Sylvain MIRF

Une idée en passant. Si au lieu de joker, tu avais 4 biscottes dessinées. La première se beurre toute seule. Puis la suivante etc… Au final, elles sont toutes couvertes de confiture. Du coup, ton texte ira de soit et ton tour trouvera du sens.

"Lancelot de vie" crie David Ethanol

Lors du tournage des émissions à Las Végas, j’ai réalisé une carte au hublot dans le vol retour. Malheureusement la bande n’était pas exploitable. A l’aller, prenez un journal et faites un patron du hublot. Sur place, faites découper dans une feuille de plastique dur un faux hublot. Lors du vol, demandez à votre compère qui est assis prés d’un hublot d’installer un duplicata de la carte et de fixer le faux hublot par dessus avec un peu de colle post it. Puis descendre le volet du hublot pour couvrir la carte. Tout ceci est fait lorsque la personne assise à côté de votre compère va aux toilettes. Attendez son retour. Forcez lui le duplicata de la carte. Pendant ce temps là, votre compère lève le volet discrètement et se penche pour cacher la carte duplicata. Toute l’attention est portée sur le jeu mélangé. Projetez le jeu sur le hublot. La carte apparaît. Le spectateur essaye de la prendre. Impossible. Sortez alors vos clefs et décoller le faux hublot à la vu de tous pour retirer la carte. Vous auriez vu la tête des hôtesses !!!

T’inquiète pas Petit Bonhomme, on t’invitera pour les vendanges. On à besoin d’un nain pour ramasser les grappes au pieds des ceps. Nos reins sont trop sollicités à autre chose. Surtout ceux de Draco :-) Les bises.

Quel boulot ! Dix jours et dix nuits pour concevoir une nouvelle conférence avec deux livrets nouveaux. Etant passé dans la région moins d’un an auparavant, il fallait bien ça. Arrivé épuisé après plusieurs nuits blanches ; mais l’appel de la Bourgogne prend le pas. La gentillesse des habitants de la région et ce décors de vigne à perte de vue qui me rappelle mon enfance du temps où je pressais le raisin avec les pieds. Cela chasse un peu la fatigue. Il faut vous dire que je suis comme un gros bébé. Quand j’ai pas mes 8 heures de sommeil, je suis bougon. Et encore c’est un doux euphémisme. J’arrive à l’hôtel. Chambre conçue sans doute par des maçons qui ne buvaient pas que de l’eau vu que le sol ressemble à la mer du Touquet par jour de grands vents. Direction la salle de spectacle où je dois présenter un sketch en ouverture du spectacle. Et là je rencontre Kiki. Un personnage à la Audiard avec le nez de Depardieu, l’élocution de Castaldi et une haleine de premier cru. C’est parti pour un verre de blanc exceptionnel qui rappelle le sens du mot bonheur. Il a planqué la bouteille la veille pour qu’elle échappe à Merlin. Vous connaissez Merlin, quand il y a du liquide, il est toujours là. Je l’aime ce Kiki. Et alors sa cuisine, c’est 8000 calories la bouchée. Un régal. Le spectacle se déroule très bien. Le public est enchanté. On passe au dîner et là, nouveau spectacle à table. C’est un festival de déco nne. Draco est le seul à ne pas boire une goutte. Il gère l’eau gazeuse. Mais c’est une nature à l’œil rieur. Merlin gère les boutanches et partage des anecdotes croustillantes. Notre Lancelot avec son flegme anglo-saxon, enchaîne les calembours, David suffoque de rire et Draco se demande comment se faire souffler dans l’alco test par Vanessa qui s’est épilée pour l’occasion. Et dire qu’a la télé c’est la crise. Nous c’est la crise de rire. Pour certains, la crise de goutte. Conférence du lendemain. J’attends. J’en profite pour appeler mes copains du Diavol. Faut dire que j’ai transmis quelques tuyaux à mon parrain pour une conférence qu’il joue là bas. Il me parle d’un belge qui présente mon effet des assiettes en carton. Un plagiat au Dia Vol, c’est moche. Faudra penser à lui donner une médaille à la prochaine Fism ☺. J’attends toujours. Ca picole et ça chante dans la salle de restauration avec un groupe folklorique. La conférence débute vers 15h30. 8 personnes en plus des artistes engagés. Dur dur. C’est dans ces moments là que je me dis : » courage mon Sylvain, tu as dormi 3 nuits en 10 jours pour préparer cette conf, cela vaut bien un petit cauchemar. » Arrive le Merlin frit, avec sa bouteille dans la main droite et son verre dans la main gauche, posant le tout sur ma table de conférence, s’écroulant sur sa chaise et s’avachissant sur ma table. C’est parti mon kiki. Merlin fait des micros siestes entre deux tours. Il cuve. De temps en temps il ouvre un œil. Cet œil de bœuf qui n’est pas sans rappeler les plus belles caricatures de Gotlieb. Moi j’ai les yeux qui piquent. Sommeil. Après la conf, visite des caves de Bouchard, nom popularisé par Jean François Dereck. Une Isabelle flamboyante nous fait la visite et la dégustation. On embarque les cadavres pour le dîner. Merlin gère le liquide … . Faut dire qu’il est gourmand. Tourte aux escargots, et après je sais plus. A partir de 8 grammes, je ne me souviens plus de grand chose. Ha si , il y avait des légumes mais pas d’asperge, Lancelot nous a fait une grosse boulette verte à pleurer de rire et Merlin a fait des tours de carte sans être payé. Un exploit. Faut dire qu’après le hold-up … Direction la boîte de nuit. C’est ma tournée. Je dors debout. Déjeuner du lendemain. Autant vous dire que j’ai pas faim. Je préfère passer mon tour. Arrive les amuses bouches. Des accras, mon péché mignon. C’est parti pour des œufs en meurettes à tomber et des riz de veau caramélisés à l’huile de truffe. Dieu existe, y’a plus de doute. Pour finir, un grand merci à Sorano et son équipe pour ce festival et ces moments de convivialité. Peut être que l’année prochaine, on pourrait se passer des conférences au profit d’un show de close-up le vendredi. Juste après l’apéro …

