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Eflamm CAOUISSIN

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Tout ce qui a été publié par Eflamm CAOUISSIN

  1. J'ai bien dit "le haut de la classe moyenne", ce qui évidemment le met en bas de la classe des riches Tiens... tu vas m'en vouloir, Jack, mais pour équilibrer un peu, voilà un article de Causeur.fr, d'aujourd'hui ... et j'suis gentil, j'mets pas l'article du Canard sur son patrimoine, vu qu'il est hostile à la transparence "en tant qu'homme privé faisant des activités publiques" (sic): On sait à peu près ce qu’il adviendrait si – pardon, on sait ce qu’il adviendra lorsque que Jean-Luc Mélenchon arrivera au pouvoir, comme il l’a annoncé dans son discours du Prado, où il affirma fièrement que “le gouvernement du Front de gauche viendra”. Ce qui arrivera, il nous l’a dit : lors d’un récent entretien accordé aux Inrocks (son cœur de cible), il déclarait que son ambition était « de faire des choses à la hauteur de (ses) rêves de jeunesse et de ceux de (ses) contemporains. Il y a des gens comme moi qui n’ont jamais cessé de croire qu’on pouvait construire un paradis, ici et maintenant. ». Le paradis terrestre, voilà donc ce que propose Méluche, non sans assurer qu’au préalable, sa « tâche consiste à refonder le socialisme historique régénéré par l’intelligence de l’écologie politique. Le pain noir de la gauche, c’est fini ! » Car notre nouveau Marx est aussi un nouveau prophète, qui annonce la venue de l’Aube nouvelle et des lendemains qui chantent : « A partir d’aujourd’hui, il y a chaque jour un peu plus de lumière. » Des formules qui ont dû impressionner les lecteurs bien-pensants du magazine de Matthieu Pigasse, mais qui manquent un peu de précision. Par bonheur, Méluche n’est pas chien, et il n’hésite ni à détailler ce que sera ce paradis terrestre (cf L’Humain d’abord, comme dans les publicités de la GMF), ni à se trouver des références époustouflantes : le Cuba de Castro, par exemple, décrit comme « le foyer qui maintient l’idée, le rêve éveillé de pouvoir construire quelque chose de différent, et qui continue à avancer, malgré tous les problèmes matériels auquel elle est confrontée ». Voilà pour le grand soir : « un printemps ininterrompu», promettait Mélenchon au Prado en citant Jean Ferrat. Mais en attendant ? Là, c’est le mystère, et les commentateurs, jusqu’aux docteurs es-Méluchisme les plus affutés, se bornent à avancer – en cas de victoire de François Hollande -, deux ou trois hypothèses, également possibles, mais pareillement incertaines. Première hypothèse, Mélenchon se range et accepte, toute honte bue, quelques jolis maroquins pour lui et pour ses proches, en échange de son ralliement « républicain » au Capitaine de pédalo. Comme de juste, le tribun des plages a déclaré à qui voulait l’entendre que jamais, au grand jamais, il n’accepterait d’entrer dans un gouvernement qui ne serait pas le sien. Dans son entretien aux Inrocks, Il affirmait d’ailleurs que son « ambition » n’était « pas le pouvoir (…) Je suis dans un autre degré d’ambition ». Mais on a déjà vu des politiciens ne pas respecter strictement leurs promesses – de même que l’on a déjà vu Mélenchon siéger dans un gouvernement qu’il ne dirigeait pas. Il est vrai que le premier ministre de l’époque, Lionel Jospin, venait lui aussi de la mouvance lambertiste, ce qui n’est pas sans créer des liens. Bref, l’hypothèse n’est pas tout à fait absurde, d’autant que Méluche est resté suffisamment longtemps dans les Palais de la république – dont vingt ans au Sénat – pour y prendre certaines habitudes. Et qu’en outre, tel serait pour lui le meilleur moyen de peser de façon significative sur les orientations politiques de la gauche. Deuxième hypothèse : Mélenchon décide de tenir sa promesse, et de se la jouer chef de bande. Mais pour le faire de façon sérieuse, pour pouvoir influencer en profondeur le jeu politique, il lui faudrait bénéficier d’outils suffisamment puissants, efficaces et rôdés : parti, groupe parlementaire, relais