Sylvain MIRF

Salut JY La question est de savoir en quelle place est-il sur la liste. A cause de la parité homme-femme, et compte tenu que la droite à peu de chance de passer dans le 18ème, je doute que notre Gégé se retrouve au conseil de Paris. Mais sait-on jamais. Je pourrais l’y retrouver … Cela nous changera des tribunaux …

Ces éditos ont été publiés entre 1948 et 1956. Celui sur la télé date de 1954. J'espère que cela vous donnera envie de lire les éditos quelle que soit la revue.

Voici la suite, pour ceux qui aiment lire entre les lignes et chercher des réponses factuelles aux questions sous-jacentes … .

Robert Veno était l’un des rédacteurs de la formidable revue Le magicien. Il en faisait également les dessins. Durant plusieurs années, il rédigea les éditos de cette revue. Un demi siècle plus tard, ses éditos sont toujours d’actualité. Toutes ressemblances avec des personnes existantes seraient purement fortuites…

La réponse était "la minute nécessaire de Monsieur Cyclopède". Bravo Jean Yves. Comme dirait Jaques Martin, dont je viens d'ouvrir la bouteille de cognac qu'il m'a offert il y a quelques années, "tout le monde à gagné". Jean Yves, une interview exclusive d'un grand de la magie qui viens de nous quitter, David un tube dentifrice absolument pas truqué, Réginald une voiture rouge avec girophare , et Lancelot le téléphone de ma copine Michèle Bernier en mp.

Jean Yves, le défi qui te concerne se trouve en haute de la page. Il te reste une minute ...

Bonne réponse Docteur. On reconnaît le toubib spécialiste qui prescrit de bonnes séries allemandes plutôt que des somnifères à ses patients. Respect. En même temps, la bourse oz id, je t’avais soufflé la réponse il y à quelques mois. Décidément, même sur internet, les dés sont pipés. Les veinards … L’émission était présentée par Jean Walton, l’imitateur, pas le magicien. La boîte de jouet est à retirer chez notre ami Gérard. Bon courage et n’oublie pas tes dés …

Belle approche Hervé. Il y avait également quelques sketchs dans la série culte Palace. Do it again. Comme je ne souhaite pas déflorer la réponse pour laisser à Jean Yves le plaisir de trouver en attendant que son Big Boss soit remercié (hou la le scoop), voici une question concernant ce post. Quelle est l’émission qui inspira « Y’a un truc » ? Le titre de l’émission sous forme de charade pour permettre à ceux qui n'ont pas connu le noir et blanc, de jouer : Mon premier est une station de métro « qui monte et qui descend ». Mon second est le nom d’un célèbre magicien. Mon troisième son les initiales d’un personnage d’une série allemande soporifique. Mon tout est le titre d’une émission produite par Armand Jammot et qui donna naissance plus tard à l’émission « Y’a un truc ». Une boîte de jouet à la clef. Banane née et meilleurs œufs à tous.

Alors là moi je dis Monsieur Petit Bonhomme. Réussir à retrouver cette chanson, chapeau bas. Quel bain de jouvence. Aussi mon cher Jean Yves, je te lance un défi. Le second degré étant à la mode, trouve moi le seul programme basé sur le second degré qui date de cette période. L'émission à évidemment suscité un tollé à l’époque faisant ainsi comprendre à tous les pros de la télé que le second degré ne fonctionnerait jamais à la télé ? Si tu trouves, j’ai un cadeau unique pour le petit Zébulon. Attention, le temps t’es compté. Tic Tac …