La petite citation concerne le sujet initial et non un souci d’intendance dont j’ignore tout. Bises à tous.

Quelle est la différence entre le totalitarisme et la démocratie ? Le totalitarisme c’est « ferme ta gueule » et la démocratie c’est « cause toujours ».

Les femmes s’attrapent comme les lapins ; Par les oreilles.

Ces américains sont vraiment fort pour la vente ! Mais concernant Smart ass, j’avoue ne pas comprendre l’intérêt de démarrer une procédure pour finir par le tour ultra classique de l’éventail de doubles. Il faudra que l’on m’explique l’intérêt de cela. Voici donc mes suggestions. J’espère qu’elles vous séduiront. Tout d’abord, je conserve l’idée de jeter les cartes tout au long de la procédure ( vu que c’est la seule originalité du tour) et jusqu’à la fin pour rester cohérent. Ensuite, j’utilise mon système d’attache (qui date des années 90) et qui permet de libérer les cartes en les effeuillant sans que cela fasse un bruit suspect. ( Cf. Accolade notes de conf Sang neuf). La procédure de couper le jeu à chaque fois est respectée mais c’est le magicien qui coupe le paquet à chaque fois. Arrangez vous pour finir avec 4 cartes doubles. Si vous en avez 6, faites un paquet de 4 et un paquet de 2. Le but étant de finir avec deux doubles. Le paquet étant égalisé, le spectateur n’a aucune idée du nombre de cartes restant. Effeuillez les deux doubles pour les détacher et éventaillez les 4 cartes légèrement. Puis distribuez les deux premières en les inversant dans la main gauche, les deux suivantes une à une dans la main droite du spectateur. Ainsi un duplicata se trouvera dans chaque main. Demandez au spectateur de jeter deux cartes par dessus son épaule. Demandez enfin au spectateur de prendre une carte dans chaque main ( ce qui est possible avec mon système d’attache ) et de vous donner une carte. Faites un choix équivoque et l’affaire est réglée. Et puis sinon, je vous invite à faire un retour aux sources en visionnant « Magie Spéciale Las Vegas N°2 »… . Bises.