locaux, etc. Et pour cela – Mélenchon étant un homme pressé qui n’a ni le temps ni le goût d’attendre-, une seule solution : phagocyter le PCF au sein du Parti de Gauche, sinon destiné à rester un groupuscule sans impact, un costume beaucoup trop étroit pour la nouvelle carrure de son homme fort. La tâche serait évidemment délicate – mais ô combien exaltante pour un ex-trotskiste, qui a dû longtemps rêver de venger les purges staliniennes, le martyre du POUM et le pic à glace meurtrier de Ramon Mercader. En somme, quoi de plus tentant que de faire disparaître le vieux PCF héritier du stalinisme en l’absorbant dans une structure conduite par un ancien de la IVème Internationale ? Une tentation que semblent confirmer les relations plutôt ambiguës entre le leader du Front de gauche et le parti du peu charismatique Pierre Laurent – malgré la volonté acharnée de sauvegarder les apparences… Ou encore, l’appel aux syndicats pour le 1er mai formulé dans le discours du Prado, Mélenchon se déclarant disponible, si les syndicats le veulent, pour participer à un « 1er Mai stupéfiant d’unité et de puissance ». Troisième et dernière hypothèse, la voie étroite du Bayrouïsme. Elle consisterait, après avoir frôlé les 20 % au premier tour des présidentielles sans pour autant accéder au second tour, à se croiser les bras et à se dire que la prochaine fois sera la bonne – laissant le jeu politique se dérouler sans y intervenir directement, et sa base électorale s’effilocher au fil des années. Gageons que Mélenchon est trop matois, trop gourmand et trop ambitieux pour se laisser aller à cette tentation-là. D’où l’on peut supposer qu’il hésitera plutôt entre les deux précédentes solutions, le retour au bercail et un titre de ministre d’État, ou l’OPA sur le Parti communiste. Ce qui veut dire qu’avant le Grand soir, Méluche aura l’occasion de se salir les mains. Même s’il n’a pas de mains.
  2. Intéressant à lire, même si Bouvard fait plutôt partie du haut de la classe moyenne, et même si le candidat visé n'est pas seul dans le cas cité. N’AYANT PAS DÉMÉRITÉ, JE REFUSE D’ÊTRE CULPABILISE… par Philippe Bouvard Je ne suis pas un héritier. Je n’ai jamais disposé d’un franc, puis d’un euro que je n’ai gagné à la salive de ma langue ou à l’encre de mon stylo. Je profite d’une aisance qu’il ne m’est possible de sauvegarder qu’en continuant à travailler à 82 ans, dix heures par jour et 365 jours par an. J’ai élevé de mon mieux mes enfants. J’aide mes petits-enfants à poursuivre les études qui n’ont pas été à ma portée. J’ai toujours payé mes impôts sans un seul jour de retard et sans un mot de remerciement. J’ai financé des porte-avions qu’on ne pas admis à visiter, des bâtiments officiels à l’inauguration desquels on a oublié de me convier. Et ne voilà-t-il pas qu’un énarque, entretenu depuis sa majorité par les contribuables, voudrait me faire honte de ce que je gagne avant de me déposséder de ce qui a échappé à la triple érosion du fisc, de l’inflation et des emplettes inutiles ! Je suis un créateur et un mainteneur d’emplois. Je fais vivre des proches dont certains m’accompagnent depuis plus de trente ans et que le candidat socialiste (puisque c’est de lui qu’il s’agit) projette implicitement de diriger vers les Assedic. Hors, en quoi ai-je démérité ? Ai-je volé quelque chose à quelqu’un ? N’ai-je pas donné au fur et à mesure que je recevais, persuadé que la dépense constituait le plus efficace acte social ? J’ai perçu quelques heures supplémentaires mais aucune subvention. Je n’ai touché d’autre argent publique que la maigre solde de sous-officier durant mes quinze mois de service militaire. Je n’ai jamais bamboché aux frais d’une République qui examine à la loupe les additions des restaurants de ses dignitaires mais qui continue à les régler. Je n’ai pas fréquenté de paradis fiscaux. On chercherait en vain la plus petite niche chez moi depuis que j’ai cessé d’avoir des chiens. Une seule fois je me suis délocalisé dans le cadre de la loi Pons à la coûteuse faveur d’un investissement