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Application pour Mémoriser un Chapelet


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Publié le

Aronson pense ce qu'il veut et je ne suis pas du tout d'accord avec lui, ça te pose un problème ?

Viktor met en avant un principe fondamental de l'utilisation des chapelets.

Et personne ne t'empêche de créer encore plus de belles applications et de les publier où tu veux. Personne...

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Publié le (modifié)

Il n'y a pas de meilleures méthodes qu'une autre ou pas.

Il y a juste des méthodes qui sont adaptées au pratiquant et à ce qu'il souhaite en faire.

A mon sens , la seule question qui vaille est:

"qu'est ce qui me motive tellement que je suis prêt à mémoriser

X ou Y?"

Il est faux de dire que la mnémotechnie est indispensable ou LA méthode d'apprentissage du chapelet. C'est une méthode excellente certes mais qui excède le cadre du chapelet.

Perso, j'ai appris mon chapelure sur la base de l'alphabet.

A = 1 etc...

Ainsi ce faisant j'apprenais la position des lettres dans l'alphabet et une carte est aussi une lettre. ça me convenait. ça a marché. pour moi.

Sinon mémoriser en brut n'est pas un problème, il suffit de s'y attaquer.

1 : première carte du jeu. 52: dernière carte. 13 (chiffre porte bonheur)

ça fait déjà trois cartes.

De toute façon, ce n'est pas vraiment difficile d'apprendre un chapelet. Si on est vraiment motivé par le stack qu'on souhaite pratiquer on y arrive simplement.

Perso, je trouve que la démarche de Beru ne peut être qu'encouragée.

Il est stupide de dénigrer son travail sous le prétexte que cela corromperait l'esprit du pratiquant.

L'utilité de ce genre de logiciel excède largement la mémorisation du chapelet puisqu'il permet de simuler des donnes, des mélanges... Tamariz dans mnemonica mentionne quelque part certaines possibilités de mnemonica découvertes grâce à des gars qui ont mouliné son stack.

Moi je dis à Beru : merci les jeunes!

Modifié par Jac
  • J'aime 1
Publié le

ben Dub je pense qu'il y a plusieurs types de chapelets :

- ceux qui sont à la base d'une formule mathématique : seule la formule permet de savoir qui est ou !

- ceux qui demandent une mémorisation parfaite

Les premiers demandent une maitrise de la formule mathématique et une capacité de calcul tres rapide

Les seconds doivent etre connus PAR COEUR : ordre desordre precedent suivant et numerotation : le 11 c'est la dame de coeur, apres il y a le 3 de carreau et avant le 2 de pique !

  • J'aime 1

Bruno

Publié le
Viktor met en avant un principe fondamental de l'utilisation des chapelets.

Je n'en ai fondamentalement pas besoin pour mon chapelet

J'avoue que je ne comprends pas.

Je te donne un exemple: Dans une utilisation de Brainstorm, je dois immédiatement connaître l'identité d'une carte placée dans une position X. (par ex: 23)

- Je peux déduire la position de cette carte sans aucun problème avec un calcul très simple: (26-3) et déduire assez rapidement que la carte est un 4 de pique.

- Mais je peux aussi visualiser instantanément une eNNeMi PèRe : 23 - 4P. L'image donnera un vision bien plus rapide que le calcul à un moment où la vitesse de réflexion a une importance dans l'effet.

Je pourrais donc m'en passer dans l'usage de mon chapelet (qui est périodique), mais malgré tout la mnémotechnie reste plus utile dans ce cas que le calcul. Dans un chapelet apériodique, le principe est encore plus utile.

La mnémotechnie fait donc partie des fondamentaux de l'illusionnisme (et pas seulement qu'en mentalisme) et ne remet aucunement en question l'envie de créer des applications, des tutoriaux etc. Il y en a d'ailleurs à foison sur le net...

Publié le (modifié)

Je comprends.

Mais on en revient à ce qur dit Aronson.

Apprendre directement le stack number est plus rapide et permet de se passer de béquilles mathématiques ou mnémotechniques.

Effectuer un calcul comme le dit Bruno, ou passer par un mot ou une image sera toujours moins rapide que de directement visualiser la carte.

Dans le cadre d'un chapelet.

Modifié par dub

Circulez !

Publié le (modifié)

J'ai mis à jour un bug ou deux.

Vous pouvez télécharger le zip ici: http://sourceforge.net/projects/stackanov/

J'ai également ajouté deux donnes de Poker (Draw & Texas Hold'em), vous pouvez les trouver dans la partie "files" dans le dossiers "deals". Téléchargez-les et placez-les dans le dossier "deals" de votre appli et au prochain démarrage vous aurez deux nouveaux sous-menus dna sle menu "Donnes".

Les donnes sont en beta, c'est moche pour le moment, mais ça marche. Dans le futur je veillerai à peaufiner tout ça.

Modifié par Beru
Publié le

Effectuer un calcul comme le dit Bruno, ou passer par un mot ou une image sera toujours moins rapide que de directement visualiser la carte.

Dans le cadre d'un chapelet.

Donc la mnémotechnie est essentielle puisque visualiser une image donne une réponse instantanée. Et la mnémotechnie c'est exactement ça.

L'image n'a pas besoin d'être décodée, elle est la réponse.

Publié le

Bon en même temps, ce n'est pas une course de vitesse.

Ce qu'il faut c'est connaître le stack d'une manière SURE.

On a largement le temps, en présentation, de se "recaler".

On ne révèle pas les cartes tout de suite.

on peut même prendre le temps de réfléchir, ou de calculer ou que sais-je, sous prétexte de diviner.

Pour en revenir à l'analogie de la course, on est plutôt dans de la course de fond. Solide. Allure soutenue régulière. Sans panique.

Et ce qu'il faut surtout c'est s'amuser. S'amuser en l'apprenant. S'amuser de se rendre compte qu'on en est capable.

C'est pas un concours de bite non plus.

  • Haha 1
Publié le

Si tu veux.

Dans le cadre d'une image si elle est première et inclue la carte.

Un serpent qui entoure une dame de pique si le serpent correspond au stack number de la carte dans ton système de mnémotechnie.

Pas dans le cadre d'un mot.

Circulez !

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    • Qu’est-ce que The Age of Disclosure, le documentaire qui dévoile des secrets sur les ovnis ? Dan Farah souhaite révéler au grand public des dissimulations vieilles de 80 ans. C’est une question qu’on s’est tous posée au moins une fois : sommes-nous seuls dans l’univers ? Si Dan Farah tente de convaincre dans son documentaire The Age of Disclosure (l’âge de la divulgation) que les ovnis sont bien à prendre au sérieux, il souhaite avant tout éveiller les consciences sur les différentes dissimulations mises en place par le gouvernement des États-Unis.  https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Qu-est-ce-que-The-Age-of-Disclosure-le-documentaire-qui-devoile-des-secrets-sur-les-ovnis-
    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
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