevé que l’on puisse sur le sujet, la seule chose qui te fasse réagir quant à la question de ce processus qu’est la mort et de ce que la science peut en dire objectivement c’est qu’ « on ne serait totalement conscient que lorsqu’on arrête de penser » ? 
Le passage que tu as pris soin d’isoler donc de décontextualiser sur cette interview de plus de deux heures dit explicitement ceci : c’est un abus de langage que de parler de « neurologie végétale » dès lors qu’il n’y a pas de neurones dans les « plantes » (dans les végétaux). C’est juste une évidence sémantique. Ça s’arrête là. Le mot « conscience » n’est même pas utilisé ! 

Modifié par Christian GIRARD
Publié le
il y a 55 minutes, Christian GIRARD a dit :

les spécialistes bien plus compétents que toi (et moi)

Des spécialistes qui analysent via  le filtre de leurs connaissances alors que la conscience est une affaire d'expérimentation et non pas d'élucubration. Ce spécialiste se permet d'intellectualiser des phénomènes qu'il n'a pas même expérimentés et ça, c'est vraiment « une sottise avérée » !

La parole est d’argent, mais le silence est d’or.

Publié le
il y a 11 minutes, Christian DELAMORINIERE a dit :

Des spécialistes qui analysent via  le filtre de leurs connaissances

Ta propre particularité serait d’analyser via le filtre de ton ignorance ?
 

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la conscience est une affaire d'expérimentation 

Ignorerais-tu qu’on est quelques milliards sur cette planète à vivre « l’expérience de la conscience » ? 

Je te laisse envoyer une dernière salve si le cœur t’en dit. Fais-toi plaisir puisque la polémique est ton moteur. 