Doit on condamner et punir les fumeurs de cigarettes qui font leur malheur tout seul ou bien les entreprises qui ajoutent des substances augmentant la dépendance ? Doit-on condamner et punir les automobilistes d’être responsables de la pollution ou bien alors auriez-vous un jugement plus critique à l’égard des producteurs de pétrole et des fabricants de voitures? J’ai le sentiment que les propos maladroits de Peter confondent le fond et la forme, c’est-à-dire les artistes d’un côté et leur traitement de l’autre. Ils ne peuvent pas savoir d’avance qu’ils seront maltraités. Les artistes ne sont pas coupables mais bien victimes comme Peter reconnaît l’avoir lui-même été dans une émission du même genre. Comment aurait-il réagit si quelqu’un avait tenu à son égard les propos si excessifs qu’il tient ci-dessous. N’aurait-il pas trouver cela bien injuste, à l’image de mon premier article qui ne lui était que partiellement destiné afin de lui rappeler certaines vérités dérangeantes dans sa propre « demeure ». Article déplacé j’en conviens mais moi aussi c’était du dix huitième degrés Peter. Je sais bien que jamais tu ne ferais preuve d’une telle immaturité d’analyse. Pour ma part, je ne cautionne pas ce qui est écrit ci-dessous, surtout venant d’un responsable du milieu magique. Cela ne remet pas en cause tes autres qualités que personnes ne contestent. « « Qui est responsable ? Sans aucun doute pour moi, les seuls et uniques coupables sont les artistes qui se prêtent à de telles émissions, en étant suffisamment stupides pour croire que cela fera d'eux des VEDETTES ou obtenir une certaine reconnaissance.(…) Que pourrait on faire ? Dans l'absolu et en prenant en compte que le fait d'accepter de faire gratuitement une émission rapportant des milliers d'euros à des producteurs est un viol manifeste de la déontologie. Les artistes se prostituant dans ce genre de parodie devraient être interdit de sélection dans les compétitions officielles. (…) Ils devraient perdre toute possibilité d'être engagé de façon rémunérée dans l'une ou l'autre de nos manifestations (…) Pour moi les artistes se prêtant à ce genre de Trash TV Show n'ont aucune excuses, ils méritent les sarcasmes et les avatars qu'ils subissent, car c'est ce qu'ils acceptent implicitement en s'engageant. Et je trouve que les juges ne vont pas encore assez loin dans l'entreprise de démolition. (…) J'ai participé une fois à une de ces parodies télévisuelles, avec moi aussi l'illusion que celle-ci servirait les intérêts de l'association que je représentait. Ce fut sur ce plan d'une efficacité nulle et j'ai eu la chance que mon image ne fut pas égratignée mais à quoi cela m'a t'il servi ? (…)» »

Autant je cautionne les critiques à l’égard des méthodes de production de ces émissions, autant charger de jeunes artistes en envisageant des représailles avec tant de facilité est indigne d’un représentant de notre corporation. Tout le monde a le droit à l’erreur, j’ai bien dit tout le monde. Ce n’est pas en incriminant ces artistes que nous créerons le lien. Il est certes plus facile d’attaquer une poignée d’artistes plutôt que de faire face à des maisons de productions qui sont passées maître dans l’art des contrats léonins. Mon intervention, volontairement provocatrice, n’avait pour but que de montrer qu’il est toujours plus facile de critiquer la paille dans l’œil du voisin, surtout quand celui-ci n’a pas les moyens de se défendre. Cela ne retire en rien toutes les autres bonnes choses que tu fais pour notre collectivité mon cher Peter, et pour lesquelles je t’appuierai toujours et bien évidemment je partage le reste de tes dires. Mais ne compte pas sur moi pour faire de la lèche, comme d’autres le font si bien, quand tes propos vont trop loin. Quant à José, je ne faisais que transmettre ce qu’il m’a dit quelques mois avant sa disparition, période où tu n’étais pas en poste, et oui j’étais bien tristement présent le jour de ses adieux.