hôtelier dans les DOM TOM qui m’a fait perdre 100% de ma mise. A la distribution des bonus, des stock-options et des dividendes, j’ai toujours été oublié. Mon casier judiciaire est vierge. Mon courage est intact. Je ne suis pas un damné de la terre. Mais je ne suis pas non plus un profiteur ou un esclavagiste. Je ne suis le protégé de personne sauf celui du public auquel je dois la longueur de mon parcours. J’ai mes opinions mais je n’ai jamais adhéré qu’au parti des amoureux de la France. J’ai versé à la collectivité d’avantage que je n’en ai reçu : pas un jour de chômage et une seule nuit d’hospitalisation en six décennies. Je me situe sans honte mais sans fierté excessive dans cette classe moyenne qu’on souhaite faire disparaître en nivelant notre société par le bas. Je refuse autant d’être culpabilisé par un politicien (qui voudrait qu’on prenne son inexpérience pour de la normalité) que la France accorde sa confiance à un homme que l’Europe prive de la sienne et qui, bien qu’ambitionnant de devenir le gardien de la constitution, ne paraît pas s’être préoccupé de la constitutionnalité de ses propositions. Quant à moi, j’aurai nourri des enfants, construit des maisons, planté des arbres. Mission accomplie. Philippe BOUVARD
  3. Non... il y a la même chose dans le microcosme musical, mais peut-être à un niveau moindre, en effet. Tout ceux qui savent un peu jouer de la guitare se croient Santana... Mais effectivement, en magie, c'est pire. Pour quelle raison à ton avis ? C'est simple. Je fais vite, mais voici quelques raisons... : - Les magiciens "reconnus" ont voulu bouffer à tous les rateliers en voulant "démocratiser la magie" -Les créateurs et les marchands ont voulu proposer de la magie en 5 minutes, faisable dès réception des colis (exemple : j'ai connu Magix par une pub reçue par la poste, via les éditions Atlas, si mes souvenirs sont bons). C'est pas comme le piano.... faut bosser pour devenir un artiste. -beaucoup de djeunz veulent devenir "star". Pas artiste, mais star ! Briller, avoir l'impression d'être le centre du monde pendant quelques minutes, et gagner du fric facilement. C'est leur projet de vie. Cool ! Le retour de bâton est simple : un magicien, c'est un mec qui sait faire trois p'tits tours (ou un peu plus grâce à Youtube) et puis s'en vont (comme le machin de Un dîner presque parfait), c'est un mec nombriliste et égocentrique puant de prétention, souvent sans envergure artistique (comme le Luc bidule de l'émission La belle et les clochards)... Des centaines de prétendus magiciens qui sont devenus les cancers de la magie, le sida de l'intermittence, la vérole des arbres de Noël... Des clones interchangeables qui, tout en sapant l'image du magicien, défendent le statut d'intermittent parce que c'est le fric facile (exemple véridique : tu fais tes 43 dates, tu touches, et en plus tu fais du black pour arrondir ton fin de mois, quitte à piquer des dates à un autre qui lui respecte les règles... ). Plus facile de faire le branleur de cartes que d'aller à l'usine ou de bosser dans la restauration. Plus facile de faire quelques arbres de Noël avec une tête aux sabres, quelques ballons et une catalepsie que d'être caissier chez Carrouf. Plus facile d'aller faire le goûter d'anniversaire de dix bambins (après être passé demandé des conseils deux jours avant sur VM) que d'être maçon... Tous ces pseudos artistes font à tout niveau une concurrence déloyale envers les véritables artistes IDS comme toi, Danilsen, Amaury, etc... mais aussi, ne l'oublions pas, envers les entrepreneurs comme William Scott. Notons au passage que, bizarrement, ce sont souvent les mêmes qui nt le monde avec les histoires de copies... Décrire les causes du problème chez les magiciens, c'est déjà avoir une partie du problème. Le tout est ensuite de l'éradiquer, ce problème. Et ce n'est pas en défendant becs et ongles l'ensemble des intermittents, comme une caste à protéger, qui aidera à garder le statut pour les vrais artistes magiciens qui, eux, méritent ce statut.
