Gérard BAKNER

Ravi d'avoir pu suivre les différentes étapes de ce projet et d'en voir aujourd'hui la concrétisation. Bravo les gars ! C'est du beau travail ! PS : n'oubliez de jeter un oeil à la vidéo de "A prendre ou à laisser" où Christophe tombe dans les bras d'Arthur !

Pour ma part, je prépare un numéro avec des cloches en verre avec apparition de salades sous chacune des 6 cloches. Le tout dans une ambiance champêtre ! Une photo des répétitions dans mon jardin :

Et ça, il sait le faire ?

J'y suis allé hier soir. Au programme : Alexandra et Dominique Duvivier, Boris Wild, Quoc Tien Tran et Arsène. Excellente soirée. Accueil en terrasse. Apéritif, boissons et nombreux sandwichs, canapés, cuillères... De quoi tenir pour les deux heures de spectacle qui vont suivre... Dans la salle quelques magiciens, une quinzaine de diablotines et une fée libellule. On joue à guichet fermé. Alexandra et Dominique lance le show avec une routine de gobelets en duo et en musique. C'est parti ! L'ambiance est là. Cette routine est un véritable spectacle à elle toute seule : mimiques, jeux de scène, pas de danse. On dépasse le cadre habituel de ce type de routine pour prendre place dans le monde de la comédie. Boris Wild : Routine de 4 as géants avec dos qui changent de couleur comme entrée. Version des deux cartes rouges et deux cartes noires qui changent de place mais avec une subtilité de taille (superbe !). Routine de carte folle avec un jeu "normal" et un jeu "spécial" : c'est drôle, c'est bien construit et visiblement le public en redemande... Découverte d'une carte librement choisie : la découverte de la carte en musique avec les cartes qui filent et qui s'échappent entre les doigts du magicien est une véritable merveille. Il y a quelque chose de vraiment magique dans cette découverte. Le sentiment qu'il se passe quelque chose entre le magicien et la spectatrice. Ici, le mot "émotion" n'est pas usurpé. Final avec le "Kiss Act" : le public essentiellement féminin ce soir là (plus de 70% de la salle) tombe amoureux de Boris. C'est la standing ovation bien méritée. Quoc Tien Tran : Numéro de trois anneaux (anneaux vraiment très grands) dans un superbe costume asiatique. Le personnage est là. La routine est belle, fluide. On se laisse bercer... On est ailleurs. Tran revient, cette fois-ci, avec un personnage de mafiosi qui nous présentera une routine de corde. Le personnage est de nouveau là. Vêtu de noir, corde blanche : on sent que l'image a été travaillée. Le final de cette routine avec une succession de boucles autour du cou et une restauration multiple est superbe et inhabituelle. J'ai beaucoup aimé. Tran est un grand magicien. Arsène : Je ne le connaissais pas. Ce n'est pas vraiment de la magie. Difficile de classer ce genre de numéro. Il entre en scène avec une caisse toute pourrie contenant : une perceuse, des clous, un rouleau de papier toilette, une trompette, un klakson et pleins d'autres babioles qui ne déparailleraient dans une brocante ou un vide-grenier. C'est un numéro de cabaret dans l'esprit du "Don Camillo" ou de "Chez ma cousine". Le public en prend plein le gueule et en redemande... C'est du délire dans la salle. On voit vite que le monsieur en question domine son sujet. Il fera même une imitation d'Elvis Presley en jouant des grelots et en sortant de la fumée de son nez et de sa braguette ! Bravo ! Alexandra et Dominique reviennent pour annoncer la fin du spectacle et faire apparaître le gâteau d'anniversaire (que nous dégusterons en terrasse). Merci à toutes et à tous pour cette superbe soirée. "Ainsi sont, sont, sont, les soirées au Double-Fond..." Gérard Bakner

Si tu as besoin d'un logo pour ton prochain spectacle, fais-moi signe Sébastien, je te ferai un prix....

Plein d'autres (magnifiques) ici Plein de routines magiques peuvent être construites à partir de ces dessins.

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Version Cyril Hanouna (Carlos/Patrick Bruel) : [video:youtube] La musique originale du "Tirlipimpon" est de mon pote Patrick Lemaître.