A l’age de 21 ans, je me souviens avoir, participé à un concours et j’ai été très heureux de voir ma prestation finir par une standing ovation. Au palmarès, on m’expliqua que j’avais été disqualifié car mon numéro faisait onze minutes au lieu des dix réglementaires. Dans mon programme figuraient cinq tours qui comportaient des techniques nouvelles dont Osmose. Ce concours se passait à Saint Malo sous l’égide de l’AFAP. Comme quoi il n’y a pas besoin d’aller à la télé pour être jugé par des baltringues. Mais ça fait toujours bien sur sa carte de visite de noter qu’on est le président de la baltringue académie. Celle là même qui n’a jamais honoré Garcimore par exemple. Alors jouer les curés flics en incriminent de jeunes artistes qui n’ont toujours pas compris se qu’est devenu la télé, envisager des sanctions à l’égard de pauvres gens qui ont espoir de faire carrière en passant par la mauvaise porte, je trouve cela assez minable. Dommage de ne pas avoir mis la même énergie pour contrer les émissions de M6 qui ont ouvert la porte à la diffusion des émissions du magicien masqué sur cette même chaîne. Alors oui, t’as raison mon gars, y’a vraiment des coups de pieds au cul qui se perdent.

C'est gentil à vous mais ces deux émissions ont provoqué la colère d'un certain PS qui présente un cabaret sur une autre chaîne du service publique. Quand on revient à l'antenne grâce au président en poste et que l'on bat TF1 en audience, on à tous les pouvoirs, ou presque. Normallement en 2008, on reverra enfin de la magie à la télé. Merci on vous rappellera ...

Voilà une solution toute simple pour l’application des effets de prédictions de liquide que j’ai développée il y a quelques temps déjà. À l’époque, je l’avais fabriqué avec des grandes éprouvettes graduées, toujours sur le principe des vases communicantes. Le système était un peu plus complexe et permettait le rapprochement final des deux éprouvettes, mais dans le cas présent, l’effet fonctionne pareillement. Considérons ici que la connexion entre les deux verres soit dissimulée dans le socle d’un plateau. L’effet : Deux tubes recouvrent deux verres. Un des verre est une prédiction. Le magicien verse du liquide dans l’autre verre et s’arrête au stop du spectateur. Le tube est retiré pour montrer le niveau versé. Puis on retire le second tube pour montrer que la prédiction correspond avec un second verre rempli au même niveau. Il y a même une ruse exploitable pour permettre aux contenus des deux verres d’être de couleurs différentes…

La version que présente Copperfield est une invention de Steve Fearson.

Ravi que tu souhaites prendre part au débat mais je ne comprends pas ta réponse. Peux-tu préciser ta pensée ?

Mon cher Marc, comme tu cherches un peu de baume au cœur, je te pris de trouver ci-joint un pot de 12 litres. Félicitation à toute l’équipe organisatrice qui, avec une véritable volonté de bien faire et de bienveillance, nous offre cet événement de qualité. Un tel dévouement à l’égard des artistes mérite d’être souligné. C’est un véritable bonheur de voir autant de jeunes artistes de scènes si prometteurs. Mais je dois néanmoins signaler un bémol que l’on retrouve trop souvent dans les jurys de concours. La présence d’un ayatollah parmi le jury qui impose des décisions contraires à la majorité des membres qui, par faiblesse, incompétence ou je m’en foutisme, laissent faire. Le même ayatollah qui, par copinage, impose un premier prix à un numéro qui, bien que très prometteur, reste inférieur en qualité à d’autres. Ce n’est pas rendre service à l’artiste concerné. C’est ainsi qu’un numéro qui a le potentiel d’un premier prix fism, a fini troisième au classement. C’est du grand n’importe quoi. (Marc, je sais que tu penses pareil) Pour éviter cela, je crois judicieux de faire concourir moins de numéros afin de permettre au jury d’affiner ses jugements. Et pour être tout a fait sincère, je suis beaucoup plus favorable au jury public (vox populi, vox dei). Cela évitera les ayatollahs qui promulguent des conseils qu’ils n’appliquent pas à eux-mêmes. Je tiens donc ici à transmettre à un certain nombre de numéros qui n’ont pas été récompensés à leur juste valeur, voir même pas récompensé du tout, tous mes vœux d’encouragement et de soutien. Vive Marc Anthéor, vive la république et vive la France. (ps : Marc l’année prochaine, c’est toi qui présente. Et dans le cas où le théâtre souhaiterait changer ses rideaux par le biais des assurances, n’hésite pas à engager Alpha …)