  4. Mes réponses sont dans des messages antérieurs. Le bon sens voudrait que l'on garde ce statut pour des mecs comme toi qui semblent à juste titre utiliser ce système suivant le pourquoi de sa création. Mais éjecter tous les parasites qui polluent ce système. Le bon sens voudrait que pour qu'un système soit pérenne, on le revoit de manière à ce qu'il le soit. etc... Ce qui est drôle, c'est qu'on est pour l'égalité et la fraternité, mais dès qu'on touche à des avantages personnels, l'égalité devient désormais voeu pieu... En bref, en France, on est contre les privilèges, sauf si on peut soit-même en tirer profit... Vive la France !
  5. Et si on changeait l'appellation, passant de INTERMITTENT DU SPECTACLE à INTERMITTENT DE CHOMAGE, ca serait plus logique, alors, non ?
  6. Tu parles... les spectateurs savent depuis longtemps que ça existe, tout comme connaissent l'existence du FP depuis qu'ils sont en couche culotte. Maintenant, c'est à l'artiste de faire oublier cela, ou plutôt de faire en sorte que le spectateur n'y pense pas.
  7. Parce que vous pensez sincèrement que vous êtes en danger avec un débinage à la con ? Je n'ai pas vu l'émission, mais par contre, autant il est regrettable qu'un cake débine tout (tout comme le Luc machin de l'émission "la Belle et les clochards" participe au délabrement du magicien), autant je me chagrine de voir qu'un débinage d'un FP ou d'un forçage vous mette dans cet état... Car la crédibilité d'un magicien n'est pas dans le branlage des cartes plus ou moins voyant. Un forçage hindou, même bien refait à des conso-spectateurs M6, passera comme une lettre à la poste, j'en suis persuadé. Mais effectivement, si vous n'avez aucun personnage, n'avait jamais travaillé la véritable approche magique, n'avez aucune culture générale (TF1 c'est pas d'la culture, pour info), aucun savoir-faire artistique si ce n'est de ressortir les quelques tours du dernier dévédé que votre collègue de la ville d'à côté a lui aussi à son répertoire, en effet, y'a de quoi s'inquiéter sur votre rapport au spectateur, et là, oué... je comprends votre désarroi... Mais sinon ? Alors comme dit Friboudi, pourquoi un thread pour ça ?
  8. Info financière du jour : Au classement des fonds d’investissement les plus riches, celui de George Soros arrive à la cinquième place. Fin 2009, les actifs gérés par le milliardaire représentaient la moitié des actifs administrés par la pièce maîtresse de la dynastie Rockefeller : JPMorgan Chase. George Soros, milliardaire grâce à des spéculations de haut vol et jouissant de relations très privilégiées avec quelques familles oligarchiques du cartel bancaire, s’est rendu en Allemagne pour la promotion de son dernier livre Idées et solutions face à un chaos financier en Europe et en Amérique. Il a expliqué que la crise de l’euro allait empirer et s’est même avancé en disant : le sort de l’euro sera connu dans les deux prochaines semaines et la devise européenne connaîtra un virage très compromettant, y compris l’Union européenne.