Gilbert Montagné est-il clair... voyant ? "Dans un avion, sur le pont d'un bateau On va s'aimer, à se brûler la peau Et s'envoler, toujours, toujours plus haut" Avion = jet privé ? Pont d'un bateau = yatch Bolloré ? On va s'aimer = Carla ? Brûler la peau = Bruni ? S'envoler toujours plus haut : sondage ? (Quoique là....) PS : A noter le titre "Musicienne" de la face B du 45 tours.

Délires Rires Ambiance Comedy Ovation

Désolé mais ce type a tout copié sur un magicien qui avait des cheveux et qui travaillait auparavant avec un médecin de Rouen. Il essaie de se cacher sous un chapeau et derrière un micro (bien vu Cyril) mais les plus perspicaces l'auront reconnu.

Ce n'est pas pour faire de la pub mais... et VOS idées ont du

Version définitive de "Mon GPS" : J’me suis acheté un super GPS Le genre de truc qui’t’coûte la peau des fesses. J’l’ai mis sur mon pare-brise. Maint’nant faut qu’j’l’utilise. Y’a des boutons partout. Ce truc là, j’en suis fou. La première fois que j’ai pris un carrefour J’ai pas compris, m’a fait faire quinze fois l’tour ! Ca m’a coûté un plein. J’aurai dû prendre le train. Je consomme plein d’essence. J’ai doublé mes dépenses. Il voulait pas qu’j’prenne le sens giratoire. M’disait tout l’temps d’changer de trajectoire. Prend la première à droite. Fais le tour de la place. Puis la deuxième à gauche, Et rendez-vous rendu at home. Quand j’suis perdu, quand j’sais plus où j’habite J’entends des voix qui m’guident par satellites. Il calcule mon parcours Me fait faire plein détours. J’connais plein d’raccourcis J’prends les sens interdits. Quand j’suis tout seul au volant d’ma bagnole Et qui me prend des envies d’gaudriole. Quand ma femme n’est pas là, J’mets la voix d’Ursula. On fait un bout d’chemin, Ca m’change du quotidien. Maint’nant qu’en plus, il m’signale les radars J’donne des coups d’frein, du coup j’arrive en r’tard. Plus besoin d’cartes routières. J’fais la route buissonnière… Ce truc là m’électrise. Je suis sous son emprise. J’me suis acheté un super GPS Le genre de truc qui d’vient vite indigeste. Mais j’suis content, j’suis content, J’suis content, j’suis content, J’suis perdu mais… con-tent.

La question essentielle est de savoir si on récolte plus d'applaudissements avec 15, 17 ou 19 poignards ? Final possible : Ce post a un léger goût d'entartage à la crème, non ? Indice : Z = Y

Vous vouliez une photo d'Otto en caleçon, il suffit de demander : Collection personnelle (dans les coulisses de M6).

Sur cette vidéo, on a tous les ingrédients pour scénariser une routine de stylo voyageur : [video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=FElV9v5prWM Voyage, faux dépot, mise à la poche, tapis de close-up (sous-main), misdirection... TOUT Y EST.

Ce spectacle est une honte ! Je pensais que tout magicien qui se respecte avait, un jour ou l’autre, prêté le serment du secret. Que nenni ! Voilà notre ami Sébastien qui affiche (dans son décor et à la vue de toutes et de tous) un tableau blanc où il mentionne qu’il doit acheter « ITR » et « FP ». Rien que ça ! Devant tous ces moldus ! Heureusement qu’une journaliste de passage profite de son absence pour aller griffonner (barbichette et moustache) l’affiche du dit magicien. Bien fait pour lui ! J’aime bien quand on explique dans le spectacle le pourquoi du titre ou de l’affiche. J’aime bien (vous l’aviez compris) quand se cachent, ici ou là, des clins d’œil ou des messages à plusieurs niveaux. J’ai beaucoup aimé ce spectacle. Tout est justifié. Chaque effet magique est au service de l’histoire. Rien n’est gratuit. J’ai aimé le jeu « Feuille - Pierre – Ciseau » avec une main étrangement vivante. J’ai aimé la routine de D’Light blanc. J’ai aimé l’utilisation d’une voix off avec le dessin qui parle. J’ai aimé le scénario de la disparition de la bouteille dans le sac en papier. Très bonne idée. J’ai adoré l’idée finale de la lévitation sur la chaise. Lors de ce spectacle, j’ai aperçu dans la salle Olivier Prestant (Président du Cercle des 52 de Liège) et Stanislas (l’excellent magicien de rue) qui eux aussi ont apprécié ce spectacle. Après ? Rendez-vous chez Thomas avec quelques potes (dont Eric Antoine et Frédéric Lincker) pour fêter dignement son anniversaire. Bref une belle journée. Aujourd'hui Saint Eric : bonne fête à toi cher Antoine et à toi cher Fréd...éric. Mahna Mahna....