Bonjour Camarades non syndiqués, Ayant une petite expérience dans la magie à la télé, l’animation et la production, je ne résiste plus à l’envie de poser mon grain de sel. Autant vous dire que vos messages doivent faire de la peine aux artistes participant qui n’ont pas conscience de s’être fait piégé mais également au producteur qui, de bonne foie, à cru concevoir un programme moins pire que se qui était prévu par la chaîne. Comme je trouve que les jugements que j’ai pu lire et que je partage parfois, manquent cruellement de nuance, je vais jouer les avocats du diable. Tout d’abord je tiens à mettre de côté les critiques sur la réalisation ou sur les messages de l’animateur ( aîe, c’est le même qui présentait les émissions du magicien masqué sur Match TV). Le réalisateur n’a pas conscience que la magie, au même titre qu’un match de foot, repose sur sa compétence et sa capacité d’écoute à l’égard des artistes. Hors, quand on doit boucler deux émissions avec un budget réduit, et que le temps vous est compté, il n’est pas aisé de retourner la séquence. Et pendant ce temps-là, le public attend. Ce même public qui dira à la sortie du studio : « bon sang ce que c’était long ». N’oublions jamais que les spectateurs des studios de télé sont autant de cartes de visite publicitaire d’un programme. Il ne faut jamais négliger ce public que l’on confond si souvent avec le décor. Parler de la forme de l’émission me paraît plus subtil. La question à se poser est la suivante : « Quelle est la promesse de l’émission ? » La réponse étant : « on va vous dévoiler les secrets des plus grands magiciens » En état, ceux qui n’ont pas vu l’émission mais qui ont reçu ce message dans la bande-annonce savent désormais qu’il existe une émission qui dévoile nos secrets. Ceux qui ont vu l’émission auront globalement ce sentiment curieux d’être tenu en haleine pour satisfaire leur curiosité. Un peu comme ceux qui regardent des programmes de télé réalité. L’erreur majeure consiste, à mon sens, à tirer la peinture d’une idée de séquence pour en faire un concept. Personnellement, je trouve amusant au sein d’un show télé, de voir un magicien faire un tour de comédie et de voir ensuite une explication véritablement surréaliste. Puis l’animateur fait un clin d’œil au public et lui propose de voir une version plus probable du tour. Mais de là à en faire un concept intégral me paraît très réducteur car du coup le contenu n’est plus en accord avec la promesse. L’expérience m’a montré que le second degré ne marche pas à la télé. Un autre exemple de séquence sur laquelle on « tire la peinture » et le fameux « y’a un truc » d’Armand Jammot. Là encore, autant une séquence de ce type au sein d’un show reste attractive, comme l’ont fait Paul Daniel et Luis de Matos (en présentant l’énigme au début de l’émission et la solution à la fin ), autant en faire un concept me paraît très destructeur pour la perception de la magie. L’éternel conditionnement du spectateur à jouer pour trouver le truc et induire ce réflexe de pensée qui à tant nuit à notre pratique (déjà à l’époque), et qui présente la magie comme un puzzle, est terriblement réducteur. Nous sommes donc face à deux bonnes idées de séquence qui sont jumelées et démultipliées pour en faire un programme complet. Je sais que le producteur et les artistes participant sont compétants dans leur domaine et ont la même volonté de bien faire. Ils aiment la magie mais ils sont également contraint par un diffuseur qui ne connaît pas le sens des mots éthique, respect, déontologie. Trouver l’équilibre entre le financier et l’artistique est le casse-tête classique des producteurs passionnés. Mais soyez honnêtes. Comment se fait-il que les programmes d’Arte ne fassent pas une meilleure audience vue leur qualité ? Les regardez vous ? J’espère de tout cœur que lors des deux prochaines émissions, le diffuseur acceptera de laisser plus de place aux séquences mise en scène comme celle du bureau de police et de l’automobiliste verbalisé. Elle est là la piste à suivre. Mettre en scène la magie pour qu’elle s’inscrive dans le quotidien des gens. Ne laissez pas le monopole du rire à Cauet. Bon courage camarades non syndiqués. Que la force soit avec vous pour les deux prochaines. Sylvain Mirouf