  9. Désolé Gulliver... j'ai répondu d'un smartphone où je ne voyais pas ta vidéo et je pensais donc que tu parlais de JLM. Vu l'heure tardive, je regarderai ta vidéo demain. Par contre, quand je dis collabo européiste assaisonné sauce gauche pour Roosevelt 2012, j'ai raison, du moins j'ai la faiblesse de le croire. Si compétent soit-il, Larrouturou n'est pas vraiment connu pour être de droite, Rocard non plus, et quand tu vois les autres signataires... De même, certains d'entre eux sont des fervents défenseurs de Maastricht, Lisbonne & Co, qui ont ratiboisé la souveraineté des Etats en les livrant aux managers financiers de "l'entreprise" Europe. En bref, ce sont là encore des collabos systémiques qui d'ailleurs prennent Roosevelt en référence aux mesures qu'il a prise, dont quelques-unes ont probablement de l'intérêt... mais n'oublions pas certaines de ses mesures phares : détachement du dollars par rapport à l'or (avec la confiscation de l'or et du silver aux particuliers), renflouement des banques, pleins pouvoirs à la FED en ce qui concerne la planche à billets et sa généralisation, taxes sur le revenu, etc... dont les répliques tsunamiques se ressentent encore aujourd'hui, et sont aux fondements de la crise actuelle. Il est d'ailleurs intéressant de comparer la politique offensive actuelle (européenne mais aussi mondiale) sur l'or et le silver avec celle de l'époque Roosevelt. Si Roosevelt a prononcé la faillite étasunienne en 1933 et a ensuite fait distribuer les billets verts (sans aucune substance) aux States mais aussi d'une manière globale en passant notamment par les "petites" péripéties de 39-45, on peut légitimement penser que la suite actuelle de la politique monétaire ne va pas être rose. Or donc, navré mais quand je vois des gens se référer à Roosevelt, je suis dubitatif... Là encore, avec ce "club" on est dans la misdirection. On attire avec des idéaux, mais ceux qui creusent savent... Il serait donc intéressant de ne pas réagir comme des moldus, mais bien comme magiciens, lorsqu'il s'agit de politique et d'économie. Si vous, magiciens, savez manier la manipulation avec brio, sachez que vous avez des maîtres en ce domaine... Alors reprenez votre place
  10. Si je ne m'abuse, Roosvelt2012 est initie par Rocard. Autant dire, et la lecture du blog le conforte, que Roosvelt 2012 est du rabattage collabo du systeme "democratique" europeen assaisonne sauce gauche. Desole Amaury, ce n'est pas toi que je juge avec ce constat. Pour ce qui est du mec capable de causer sans faire decrocher son auditoire, c'est certain. C'est un tribun exceptionnel dont beaucoup feraient bien de s'inspirer.
