Damien FALLON

Ben historiquement, le questionnement ontologique apparaît avec Parménide dans son Ode "de la nature". Avec ta question tu en es donc au niveau de réflexion des présocratiques. Tu vois qu'en cherchant un peu tu trouveras de quoi t'amuser, car l'ontologie a eu l'occasion de faire l'objet de quelques menus écrits en plusieurs milliers d'années... Bonne chance

Clap clap clap!

Depuis que j'ai vu ces vidéos, je cogite... J'avais d'abord pensé que la spectatrice puisse être complice, mais non... J'ai cru voir que le bonhomme vendait la solution sous forme d'e-book.... Rhâ, mais pourquoi as-tu posté cette vidéo ??? Je ne fait qu'y penser depuis que je l'ai vue ! La version (le rendu) parait meilleur que dans la version de Yannick Chrétien : ici la carte retournée est bien retrouvée exactement à la place où le spectateur l'a laissée...

Ca paraît impossible...

Pour reprendre Audiard : "Un intellectuel assis va moins loin qu'un con qui marche."

Ce ne sont pas tant les institutions ou le système qu'il faut revoir, mais plutôt la manière dont les hommes les font fonctionner ou en acceptent tacitement les dérives. Ca me fait bien rire les gens qui se réunissent pour crier "Il faut que ça change!" : ça n'a jamais fait avancer les choses. Est-ce que ces mêmes gens se présentent aux élections ? Prennent des responsabilités civiles ou politiques ? Ont montés des associations ? Se sont bougés auprès des instances politiques afin de proposer des textes de lois ? Ont fait valoir une quelconque proposition auprès de la mairie de leur ville ? Un exemple tout bête : les associations de droit au logement se sont battues pour avoir une loi sur le droit au logement opposable (votée en mars 2007). Eh bien, depuis son entrée en vigueur, ces mêmes militants continuent de monter des tentes sans même se servir de la loi pour laquelle ils se sont pourtant battus. Affligeant. Criez, criez si vous voulez. Mais si parler c'est agir (cf. La théorie des actes de langage chez Austin), la parole sans actes matériels n'est rien. Croyez vous que les révolutionnaires de 1789 se sont contentés de crier : "Il faut que ça change ??". Non. Ils ont fait eux-mêmes bouger les choses, en rédigeant une nouvelle Constitution pour la France, en proclamant les droits inaliénables et sacrés de l'homme, en mettant en place une nouvelle société en rupture avec celle de l'ancien régime. Trois clodos en train de camper sur une place, ça n'a jamais fait bouger quoi que ce soit (hormis les forces de l'ordre pour occupation irrégulière du domaine public) ...

Je comprend mieux : Ca veut dire qu'un théorème sera considéré comme vrai par tous ceux qui admettent comme vraies les prémisses sur lesquelles il repose. C'est d'ailleurs pourquoi beaucoup font reposer le critère de vérité scientifique sur la vérification intersubjective d'un énoncé. Mais je suis également d'accord pour dire que ceci ne vaut pas de manière absolue : un théorème démontré ne vaudra que pour le modèle à l'intérieur duquel il est construit. Dès que l'on rajoute un paramètre supplémentaire, le résultat théorique peut ne plus correspondre à la réalité pratique (ex : la théorie des 3 corps de Poicarré). Finalement, ca m'aurait pas trop déplu de continuer à faire des maths (s'il ne fallait pas autant réfléchir )

Heum... Je ne suis pas mathématicien mais cette affirmation n'ignore-t-elle pas tout le débat ayant eu lieu sur la crise du fondement des mathématiques ? Depuis, Frege, Russel, Wittgenstein et les autres ? - Tout d'abord les mathématiques reposent toujours sur des axiomes : donc non démontrables (comme dire qu'un théorème est vrai alors que la démonstration repose sur un plusieurs axiomes ? ) - Le fait de dire que tel théorème est vrai est en soi un axiome - Idem pour le fait de dire toute vérité (et donc tout axiome) doit être démontrable (si K. Gödel a bien montré que toute vérité était potentiellement démontrable dans un système de logique standard, il n'en va pas de même pour un système de logique du second ordre : c'est le théorème d'incomplétude). - Le mathématiques reposent donc toujours sur une base axiomatique à l'origine : tout ce que peut faire un théorème c'est donc avoir prétention à l'objectivité, mais non à la vérité... Toutefois, je ne suis que juriste et non mathématicien, ce ne sont que des interrogations que je pose ici ...

Quelques pistes dans : - Le VBO Harry Lorrayne - Trèfle de Mickaël Stützinger - Bullets after Dark de John Bannon - Hard Boiled Mysteries de Bruce Cervon

????? Se figurer que Beru est irréprochable c'est quand même assimilable à de la cécité.

Peut-être comme ça ... http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/technologie-1/d/en-video-les-vetements-en-spray-font-leur-show_25186/

Ca veut dire que lorsque tu achètes le DVD d'un film en VO, tu demandes à chaque fois le script sur papier et en version française ? J'ai jamais vu qu'un DVD soit vendu avec le script du film traduit ...

Je pense que c'est du second degré ...

C'est le bon vieux dilemme du prisonnier ...

C'est le même jour que la conf de John Allen

Pas non plus besoin "de derrière ni de devant" pour dire n'importe quoi... Je comprend que les juristes (dont je fais partie) n'en peuvent plus de lire des messages comme ceux-ci. Tout ceci n'enlève en rien le talent, l'entrain et le bonne humeur d'Eric Antoine que je découvre ou redécouvre toujours avec plaisir !...

Pour ça, il faut demander à D. Puech ... ;-)

Je me suis trompé, il s'agit en fait du 33 (avec des boutons poussoirs partout !)

J'en suis au 34. Le plateau fait peur...

il faut appuyer sur espace pour passer à l'autre bloc. J'en suis au niveau 22.

Voir aussi "two cards mysteries" de masuda. Ca me semble quand même proche...

Essayez avec : "Tipp" ou "Tipp-ex", c'est rigolo

Il doit être possible de se faire établir un contrat de vacation pour un volume horaire défini (1 heure, 2 heures....) comme dans le domaine de l'enseignement où un professeur vient faire une conférence sur un thème particulier.

La Cour de Cassation ne donne pas un avis mais rend un arrêt, revêtu de ce fait de l'autorité de la chose jugée. Si son seul rôle est de juger l'application du droit, elle laisse le soin aux juridictions inférieures de trancher le litige au fond. Si la juridiction de renvoi se prononce contre l'arrêt de la Cour de Cassation elle prend le risque d'un second renvoi, suite auquel elle n'aura plus le choix et sera légalement tenue de juger selon les dispositions. Il n'y a donc pas à proprement parler de recours contre un arrêt de la Cour de Cassation, sauf devant une juridiction supranationale (Cour de justice de l'Union, Cour européenne des droits de l'homme). Comme Franz, je ne vois pas en quoi un artiste indépendant devrait être titulaire d'une licence de spectacle, pour la bonne raison qu'il ne place pas d'autres artistes et qu'il n'est donc pas entrepreneur au sens de la loi !

Je serai intéressé pour que tu m'expliques comment tu fais appel d'un arrêt de la Cour de Cassation ...