Petit souvenir de Robert FRANCOIS, mon ancien voisin qui m’a si gentiment accueilli chez lui à de nombreuses reprises. Il me suffisait de traverser la rue qu’affectionnait tant Gabin, Brasseur et Marie Josée Nat à travers un film du même nom. Certaines de ses paroles raisonnent encore en moi. A l’époque, il insistait pour que je n’accepte aucun gala en dessous de 3000 francs (450 €). J’en ai mangé des nouilles et des biscottes pour avoir honorer ma promesse… Ses affiches de l’époque annonçaient son programme d’au moins deux heures, basé sur l’occultisme qu’il tentait de dénoncer. Durant ses représentations dans les cafés, assisté de Linda, toutes les dix ou quinze minutes, il vendait un horoscope, un petit livre de tours, une tombola … Un des derniers effets qu’il mit à son répertoire fut un tour vendu par Jean Merlin utilisant une cassette audio en guise de prédiction. Il avalait le feu avec une réelle maestria et finissait son spectacle par la catalepsie sur chaise et sa célèbre tête aux poignards avec petites lucioles incorporées. Je ne me souviens plus du nombre impressionnant de couteaux qu’il enfonçait. C’était un libre penseur. Un homme érudit et loyal. Cela fait 20 ans qu’il nous a quitté. C’était mon voisin.

Merci les amis pour vos témoignages de sympathie et comme dirait mon grand père : « Si notre destin est de finir dans un trou, fasse qu’il y est du poil autour. » Bises à tous. S.

Un illusionniste qui façonne sa pensée sur les opinions des autres n’est pas un illusionniste mais un illusionné.

Il existe six approches spécifiques. - La magie qui s’adresse à un aveugle - La magie qui s’adresse à un groupe d’aveugle - La magie qui s’adresse à un aveugle en présence de voyants - La magie qui s’adresse à un voyant en présence d’ aveugles - La magie où le magicien est aveugle - La magie qui fait abstraction du sens visuel. Pour développer les niveaux de réflexion, je vous encourage à allez dîner dans le restaurant parisien « Dans le noir », rue quincampoix.

