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Publié le

Merci Cyril, mais ce n'était pas de ta réponse qu'il était question. J'ai bien reçu les photos et te remercie encore de ta prestation au gala.

Pour moi ce festival n'a été que du bonheur. Tous concurrents, artistes du gala avez été encore une fois dans l'esprit de camaraderie que j'aime Le seul truc qui m'a manqué c'est les petits potins les rumeurs sur les autres!! ( non je blague) Merci à toous de l'aide qu'ils m'ont apporté car j'ai eu des journées très chargé en l'absence de la prod!!

WINFRIED

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Membres les + Actifs

Publié le

Je pense que les organisateurs sont à des kilomètres de ces préocupations...

Ils composent au mieux avec ce qu'on leurs propose.

Ils équilibrent au mieux, comme ils peuvent, avec les numéros selectionnés.

Il y'a 20 ans à la fism, on avait dix numéros de boules volantes avec la même musique de Clayderman !!!

Mais il fallait bien l'accepter, c'était la mode.... A vomir comme dirait mon ami Allan !

Les organisateurs font ce qu'ils peuvent avec les tendances actuelles et ce n'est pas toujours facile.

En ce qui concerne la politique sectaire des jeunes recrues exposée par Allan, c'est vrai que le problème d'originalité semble plutôt venir de là !

Plutôt que de paralyser les futurs grands magiciens, aidons-les en leur offrant une démarche plus professionnelle (dans l'esprit bien sûr!) et plus constructive....

On verra alors se profiler des numéros peut-être plus originaux !

Publié le

Excuse moi Winfried je dois confondre Lary d'or et Dragon d'or ...

Et même en étant au Lary d'Or je n'ais pas eu le temps de voir tout le monde que j'aurais voulu voir ...

Et je voulais dire par mon précédent poste que je voulais participer au prochain Lary d'Or car il est question qu'il y ait une autre édition prévue à la même époque !

Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques un... J.Brel

Publié le

Encore faudra t il que lesdits jeunes aient envie d'écouter les conseils des personnes expérimentées, ce qui parait de plus en plus difficile toujours ce phénomène de mode!!

Un est artiste original et tout à coup nombreux sont les clones qui arrivent. Nestor Hato se teint les cheveux combien trouve t on de clones?? Pour la musique idem le temps est au tango .. ben allons y!! Mais où trouverons nous un binôme coach artiste qui fera preuve d'originalité??

WINFRIED

Publié le
Le soucis, c'est qu'aujourd'hui, un numéro de GI n'a casi-aucune chance d''être primé ... étant donné que 80% des numéros sont maintenant de la manip, il y a de fortes chances que les lauréats soir des manipulateur !

Il est clair que dans un concours avec un jury de magiciens, je pense qu'un numéro de manip part avec un avantage.

Mais peut être que ceux qui font de la magie générale et de la G.I ont aussi plus de mal à se renouveller.

Honnêtement j'ai vu très peu de numéros de G.I originaux.

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

Publié le

Si je ne me trompe pas (au cas où je fais appel à vous pour me corriger ...) Le jury été composé de 10 personnes dont seulement 3 été des magiciens le reste été des personnalités de la ville et de la région et une personne été une personne du public pris au hasard !

Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques un... J.Brel

Publié le

Message à Willow,

s'il te plaît Willow, arrête de pleurer car si tu n'a pas été sélectionné au Lary d'Or, certes en partie pour la qualité de ta vidéo, le jury de pré-sélection te reproche également et surtout de ne faire aucune structure de ballon sur scène.

Dans ton show très dynamique certes, tout est fait d'avance.

D'accord si tu devais tout faire sur scène, ça semblerai relever d'un défit pour Superman ou Superballonneux, mais ne faut-il pas d'abord montrer la qualité de l'homme plutot que la quantité d'effet de présentation de ballon prêt d'avance, ou peut-être un mix des deux.

à voir....

Ne soit pas si négatif sur le jury de présélection, s'il te plaît, il n'a pas eu la tache facile, et médite sur mes propos.

J'espère recevoir de nouveau ta candidature l'an prochain pour cet évènement avant tout sympatique et de notre grande famille qu'est la Magie...

Philippe DAMBLIN

Publié le (modifié)

Mon cher Philippe, je regrete simplement que pour une histoire de qualité de video ( argument choquant, il faut le reconnaitre), on entende qu'il y ait trop de manipulateurs..

Je regrete la varieté sur scene, que ce soit moi ou un autre !

Personellement, peu importe d'être présent ou pas, mais l'argument qualité de video, : à eviter à lavenir.. s'il vous plait! aussi pour l'orientation des jeunes , qui ne voient plus que des manipulateurs partout !

Maintenant, je ne l'ai pas fait avant et je m'en excuse, bravo pour le travail d'organisation, faire un gala de magie est un acte positif pour cet art, je le soutiendrai toujours...Donc je n'ai aucune envie de faire du négatif, mais c'est bien dans la critique qu'on progresse...

Ne selectionnez pas un numero sur la qualité de sa video, celui qui l'enregistre n'a peut être pas de moyens de faire mieux, et cela n'enleve rien à son talent sur scène. On a d'ailleurs les preuves formelles qu'une video parfaite peut donner un BIDE sur scène.

Quant à moi, le fait de ne pas assez sculpter sur scene, c'est un argument dont j'ai tenu compte, et que j'ai bien l'intention de le corriger...( je comptais d'ailleurs peut être aussi sur les Lary D'or pour cela)

PS : Je rappelle toutefois qu'à AIX, tu m'as dit qu'une autre video etait inutile, car tu avais vu ma prestation, donc c'est vrai que j'ai été assez surpris du premier argument avancé, qui pour moi ne représente pas un travail de séléction concret et efficace, et allait completement à l'inverse de ce que tu m'avais dit.. et de ce que j'imagine du travail de séléction.

Je re-souligne : selectionnez en respectant un minimum de quotas, même si la creme des cremes est dans la manipulation, un beau gala restera toujours, pour moi, un gala varié. Les arts annexes en font partie.

Bravo malgré tout Philippe, de tout coeur ! Je n'en avais pas parlé avant le CR, mais à entendre nombre de réactions qui regrètent trop de manipulateurs, je pense qu'il faille revoir un tout petit peu les modes de selection de certains concours, et enlever l'aspect : qualité video, surtout quand la FFAP elle même accepte ces videos.

Mais ne crois pas que je pleure, je me dis que cela aurait tres bien pu arriver à un autre....et cela aurait été tout autant dommage...

Que cet exemple permette à l'avenir une meilleure critique pour la selection , et que la qualité de la video n'entre plus en compte...

Il n'y a rien de pire que de travailler dur pour un numero, et d'entendre que sa video a été éliminatoire, c'est injuste.

Pour la sculpture, rien à dire , OK, cet argument suffisait .

Modifié par WillQw

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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