  11. [img:center]https://fbcdn-sphotos-a.akamaihd.net/hphotos-ak-snc7/380732_382559778445584_159124017455829_1210100_2112478264_n.jpg[/img]
  12. Danilsen : si j'ai à l'époque choisi d'être à mon compte au lieu d'être IDS, c'est non pas parce que c'était plus rentable pour moi (au contraire), mais parce que j'étais libre. Que je n'avais pas à pointer tous les mois et à réclamer mon dû... Parce que la fierté de créer une société de mes propres mains et de la faire grandir était plus grande que celle de demander des sous au ASSEDIC. Parce que faire travailler d'autres et leur amener du boulot était pour moi important... Et lorsque j'avais des factures à payer, et bien je cherchais encore plus de boulot. On m'a même dit que j'étais idiot de ne pas profiter (sic) de ce statut. Et je suis sûr qu'il y en a plein comme ça, des comme moi. Si des gens comme toi ou Teddy (et bien d'autres) sont des gens qui font l'honneur de ce statut, parce qu'ils ont tout compris à son sens, cela justifiant son maintien, combien de parasites se sont infiltrés quant à eux dans le filon ? Si vous avez autant de mal à avoir des contrats, c'est bien que par divers biais le système a engendré et nourri ces parasites, faisant des vrais artistes des victimes d'un véritable cancer culturel. Et l'un de ces biais -qu'on le veuille ou non- est ce statut d'intermittent qui fait survivre des gens qui, s'ils n'étaient "sponsorisés" par les ASSEDIC, seraient sous les ponts ou dans le métro (ou à l'usine avec les "avantages" mentionnés par Teddy). Les vrais artistes, ceux qui se démarquent, ceux qui ont un vrai talent seuls resteraient sans problème si ce statut n'existait plus ou s'il était plus draconien. J'en suis convaincu. Il est bien entendu que le statut associatif devrait aussi être plus encadré dans le même temps. Vous justifiez le maintien de ce statut comme si vous souhaitez garder un pansement, alors qu'il faut traiter la plaie. Nul doute qu'en éradiquant par la loi les tumeurs intermittentes, vous, artistes véritables, aurez largement plus de travail. Mais il est tellement plus aisé de condamner celui qui remet en cause un système, que de remettre ce dernier sur l'établi... Je suis pourtant persuadé que non seulement vous y gagneriez, mais la qualité des spectacles proposés au grand public aussi.
  13. La vache... bientôt, il va ressusciter les morts... On commence par Mao, par Trotski ou plutôt par Kellerman ? Pour le plaisir : les citations du jour qui éclairent bien les choses (j'espère) - "Nous sommes à la veille d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial." (David Rockefeller) - ""Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l'entité adéquate pour le faire." (David Rockefeller) - "Pour obtenir le contrôle total, deux ingrédients sont essentiels : une banque centrale, et un impôt progressif, pour que les gens ne s'en rendent pas compte." (Karl Marx) - "Le verrou qui doit sauter à présent, c’est la nation !" (Edmond de Rothschild – 1970) - "Peu importe le prix de la Révolution Chinoise, elle a réussie de façon évidente; non seulement en produisant une administration plus dévouée et efficace, mais aussi en stimulant un moral élevé et une communauté d'ambitions. L'expérience sociale menée en Chine sous la direction du Président Mao est l'une des plus importante et des plus réussies de l'histoire humaine." (David Rockefeller, 1973) - "Lorsqu'un gouvernement est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. [...] L'argent n'a pas de patrie; les financiers n'ont pas de patriotisme et n'ont pas de décence; leur unique objectif est le gain." (Napoléon Bonaparte) - "Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consentement". (Paul Walburg, financier affilié au CFR, 1950, devant le Sénat américain) - "Qui croit sans savoir est un sot. Mais qui nie sans savoir est un fou !" (Vercor). Je me posais encore la question du pourquoi du Mélenchon... Pas besoin de chercher plus loin... Alors... explication ou c'est assez clair pour vous ?