Sapristi, je m’absente une semaine et c’est à nouveau le bazar. Toujours le même belge qui persiste à écrire pour ne rien dire. Je sens que je vais annuler ma venue aux 52 de Liège si ça continu Je vais donc répondre, ne serait-ce que par respect et remerciement pour ceux qui sont intervenus sur ce post mais surtout dans un but didactique. « Le business avant l’artistique… Dommage » dites vous. Comment peut on dire autant de bêtises en aussi peu de mots. Faire l’artiste, c’est un business lorsque l’on est pro. On appelle cela le show business et les deux ne sont pas incompatibles. C’est parce que je fais l’artiste que je peux en faire un business et non l’inverse. Mais c’est parce que je fais aussi du business avec respect que je peux m’offrir le luxe de choisir. Choisir d’aller faire des conférences et des galas de magiciens pour des cachets au rabais, préserver mon plaisir de venir vous voir et d’avoir un sourire Franc là où d’autres conférenciers ont parfois un sourire en Euros. Cela me donne du temps pour chercher de nouveaux effets, présenter des galas pour des associations d’enfants malades, cela me permet de nourrir ma famille, et ils bouffent les cochons ! Cela permet d’éduquer le public. Cela permet enfin à des parents de dirent : » j’ai acheté une boîte de magie qui a du contenu » contrairement à certaines daubes qui polluent le marché. Mais ce dont je suis le plus fier, c’est de savoir qu’un jour, un magicien portera les couleurs de la magie après avoir peut-être eut, gamin, ma boîte de jouet. Je dis ma boîte à tort car dès lors qu’elle est en sa possession, elle ne m’appartient plus. Je suis le premier critique de mon travail. Cette boîte n’échappe pas à la règle et comme toute chose, elle est critiquable. Comme aurait dit un de mes maîtres, OPTA ( On Peut Toujours Améliorer). C’est d’ailleurs l’éternel problème entre l’artistique et le financier. Il faut apprendre à faire des concessions pour trouver un équilibre acceptable. J ‘en profite pour remercier Magic Mick pour sa judicieuse remarque que je vais m’empresser de transmettre à l’éditeur. Comme votre première réflexion n’a pas trouvée d’écho Monsieur Valentin, vous changez votre fusil d’épaule pour à présent taper sur Romano entre autre qui augmenterait le nombre de produits grand public. Alors là plus de doute. Ce que je prenais pour de la maladresse ou de la critique partisane stérile devient une réflexion profonde dans le sens du creux. Comment est-il encore possible à ce point de n’avoir rien compris au système. Alors à quoi cela sert-il de faire des produits commerciaux ? Et bien cela permet de générer une économie de marché. En faisant cela, cela provoque une considération de l’activité. Une considération de la part du public en général et des « décideurs » en particulier. Si la magie a connu une telle croissance aux états unis, c’est justement parce qu’ils ont compris que sans économie de marché, une activité est vouée à disparaître. C’est cette même économie de marché qui accroit le public de vos spectacles mon cher Karl. Celle là même qui accroit la fréquentation des clubs et des magasins spécialisés. Celle là même qui incite un employeur à se dire : » Et si j’engageais le grand Karl Valentin et son splendide spectacle ». Alors oui mon image fait vendre et tout le monde en profite. Et pardon pour cette immodestie mais à ce jour, c’est encore celle qui a fait vendre le plus de tous les magiciens français médiatisés. Je n’ai donc qu’une seule question à soumettre à votre sagacité : Pourquoi ? Je vais vous simplifier la tache. C’est parce que j’ai fait aimer la magie à des personnes qui y étaient réfractaires. Je l’ai fait en faisant l’artiste malgré mon jeune âge, ma naïveté et mon inexpérience. J’ai rendu la magie sympathique là où d’autres en avait fait un puzzle ou bien encore l’expression de leur vanité. En vingt ans de métier, c’est mon seul mérite. Je vous souhaite de pouvoir en faire autant malgré le niveau de vos analyses. Enfin, je sais à quel point la réussite et l’exposition médiatique génèrent des jalousies malsaines, des attitudes médiocres et des ragots de village. L’interprétation est le sport national dans notre milieu, particulièrement chez ceux qui raisonnent avec leur cœur plutôt qu’avec leur tête. Je n’ai pas le temps d’être l’ami de tout le monde Monsieur Valentin. D’ailleurs ne vous y trompez pas, un tel individu ne serait en réalité l’ami de personne. Mais je fuis comme la peste les manipulateurs pervers, les gens malhonnêtes, les borgnes qui se font passer pour des rois et les malheureux qui structurent leur pensée sur des impressions plutôt que sur des faits. Cela vous aidera peut être à comprendre mon positionnement à l’égard de certains de vos « amis ». Je n’ai rien contre vous mon cher Karl mais de grâce lorsque vous critiquez, essayez d’argumenter avec bonne foi à défaut d’intelligence.

Profitez des anciens mes amis, ils partent si vite. Appelez Edernac, Max Tassel, Maurice Gauthron, Charles Barbier, Pierre Etaix, Claude Rix … Rencontrez les. Ils seront ravis de partager avec vous connaissances et anecdotes juste par plaisir. Et surtout, ils ont passés l’âge de se comparer ou de jalouser. Et ça, cela n’a pas de prix…

Pour ceux qui n'auraient pas compris la manoeuvre, l'idée de vendre des pièces de collection permet de ventiler de l'argent frais dans l'économie, les pièces de collection n'étant quasiment jamais utilisées dans l'économie du quotidien. C'est une illusion qui aura évidemment échapper à ceux, entre autres, qui confondent hommage et plagiat... Mais c'est un autre sujet ... Bises

Une figure magique de la bienveillance s’en est allée. Toutes mes condoléances à la famille.

