Christian GIRARD

Iris : mdr Et tu es tombée sur les maîtres chanteurs ! (Leur réflexion prouve qu'ils avaient atteint l'âge "mur" ) Merci pour l'explication et encore bravo !

Bravo Iris ! Une énigme subsiste : comment as-tu trouvé ? Extrait : " BREL : Bien sûr. C’est une question de tempérament finalement… Le tout, c’est de savoir ce qu’on fait devant un mur : est-ce qu’on passe à côté, est-ce qu’on saute par-dessus, ou est-ce qu’on le défonce ? BRASSENS : Moi, je réfléchis ! BREL : Moi je le défonce ! Enfin, j’ai envie de prendre une pioche… FERRÉ : Moi je le contourne ! BREL : Oui, mais le point commun, c’est que tous les mois, instantanément, on a envie d’aller de l’autre côté du mur qui se dresse. Il n’y a que ça d’important, et c’est ce qui prouve que nous ne sommes pas des adultes. Un type normal, qu’est-ce qu’il fait ? Il construit un autre mur devant, il met un toit dessus et il s’installe. C’est ce qui s’appelle bâtir ! [rires] " Le texte est tiré d'ici : Brassens Brel Ferré

Je suis en accord avec cette assertion.

Pas du tout. Même pas un peu, beaucoup ou passionnément... mais il devait y avoir un brin de folie en chacun d'eux.

Il faut juste trouver trois personnages, connus, et qui étaient ensemble au moment de donner leurs réponses… Pas de réflexion au-dessous de la ceinture s’il vous plaît (je fais références aux "membres" des Pink Floyd). Allez, une précision : ce sont des artistes !

Le mur est un obstacle, une hypothèse, une base de réflexion... Leurs réponses respectives donnent des indices sur la personnalité des personnages (hum, c'est pléonastique ce que j'écris là...). Vous connaissez ces trois personnages. Le second réagit comme Alexandre tranchant le nœud gordien ; mais cette dernière remarque n’est pas un indice.

Mister M ?

Je n’ai jamais eu de rapports avec la ligne Maginot, pour qui me prends-tu ? guyom : Pipo ! Eh non…

Dub : Face à ce mur, chacun propose sa façon de réagir. Ils répondent en fait à cette question simple qui serait : « Que feriez-vous face à un mur ? », chacun donnant alors sa façon propre de réagir. Donc pas d’enchaînement linéaire (mais j’ai bien compris que tu blaguais ! ) Monsieur M : Wow, j’adore cette réponse, plus belle que la vraie ! Bravo Richard ! Il s’agit de personnages réels, en chair et en os (surtout en os).

Rires... Non, tu fais fausse route. Mais je comprends l'idée, c'était bien vu.

Il s’agit de personnages très précis, pas de « catégories ».

Non Iris.

Nirag, je te conseille vraiment d’aller avec tes petits enfants (pas trop petits ?) voir le clown-mime Julien Cottereau, j’ai assisté à la captation DVD de son spectacle lundi dernier, c’est formidable ! Mais les dernières dates tombent, et ce n’est pas les mercredis ; dommage… En tout cas pour ceux qui peuvent… Julien Cottereau PARIS - Théâtre des Bouffes Parisiens - 19h CAPTATION Ouverte à la vente Ve 12 PARIS - Théâtre des Bouffes Parisiens - 19h Sa 13 PARIS - Théâtre des Bouffes Parisiens - 19h Ve 19 PARIS - Théâtre des Bouffes Parisiens - 19h Sa 20 PARIS - Théâtre des Bouffes Parisiens - 19h Ve 26 PARIS - Théâtre des Bouffes Parisiens - 19h Sa 27 PARIS - Théâtre des Bouffes Parisiens - 19h Plusieurs vidéos ici (cliquez sur « CV en vidéos) : Julien Cottereau

Adeline, 15 interventions sur VM, 15 publicités directes.

Trois personnages face à un obstacle. Chacun adopte une façon différente pour aller à la découverte de ce qui se trouve derrière ce mur, le premier optant d’abord pour la réflexion, le second passant au travers en le détruisant et le troisième choisissant le contournement. Qui sont ces trois personnages ? C.G.

Magic Lolo : Je le rappelle : « C’est pas les carottes qui donnent une bonne vue, c’est les lentilles ». Oui, la variante avec lapin et carottes offre une possibilité de jeux de mots à toison, heu, à foison. La carotte supplémentaire est l’illustration parfaite du développement du râble. petitbonhomme : Du coup, on comprend mieux le nom « savant » (donc latin) de la carotte, daucus carota ! Ça ne s’invente pas… Sinon, pas inutile de jeter un coup d’œil ici : Solution ?

... et de jolies paires de faces...

Je possède une version originale et inédite réalisée dans les années 80 par un ami cher. Sa version part d’une démarche assez étonnante puisqu’elle consiste à ne plus pouvoir vivre l’illusion inhérente au principe mis en œuvre, c’est un comble (mais c’est voulu). En effet, les personnages sont tous des hybrides, ce qui fait que lors du déplacement des pièces supérieures du casse-tête, on obtient de nouvelles créatures hybrides qui n’éveillent la curiosité ni par leur nombre ni par leur construction grotesque ! Or, il y a pourtant le même principe d’apparition ou de disparition que dans les autres versions, mais l’utilisation de chimères rend l’illusion caduque, j’adore cette démarche à contre-pied. Il n’est pas impossible que je fasse un article sur ce graphiste de talent dans un numéro de L’Illusionniste, il a beaucoup d’autres merveilles à son actif. C.G.

Ah ?, je croyais qu'ils avaient des problèmes de liaisons... (La faute à Benoît "H" sans doute... )

En haut de la photo, les deux volumes en français (le tome 1 a paru en 1964, chez Dunod), en bas à gauche, une rééditions en un seul volume (Dunod 1977 mais copyright Bordas 1970). Il existe aussi une compilation des casse-tête de Loyd uniquement dessinés (sortes de rébus sur des mots anglais), Sam Loyd’s Picture Puzzles (en bas à droite sur la photo), Algrove Publishing, 2000, que je ne recommande pas, autant acquérir une version complète (1924), mais que je cite car page 105 l’une des énigmes porte le titre de Rebuses in Bloom (clin d’œil à Gaétan ). Pas le temps de dénicher mes autres Loyd… C.G.

Iris : Non, non : les Hautres !

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Ludovik : Essaye avec « gobemouche à croupion jaune » et « Ostrogoth », on ne sait jamais… Pas fous, ces no mad ! Au fait, savez-vous ce qui s’est passé en 1111 ? C.G.

Tu as toujours un train d’avance sur nous Dub ! Bravo ! Je suis impressionné par ton approche de l’illusion monomorphe.

Romagic, j’ai beau connaître la puissance de Google, il m’arrive encore d’être surpris ! C’est juste que je n’ai pas fait moi-même une recherche avec mon énigme, je n’imaginais pas que tous les textes de Star Wars étaient en ligne ! Damned ! Que la Force soit avec toi Romagic. Bravo encore ! Le texte complet est là, la référence à la baguette dérisoire est au chapitre 3 : Dark va dehors Une dernière chose, j'ai supposé que c'était la baguette qui était dérisoire et non le "sorcier" Vador. Mais il y a un doute... Sinon, en voilà de la baguette dérisoire : [video:dailymotion]