Ah ! que de souvenirs. En effet, la routine que j’ai présenté m’a été montrée par Allias. Lors de son exécution, la jeune femme qui me couvrait les yeux s’est collée derrière mon dos et une partie de son anatomie m’a quelque peu perturbé… Pour les plus jeunes, sachez qu’Allias a créé de nombreux effets. Il a gagné un prix prestigieux avec une routine très originale basée sur les empilages de dés. La meilleure du genre à ma connaissance. Il pratique également l’escapologie et a conçu bon nombre d’effets originaux. Il appartient à cette famille d’artistes qui ne cherche pas à être à la mode au même titre que Thierry Collet, Carmello, Bertrand Crimet, Didier Dupré, Quoc Tien Tran et tant d’autres dont l’apport au patrimoine magique est inestimable. Bises. S.

Pour raison professionnelle, la conférence prévue sur Toulouse est annulée. Merci de faire circuler l'info auprès des confrères toulousains.

Bravo l'artiste. Une magie originale pleine de sens. Quand au gimmick, bonne fabrication et beaucoup de possibilités. Le 22 avril, je vote Joke. Bises. S.

Voilà la MIR ... ouf !

Je confirme. Michel Lebb en a fait les frais. Même que le petit bout de doigt coupé correspondait parfaitement au bras caché dans le citron...

Pour info, l’idée de placer quelques gouttes d’essence C au fond du gobelet en cuir suffit à créer l’effet. Vous effectuez l’empilage, puis vous inclinez légèrement le gobelet. Comme l’essence est très volatile, il suffit d’approcher une flamme de briquet prêt de l’ouverture et le gobelet intérieur s’enflamme. Faire deux ou trois mouvements verticaux en augmentant l’amplitude puis retirer le gobelet pour révéler l'empilage. Puis posez le sur la table pour permettre aux flammes de s’éteindrent. Pour rebondir sur le message de Thomas, l’hôtel sculpté dans la glace où se trouve Zenon est une merveille. Renseignez vous, vous ne le regretterez pas. Si vous n’avez jamais dormis sur un lit de glace, c’est l’occasion, mais allez y de préférence avec une fille chaude …

L’histoire du SUDOKU Beaucoup de personnes de part le monde sont persuadées que le jeu du Sudoku vient de Chine. En effet, un retraité néo zélandais, Wayne Gould, habitant Hong Kong créa un logiciel informatique permettant de générer des grilles. Il vendit ses grilles à plusieurs journaux et la mode était née. Voilà comment les joueurs furent persuadés que le jeu était chinois. Seulement voilà, la théorie du Sudoku est basée sur les travaux de Léonhard Euler ( 1701- 1783), mathématicien Suisse de son état. Ce dernier ne fit jamais état de sa paternité, et pour cause. On fit savoir à Wayne Gould que le jeu trouvait ses origines chez Euler. Gould ne voulu jamais le reconnaître. Lorsqu’on lui posait la question : Monsieur, votre logiciel est une vraie création qui vous appartient, alors pourquoi refusez vous de reconnaître à Euler la paternité de l’ idée ? Ce dernier répondit : « j’ignorais de bonne foi la paternité d’Euler et mon jeu a pris une telle réputation dans le monde qu’il m’est impossible aujourd’hui de reconnaître qu’un autre ait pu développer l’idée avant moi. Je préfère répondre que mon arrière arrière arrière grand père faisait déjà des carrés magiques en son temps ».