De mémoire : Les tours : - Le foulard boom ( Paris Magic 1990) - L’étui en feu ( 1990) - Gimmick (permettant de transformer un foulard en confetti) - Le pin’s - Le petit poussin - Boite à mini épingle à linge - Mad max - La toupie ésotérique - Le jeu Hyacinthe - Les aiguilles érotiques - Le bras long - Le flip flap - Le bon fruit - Piano - Le tabouret électrique Les écrits : - Carte Blanche – note de conférence – 1988 – 50 exemplaires - Euréka – 1990 - Eurékarte – 1990 - La mallette de l’enchanteur ( Afap 1995) - L’élastique du tricheur – 1992 – 50 ex - Le livre magique de Sylvain Mirouf – Livre épuisé en un mois et réédité de nombreuses fois – « C’est le livre le plus volé par les employés de Flammarion « dixit son directeur de publication de l’époque. - Art of astonishment – Paul Harris – description de Osmosis - Articles dans les revues AFAP, Le magicien, Imagik, L’illusionniste, Magic … - Sang Neuf – 2007 - Croisade – 2007 – 30 exemplaires Les vidéos : - La saga des élastiques – 150 ex - Eurékarte - 150 ex - Video l’illusionniste – revue spéciale en vidéo – 1992 - Osmose – Mayette 1992 - Génération Imagik 1 et 2 - J’aime la magie – 22 numéros - le numéro 1 à été vendu à 500 000 exemplaires - Record des ventes d’un produit de magie en France - Au cœur de la magie – série de 30 dvd – le n°1 est disque de diamant - La magie de Sylvain Mirouf – Boite de jouet ayant fait presque doubler le chiffre d’affaire du marché des jouets de magie en France. 2007 Pour le reste, cela se trouve dans les enregistrements télévisés. Bises à tous. Sylvain

Ecrit par Ikoli le 02/04/08 10:10: """ dire du mal gratuitement, faire du tort, hmmmmm quelle délectation! C'est tellement bon de faire ressortir nos plus bas instincts sans risquer grand chose. Je me sens tellement supérieur quand je critique qqun. et surtout j'en trouve un qui est plus malheureux que moi. Ah ça fait du bien. Je suis beau fort et intelligent. Vous etes vraiment idiots de ne pas l'avori remarqué! je pense que la critique est plus developpée chez les communautés qui vivent plus repliés sur elles meme où la différence devient donc plus marquée.""" Merci Ikoli de simplifier ma réponse :-) Pour les autres, il s'agit d'un court métrage dont le montage original est bien meilleur que celui diffusé sur internet. Mais l'histoire reste alambiquée. Bises et vive les casseroles; c'est le propre de ceux qui s'exposent :-)

Demandez à recevoir les questions par écrit et à rédiger les réponses vous-même. Internet sert aussi à ça. En général, c’est mal vu car cela empêche les journalistes d’exprimer leur « talent », et pour certain, de plus en plus nombreux, « leur incroyable talent ». Si la réponse du journaliste est négative, et elle le sera 9 fois sur 10, demandez alors à relire l’article avant parution et demandez confirmation écrite de cela par mail. Si ces deux demandes sont refusées, déclinez la proposition. Comme le journaliste a besoin de bouffer, il fera machine arrière. N’oubliez jamais qu’un bon article vous servira dans votre revue de presse. Vous n’aurez que faire d’un article imbécile car inexploitable. PS : A titre perso, sur environ deux cents articles, seuls deux journalistes ont compris mes dires et quatre autres ont respecté ma pensée. Tous les autres ont brodé. Un homme averti en vaux deux.

