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Publié le

Oui, regarde dans les archives.

Mais je suis sérieux : les gens dont tu parles ne sont probalement pas de VM.

Sur VM, on est tous très bon. Donc, ils ne peuvent pas être de VM. Je pense que la démonstration est faite.

Publié le

ben si... outre les manip de cartes sans âme, le cartomane et le mentaliste dont je parle sont sur VM...

Non, on est pas meilleurs sur VM qu'ailleurs... (ni LSP d'ailleurs, ni rien du tout...)

En revanche visiblement on a les plus modestes par ici...

Choose your battles wisely.

Publié le

Oui, trop modestes même. Il faut se rendre compte, que sur VM se trouve la fine fleur de la magie. Le nec plus ultra.

Qui réinventerait sans cesse la magie si les gars de VM n'étaient pas là ? Qui soulèverait l'épineuse question de savoir si :

a ) un comédien est-il un magicien ?

b ) si oui, la magie est-elle un art ?

c ) si oui, la magie est-elle un art majeur ?

Alors je le dis : heureusement que VM existe !

Publié le (modifié)

Daniel Mesguich metteur en scène de théâtre fait intervenir dans ses mises en scène des magiciens qui lui règlent des effets magiques adaptés à ses mises en scène depuis des années, (demande à Alpha p ex) si depuis le temps ce metteur en scène (qui n'est pas magicien, quoique) n'a pas pénétré l'esprit magique , je ne comprends plus rien ! Il a aussi mis en scène des spectacles magiques mais je crois qu'il connait bien la question depuis le temps!

On dirait que certains font exprès de ne pas comprendre ce que je veux dire : apprendre la danse, le chant, le mime etc. ne peut pas nuire à la magie et ne peut qu'apporter au magicien, mais cela ne suffit pas; un metteur en scène est plus que nécessaire surtout avec l'évolution actuelle du spectacle magique (regardez l'évolution des shows de Dany Lari et encore là on n'a travailé que sur l'habillage, pas sur le personnage) et je dis qu'un metteur en scène qui ne connait rien à l'art magique (pardon à l'exercice magique) apportera un plus mais aussi un moins.

Le metteur en scène ne doit pas forcément être magicien mais assurément en connaître l'esprit, la motivation et son paradoxe !

Oui des discussions entre les deux protagonistes amélioreront ce rapport de force mais cela doit être fait je pense en amont pas pendant le travail du numéro sur lequel ils bossent mais peut-être en analysant ensemble le travail d'autres magiciens.

Le metteur en scène est là pour sublimer l'artiste magicien en respectant les contraintes de l'exercice magique et le magicien est là pour se laisser guider dans l'image qu'il donne suite aux conseils dudit metteur en scène.

J'ai vu un numéro de grandes illusions mis en scène par un metteur en scène de théâtre qui n'avait jamais approché la magie avant, c'était beau point de vue image instantanée mais pas magique et parfois "débinatoire" suite à des erreurs de mises en scène ; par exemple par la non-connaissance des principes de la misdirection, du manque de point fixes, etc.

Et comme l'excès nuit en tout, il faut aussi éviter d'être trop nombreux à donner des conseils pour éviter des déperditions; et par dessus tout il s'agit aussi d'un bon esprit d'entente entre le metteur en scène et le magicien car dieu sait combien l'ego d'un magicien est grand et que l'humilité n'est pas son fort (mis à part quelques rares exceptions, coucou Norbert) cela demande donc aussi un gros effort de la part d'un magicien de collaborer (on a quand même été élevés pendant longtemps avec la notion de secret, d'exclusivité et de supériorité).

Pendant que j'écris les réflexions pleuvent avant que j'édite, pas le temps d'y répondre. Mais quand même pourquoi tant de haine envers VM où il n'y aurait ironiquement que des bons ...... à rien ?

Modifié par christopher

Christopher

Publié le

Ben pour le coup j'suis complééééétement d'accord avec toi Christopher... (mais ta première intervention laissait comprendre qu'une mise en scène de magicien ne peut se faire que par un magicien... alors que là, tu développes...)

"Bertrand"... euh, non rien. J'aime ton anonymat.

Choose your battles wisely.

Publié le

juste moi je voulais parler au départ des techniques de mises en scène magiques(p ex : ?); ensuite quand tout cela est acquis (ou alors en parallèle) on passe à la mise en scène théâtrale (cf Dani Lary)

Christopher

Publié le

Ouaip, j'ai compris... mais moi je parlais de mise en scène théâtrale depuis le début... D'où le fait que je disais : non, la mise en scène théâtrale ne peut se faire par un magicien... (à moins qu'il soit metteur en scène à la base, qu'il soit formé pour ca...)

Voilà voilà.

"Bertrand"? quelque chose à ajouter?

Choose your battles wisely.

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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