Des ballons en forme de chiens. Tenus en laisse et gonflés à l'hélium, ça peut faire une entrée amusante :

[video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=iR9i1O8jcY0

Mon GPS (sur l'air des P'tites femmes de Pigalle de Serge Lama) J’me suis acheté un super GPS (Sol-Do-Rem) Le genre de truc qui’t’coûte la peau des fesses. (Sol-Do) J’l’ai mis sur mon pare-brise. (Mi) Maint’nant faut qu’j’l’utilise. (Lam) Y’a plein d’boutons partout. (Rem) Ce truc là, j’en suis fou. (Sol) La première fois que j’ai pris un carrefour J’ai pas compris, m’a fait faire quinze fois l’tour ! Ca m’a coûté un plein. J’aurai dû prendre le train. Je consomme plein d’essence. J’ai doublé mes dépenses. Il voulait pas qu'j’prenne le sens giratoire. M’disait tout l’temps d’changer de trajectoire. Prends la première à droite. Fais le tour de la place. Puis la deuxième à gauche, Te v’la rendu at home. Quand j’suis perdu, quand j’sais plus où j’habite J’entends des voix qui m’guident par satellites. Il calcule mon parcours Me fait faire plein détours. J’connais plein d’raccourcis J’prends les sens interdits. Maint’nant qu’en plus, il m’signale les radars J’donne des coups d’frein, du coup j’arrive en r’tard. Plus besoin d’cartes routières. J’fais la route buissonnière… Je suis sous son emprise. Ce truc là m’électrise. J’me suis acheté un super GPS Le genre de truc qui’t’coûte la peau des fesses. J’suis content, j’suis content, (Mi) J'suis content, j’suis content, (Lam-Rem)) J’suis perdu mais… con-tent. (Do-Sol-Do) En première partie des "Glandeurs Nature" au Thalie-Théâtre à Moret-sur-Loing les 6 et 7 juin 2008.

Bon d'accord, c'est de la pub mais Amélie-Mélo (ma fille) vient d'écrire un texte pour le tour suivant : "Une histoire de client qui veut payer son repas dans un restaurant chinois." Du coup, j'ai mis ce tour à mon répertoire...

Un charme ancien dans cette vidéo : [video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=0hyshwE9sCI Une ambiance de ce que devait probablement être les "Soirées Fantastiques". Une approche, une proximité et une complicité réelle avec le public.

Rendre un hommage à un artiste est une belle et grande chose. Boris Wild vient de le faire avec un plaisir non dissimulé et avec une très émouvante routine. Je suis certain que Richard a du l'applaudir de là où il est. Dominique Duvivier se met parfois derrière sa table de close-up pour rendre hommage à ses maîtres. Il pousse même l'hommage jusqu'à présenter une vidéo de ses illustres prédécesseurs. La magie est belle quand elle prend de telles dimensions. Quand Gaétan Bloom présente sa routine d'apparition de cartes avec des gants de boxe, j'ai à chaque fois l'image de Coluche jouant du violon avec les mêmes gants. L'hommage, ici aussi, est évident même s'il n'est pas dit. Peut-être même est-il inconscient chez l'auteur mais il est là. Peut-être Gaétan, vous racontera-t-il la très belle histoire liée à Coluche et ces gants ? Rendre un hommage, ce n'est pas s'approprier le travail d'autrui, c'est mettre tout son talent au service de celui ou de celle que l'on admire. Rendre un hommage est un acte d'amour.

Voici l'explication : [video:youtube]