J’ai eu le grand plaisir d’être un des deux complices de Dominique sur la scène de l’Olympia, c’était je crois en 1987. Il présentait les chaises de façon magistrale. J’ignore la source. Mais je suis certain que l’ami Michel Fages qui connaît parfaitement le droit d’auteur au niveau des dépôts des formules chimiques est conscient du problème. J’en profite pour féliciter Pierre Fleury et le remercie pour son remarquable article sur les droits d’auteurs. Les différentes réactions parfois confondantes qu’il a suscité, montre hélas combien l’éducation des mentalités est longue, surtout auprès de ceux qui n’existeraient pas sans le talent des auteurs originaux, c’est à dire nous tous. J’espère qu’il aura au moins le mérite de faire comprendre que le visionnage d’un effet contemporain présenté à la télé ou sur scène ne donne en aucun cas le droit de la reproduction par le premier venu et qu’il contribuera à une meilleure entente de bonne intelligence entre les différents acteurs. « Demander ne demande qu’un instant d’embarras, ne pas demander peut vous embarrasser toute une vie. » Les bises.

Bon et bien si ma blague au quatrième degré n’est pas appréciée à sa juste valeur, voici un petit texte plus philosophique : L’autre jour, quelqu’un m’a dit que la Terre était plate. Il me l’a dit avec des mots que j’ai cru. Comme j’admire cette personne, je l’ai cru encore davantage. J’ai alors fait savoir à mon entourage que la terre était plate. Mon entourage l’a crut et l’a à son tour répéter. Aujourd’hui, nous sommes nombreux dans le monde à croire que la Terre est plate. Sauf un jour ou un type m’a dit que je me trompais. Je lui ai rétorqué que tout le monde savait que la Terre était plate. Ce dernier s’est alors tue. Plus tard, j’ai rencontré un autre type qui m’a fait remarqué que la Terre n’était pas plate et m’a expliqué pourquoi. Je lui ai répondu que tout le monde savait que la Terre était plate. Il s’est fâché et m’a traité d’imbécile. Heureusement que nous sommes plusieurs à connaître la vérité. Du coup, nous l’avons banni. Jusqu’au jour où j’ai rencontré un type qui m’a certifié que la Terre était carrée. Ces arguments étaient valables. Il m’a fait douter. Mais mon amitié avec mon informateur initial étant plus forte et notre groupe sûr de son fait, que j’ai quand même préféré rester sur ma première idée. La Terre est plate. Cela fait vingt ans que je suis fier de connaître ce secret. Et puis récemment, un type m’a prouvé avec moult arguments que la Terre était ronde. J’étais abasourdi. J’en ai parlé à mes amis. Ils m’ont banni. Moralité : La vérité n’intéresse pas les gens. Seul ce qui cautionne notre pensée pré-établie est acceptable pour notre esprit.

Dans un asile psychiatrique, un masochiste, un zoophile, un sadique, un assassin, un nécrophile et un pyromane s'nt sec. Le zoophile dit : - Et si on enc ulait le chat ? Alors le sadique répond : - Oh oui, enc ulons le chat, et après on le torture ! L'assassin reprend : - C'est ça, enc ulons le chat, torturons le et ensuite on le crève ! Alors le nécrophile ajoute : - Ah ouais, cool, on va enc uler le chat, le torturer, le crever, et le réenc uler ! Le pyromane enchaîne : - Ouaiiiiiiis ! Enc ulons le chat, torturons-le, tuons-le, réenc ulons-le, et ensuite on lui fout le feu ! Le silence se fait, tout le monde regarde le masochiste et lui demande : - Ben et toi, tu dis rien ? Et le maso répond : - Miaou !!!

Voilà ce qui arrive lorsque l'on refuse de citer ses sources et là pour le coup, cela ne me fait pas rire du tout. http://www.trickshop.com/solotear_torn_corner.html

Salut JY La question est de savoir en quelle place est-il sur la liste. A cause de la parité homme-femme, et compte tenu que la droite à peu de chance de passer dans le 18ème, je doute que notre Gégé se retrouve au conseil de Paris. Mais sait-on jamais. Je pourrais l’y retrouver … Cela nous changera des tribunaux …