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    • Quand deux grands magiciens s'associent pour faire un chocolat, ça ne peut être que bon : (Wolfgang MÖSER & David ROTH) Vous trouverez ces tablettes chez ALDI et...oui, je le trouve vraiment bon. A déguster avec modération devant un dvd de l'un de ses "créateurs".
    • Autre détail : si tu confies le briquet à un spectateur et garde donc les aimants entre pouce et index, tu vas sans doute me demander comment je les remet sur le briquet pour la table suivante (en se plaçant dans la situation ou, comme moi, tu vas de table en table). Il faut que je précise que jusqu'à présent j'utilise un porte-monnaie avec des petits morceaux de papier flash dedans et un mouchoir en papier. Ce porte-monnaie est initialement dans ma poche extérieure gauche de veste avec le boulon dedans et les morceaux de papier flash (rectangulaires, à peine plus longs que le boulon et une position debout/couchée alternée, à angles droits les uns par rapport aux autres si vous préférez). Le mouchoir en papier est dans ma pochette (c'est le nom de la petite poche extérieure, de face, sur une veste). Le briquet équipé de ses aimants est dans la poche à briquet (c'est la poche intérieure gauche, en bas d'une veste qui s'appelle ainsi). 1ère table : je sors le porte-monnaie que je pose sur la table ou dans la main d'un spectateur e lui disant "résistez à l'envie de voir tout de suite ce qu'il y a dedans, je vais vous le montrer dans 30s" puis le briquet. Je fais cela pour éviter tout contact malencontreux entre le porte-monnaie et le briquet. Je demande au spectateur d'ouvrir le porte monnaie vers moi pour garder le mystère jusqu'au bout, je prend le boulon et un morceau de papier flash avec ma main gauche (j'arrive à en prendre un seul grâce au positionnement alterné des morceaux rectangulaires "allongés/debout"). Le boulon doit être dissimulé derrière le morceau de papier et le bout des doigts gauches et j'allume tout de suite le briquet (le bruit de la molette ou du piezo et la flamme attirent l'attention vers le briquet). J'enflamme et fait apparaître le boulon. Je présente la routine du boulon dont l'écrou se dévisse seul avec l'idée de Gaëtan BLOOM d'utiliser le briquet. Là : soit je remet le boulon dans le porte-monnaie et je range tout comme au départ pour la table suivante, soit un spectateur veut essayer d'allumer le briquet près du boulon. Je lui donne. Je récupère les aimants entre pouce et index comme je l'ai décrit dans mon message précédent et je prend le mouchoir en papier que j'ai dans ma pochette entre pouce et index droits (qui ont déjà les aimants) car le meilleur moyen d'avoir une position des doigts naturelle, justifiée est de tenir un objet. Lorsque le spectateur a terminé son essaie, le boulon a noirci un peu donc je lui tend le mouchoir pour qu'il me l'essuie et lui demande de me redonner le briquet. Là, vous l'aurez compris, je conserve les aimants comme avec le briquet lorsqu'il prend le mouchoir en papier et je reprend le briquet en replaçant les aimants dessus et hop, direct dans la poche à briquet. J'attends qu'il m'essuie bien le noir sur boulon (je plaisante un peu là dessus) et lui demande de mettre l'écrou à mi-chemin dessus (je l'embête un peu en lui disant "encore 2 tours et demi" ou je ne dis rien et en récupérant les spectateurs je dis "encore un tour ?"; Après leur "oui" je fais de manière exagérée un tour de plus à l'écrou sur la vis puis je leur dis "nan, vraiment, je vous montre encore un mystère rigolo...et là je sors les rondelles avec le trou que l'on fait voyager ou le clou qui se tord ou le stylo qui se tord, etc...ça dépend de mon envie du moment). Evidemment je range le boulon dans le porte-monnaie et c'est reparti...pour un tour ! Je précise aussi que lorsque je dis "pour la table suivante", en fait je parle non pas de la table que je vais aborder après mais de celle encore après car en table à table, j'ai deux enchaînements de 3 routines chacun et j'alterne une table sur deux. Un des enchaînement occupe mes poches gauches (intérieures et extérieures) et l'autre mes poches droites. Ainsi les spectateurs d'une table ne voient pas ou plus difficilement ce qui les attend. Deux tables voisines n'auront pas le même "numéro" et comme je dis souvent, le premier plaisir d'un spectateur par rapport à la magie, c'est de voir le numéro mais le second (et quelque part encore plus important) est de le raconter à des personnes qui ne l'ont pas vu le lendemain dans la famille, au boulot ou autre. Et là, entre tables, il n'est pas rare qu'ils échangent en disant "ils vous a fait le coup du...?" ou "t'as vu le tour avec ....?". Bien entendu, il n'est pas rare qu'une table me demande à voir un effet dont un voisin de la table d'à côté lui a parlé ou qu'il a entrevu de loin. Dans ce cas, selon le cas, je refais le tour en question ou un autre du même tonneau. Attention : sur certaines vestes, la poche à briquet et au même niveau que la poche extérieure gauche. Dans ce cas, l'aimant peut être trop près du boulon et l'activer malencontreusement. Dans mes vestes, la poche le fond de la poche à briquet est toujours plus bas que celui de ma poche extérieure gauche de veste et le porte-monnaie n'est pas gros mais assez rigide et épais (ce qui limite encore le risque et évite que le spectateur à qui je le confie sente le boulon ou en tout cas une chose dure au travers du cuir). Chaque détail compte pour moi. C'est au fil du temps que je trouve chacun de ces détails pour les routines que je présente mais ça, ce n'est pas un mystère, c'est évident. On s'écarte un peu des billets de Finn Jon alors pour "rattacher le wagon", je dirais que je n'ai jamais testé sa version des billets. Je trouve qu'elle n'est pas adaptée pour le table en table mais que c'est la plus nette pour la scène ou le salon (car les transformations sont à vue et douces, sans accoups et sans pliage des billets).
    • En effet, très sympa. Une idée simple mais très bien executée. D'où aussi l'importance d'avoir un bon public / assistants : cela renforce terriblement son numéro en créant de chouettes interactions.
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