  14. Ca dépend... tu recherches un foulard type Niqab ou plutôt fichu Vamp ?
  15. C'est pas du Christian Chelman, justement (Dans LU, je crois me souvenir de quelque chose du genre, non ?)
  16. La bonne vieille poste ? J'ai envoyé le 4 avril dernier un courrier à un magicien du sud de la France, et qui n'est toujours pas arrivé. Le même jour, j'ai envoyé un courrier à Brest, qui lui aussi n'est toujours pas arrivé. Seul le paquet en colissimo envoyé le même jour est arrivé. La bonne vieille poste où un courrier arrivait même avec juste le nom et la ville a réellement vécu. RIP
  17. Je ne peux juger ces présentations à ces seules lignes, qui sont juste une sorte de trailer où l'on met les scènes les plus marquantes. C'est aussi un peu comme la pub de la lessive "qui lave plus blanc que blanc"... Au final, c'est juste de la lessive, avec quelques ingrédients en plus ou moins, avec parfois un poil de pub mensongère. Il faut voir tous les autres facteurs. Ce que ce sujet nous propose, mais il est tout aussi essentiel de voir au-delà... « En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un évènement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi. » (Franklin D. Roosevelt, président des Etats Unis de 1932 à 1945)
  18. Je veux bien pas mal de choses, mais là, c'est relativement très drôle, mon cher Jack. Donc effectivement comme tu dis, ca fait mal tellement je me tords de rire Ils ont certes réussi à mettre en place la religion unique. La leur. Bon... prenons ce qui est de l'éducation par exemple : c'est une fable que cela a amené l'éducation gratuite pour tous, car elle l'était déjà mais gérée par l'Eglise. Par contre, proposer l'école gratuite obligatoirement laïque, là oui (par laïque entendez franc-maçonne). Jules Ferry a réussi un coup juteux, en dépouillant l'Eglise de sa mission éducatrice. Que les maçons sachent lire entre les lignes, ça oui... mais de là à dire qu'on sait lire grâce à eux... Mais le sujet n'étant pas là je ne m'y éterniserais pas, d'autant que les maçons d'aujourd'hui n'ont que peu à voir (voire rien du tout) avec ceux qui ont bâti les cathédrales, à part peut-être une obédience. Ce qui est intéressant, c'est de voir que ceux qui viennent passer leur grand oral (en donnant des gages architecturaux) devant les frères la gratouille (comme les appelait Mitterand) sont à quelques exceptions près ceux qui vont se pavaner au dîner du CRIF ou à ceux du Siècle (pour ne citer que les deux plus connus), là encore en donnant des gages de bien-pensance. Sarko ne s'est pas pointé car il n'y a pas été invité, semble-t-il. La laïcité positive et son discours du Latran a dû y être pour quelque chose. Marine Le Pen n'a pas été conviée non plus (toutefois, il est intéressant de voir deux frères dans son entourage proche). Je m'interroge car depuis quand, dans un état de droit, laïc, se presse-t-on pour passer devant des initiés ? Il y a des intérêts en jeu, et avoir un programme tracé au compas est de bon ton... Ce qui est "drôle", c'est de voir que les FM ont réclamé à cors et à cris la séparation des Eglises et de l'Etat, et on voit qu'ils ont pris la place sans complexe... Ce qui est étonnant, c'est que le rejet religieux d'un mec comme Mélenchon ne s'encombre pas de cela quand il s'agit d'aller au travail. Heureusement que le Volume a pris le pas sur la Bible dans certaines loges. Ca évite les conflits de conscience... Ce qui est étonnant encore (quoique... ), c'est aussi de voir qui est membre de la commission Trilatérale (qui porte bien son nom), dont je parle plus haut, ou des Bilderberg & Co.. Ce qui est intéressant, c'est de voir les accointances, bien au-delà de ce que le pékin moyen voit... Mais tu as raison Toutefois, du moins de mon point de vue, il n'y a que le maçon de base qui pense encore que les buts sont restés philanthropiques. La haute de la FM, principalement là pour le réseau (sinon elle ne serait pas arrivée là) est loin de tout cela, le philanthropisme étant à ce stade très "individualiste" (pour rester correct). Pour en revenir à nos moutons : ce qui me laisse dubitatif, et je ne vois que deux raisons à cela, c'est pourquoi JLM dénonce des points qui sont en général pointés par les "eurosceptiques souverainistes" (catalogués comme tels par les "démocrates" européens), et qu'il n'est pas dans la ligne "démocratique" européenne. Soit c'est un pion de l'appareil, soit il a eu une grâce du Saint Esprit (ou un rayon de lumière révélatrice du Grand Architecte) sur son chemin de Damas... Toujours est-il qu'il a un mérite : il met en avant des problèmes qui étaient jusqu'à présent rejetés parce que soulignés par les "ennemis de l'Europe" (catalogués comme tels par les "démocrates" européens).
  19. Les débordements des autres professions n'ont pas à justifier ceux des IDS. Je reste persuadé que les primes et subventions ne sont pas un service pour ces professions, mais une façon de les maintenir en précarité et surtout en laisse. Aucune aide ne devrait être donnée, mais au contraire la politique devrait être repensée pour permettre de vivre sans ces primes (je pense aux agriculteurs). Pour en revenir à notre sujet, dis-moi : les meilleurs artistes mondiaux ne sont pas français. Me trompé-je ? Or donc, ce statut spécifiquement franco-français est-il si utile que cela, dès l'instant où il est gangréné ? Certes, il a eu son utilité j'en suis persuadé. Mais au bout d'un moment, si la gangrène est trop importante, il faut peut être penser à d'autres solutions, non ? Pourquoi ne pas donner à ce statut le droit à mourir dans la dignité ? Autrefois, les mécènes subvenaient aux besoins des artistes, et c'est ainsi que nous nous rappelons de gens comme Michel Ange, Mozart... Il n'y avait pas de place pour les médiocres. Je suis persuadé que celui qui veut peut vivre de son art, s'il prend les moyens pour cela. Ca marche dans d'autres pays, alors pourquoi pas en France ? Cela ne reste bien entendu que mon avis... et je risque de brûler sur l'autel de l'intermittence pour ce blasphème, mais il est dit
  20. Très intéressant, même si on sent bien la truelle dans sa profession de foi.
  21. Merci de mettre cela en avant (à noter toutefois par mesure d'équilibre électoral que le FdG n'a pas seul dénoncé cela - on trouvait cette info sur les réseaux d'information non alignés depuis plusieurs semaines - mais qu'il a par contre le mérite de l'annoncer au plus grand nombre). Précise aussi ces anciens de Goldman Sachs, qui dirigent l'Europe sans aucune légitimité (ils n'ont pas été élus par le peuple, que je sache) : - MARIO MONTI : nouveau président du Conseil Italien - MARIO DRAGHI : à la tête de la Banque Centrale Européenne, ancien vice précident de Goldman Sachs - MARK CARNEY : ancien de Goldman Sachs, président du Conseil de Stabilité Financière - ROBERT ZOELLICK : ancien de Goldman Sachs, dirigeant de la Banque Mondiale - LOUKAS PAPADEMOS : Nouveau premier ministre grec, soupçonné de collusion avec les banksters de Goldman Sachs alors qu'il dirigeait la Banque Centrale Grecque. Etonnant quand on voit le rôle de GS dans le plombage de la Grèce, non ? - PETROS CHRISTODOULOS : nouveau gestionnaire de la dette grecque, ancien trader chez Goldman Sachs. Etonnant quand on voit le rôle de GS dans le plombage de la Grèce, non ? - WILLIAM DUDLEY : président de la Banque Fédérale Américaine (FED), ancien de Goldman Sachs - ANTONIO BORGES : ancien dirigeant de Goldman Sachs, directeur Europe du Fonds Monétaire International (FMI) Comme vous pouvez le constater, rien que les postes clés européens et mondiaux sont occupés par des anciens de Goldman Sachs. Même ceux qui ne sont pas partisans de la thèse du complot peuvent penser bien des choses, à juste titre. Et je vous invite à écouter ce que dit Nigel Farage, député européen. Même si certains peuvent ne pas être de son bord politique, écoutez bien son discours, car c'est celui qu'il tient depuis des années, et que TOUT s'est vérifié depuis. [video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=FN7GiJ66v8Q [video:dailymotion]
  22. Dites... si vous commenciez par vous demander combien de temps vous pouvez vivre sous l'eau avant d'imposer ça à un poisson qui n'a rien demandé. Y'a assez de tours qui existent pour jouer avec la vie animale, non ? Si encore vous le bouffiez, le poisson, après le tour... mais même pas.
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