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Jean-Jacques MEYER (Edler)

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Tout ce qui a été publié par Jean-Jacques MEYER (Edler)

  1. Beaucoup se focalisent sur les ondes du compteur Linky, rien n'étant prouvé à ce sujet, cela relevant plutôt du fantasme de refus. Mais il y a plus sérieux et plus vraisemblable : une puce spécifique serait en attente d'activation dans ces compteurs, afin de résoudre le problème des taxes sur le carburant, lesquelles taxes ne peuvent pas être abandonnées par le gouvernement. En effet, si la population passe massivement à la voiture électrique (merci, pas moi), cette puce serait activée et provoquerait l'ajout de taxes équivalentes à celles des carburants, lors de la recharge électrique de voitures. Il ne fallait pas être si naïf...
  2. On trouve des cartes "Air-Cushion finish" et "Linoid finish". Il s'agit du type de finition appliqué sur la surface des cartes, afin de réduire au maximum leur friction pour qu'elles glissent facilement l'une sur l'autre. Si elles étaient lisses, elles accrocheraient ensemble. Cette finition influence également leur durabilité. Un motif est donc pressé sur les deux couches externes des cartes, ce qui les rendra plus ou moins glissantes et plus ou moins durables. Les cartes Bicycle sont "Air-Cushion finish", tandis que les Tally-Ho sont "Linoid finish". En fait c'est quasiment la même chose, il suffit d'observer la surface des cartes avec une forte loupe pour s'en convaincre : un motif de petits creux qui permet de réduire la surface de friction entre les cartes, pour qu'elles adhérent moins entre elles. La différence de dénomination est surtout marketing. Mais il y a des différences de qualité de fabrication entre les marques : les Bicycles sont produites en masse, avec un contrôle qualité inférieur à celui des Tally-Ho, qui sont plus durables. Et puis il y a les Bee, avec leur finition "Cambric finish". Leurs petits creux sont plus réguliers que ceux des Bicycle. Ce sont les plus durables, mais elles sont moins appréciées par les magiciens (motif du dos et absence de bordure). Certains les préfèrent quand même. Pour les différencier il y a également d'autres critères en plus de leur finition, comme la colle utilisée (composition secrète), qui influence leur souplesse et leur rigidité, ainsi que leur coupe. Et les secrets de fabrication sont bien gardés. Personnellement je possède des Bicycle, des Tally-Ho et des Bee. Je préférais jusqu'ici les Bicycle (mais c'est très subjectif) et finalement j'ai tranché pour... les Phoenix de Card-Shark ("Air-Cushion finish"), mais pour d'autres raisons que leur finition, qui reste néanmoins bonne.
  3. J'ai été déçu par les lames de rasoir, elles se voient trop et sont trop petites. Cela fait des années que je n'utilise plus de feuilles métalliques, d'ailleurs, préférant les remplacer par des aimants de Shin Lim (10 mm de diamètre pour 0,27 mm d'épaisseur, soit celle d'une carte). Ce n'est que bénéfice, car ils permettent des effets supplémentaires, par rapports aux feuilles métalliques. Et ils sont totalement invisibles dans une carte détressée.
  4. Effectivement, un rouleau à 357,83 €... Sur Amazon, 38 € pour 50 x 25 cm et 0,5 mm d'épaisseur.
  5. Invisible choice est plus qu'un simple tour. C'est un outil très intéressant pour concevoir de multiples tours personnalisés, voire aller plus loin (ce qui a déjà été largement exploité par Thomas).
  6. Si une méthode de mémorisation fonctionne bien pour quelqu'un, il n'a pas de raison d'en changer. Pour ma part, j'ai déjà utilisé avec succès la méthode de mémorisation d'Harry Lorayne, basée sur des associations. Avec l'avantage intéressant de pouvoir y associer des chiffres. Je m'en sers beaucoup dans la vie courante, mais je ne sais pas pourquoi, je n'ai aucune envie d'apprendre un chapelet par cœur. Fainéantise ? Inutilité pour moi ? Autre chose ?
  7. Tout autre choix aboutira à une carte à dos rouge. Ou autre, car c'est personnalisable. C'est génial et très bien expliqué.
  8. Un jeu coupé ne modifie pas l'ordre d'un chapelet. Une carte à l’œil de la carte du dessus ou du dessous, par exemple, permet de trouver l'identité de la carte suivante, même si le chapelet ne débute pas à la première carte de l'arrangement. Sinon le remettre dans l'ordre initial, à l'aide d'une carte préparée. Une carte courte, par exemple, ou mieux (à mon avis) une carte marquée en "X", à l'empreinte atténuée. C'est indétectable, invisible et ça fonctionne à la perfection. Une dernière coupe et c'est fonctionnel. Sinon il y aurait des calculs à faire à partir du rang de la carte actuellement au dessus (ou au dessous), mais j'avoue que c'est pénible, pour ne pas dire mieux.
  9. Bien sûr, que la mémorisation est supérieure. Il y a quelque temps un magicien me vantait la mémorisation et le fait qu'il connaissait un chapelet par cœur, sans faille. Mais à l'essai, il s'est écrasé lamentablement. Tout le monde n'a pas une excellente mémoire, fiable dans le temps, ou bien désire consacrer du temps à autre chose. D'où l'intérêt de BH (ou bien des cartes S.U.M. 2 de Card-Shark). Pour les autres, bravo ! J'ai moi-même utilisé il y a des années et avec profit la méthode de mémorisation d'Harry Lorayne. C'était fantastique et sûr. Mais depuis, il y a des "trous" et BH et S.U.M. 2 me suffisent amplement.
  10. Et pour retenir par cœur certaines cartes, rien de plus facile de mémoriser la première et la dernière carte, les deux exceptions et... il suffit de regarder la particularité des cartes situées aux positions 10, 20, 30, 40 et 50. 17% des cartes mémorisées sans effort, au cas où un spectateur tombe dessus. Un tout petit effort supplémentaire (position 35 = 3+5, position 45 = 4+5, position 11 eh oui, 21 et 31 tiens tiens) et tous les trèfles (cas TCPK) ou tous les piques (cas PCTK) sont mémorisés, plus la dernière. 14 cartes, soit 27 % du jeu. Plus d'une chance sur quatre. Avec certaines cartes que l'on mémorise sans effort (cas particulier de chacun), on peut facilement parvenir à mémoriser la moitié du jeu. Une chance sur deux de tomber sur une carte mémorisée. Avec le calcul comme roue de secours pour atteindre la certitude totale, pour la seconde moitié du jeu ou bien en cas de doute. Le soir, ou après une simple bière, ma capacité de mémorisation tombe un peu. Mais pas celle du calcul.
  11. J'en suis réellement admiratif. Et prêt à l'utiliser en toute confiance au PGCDM ? Oh pardon, c'est maintenant trop tard.
  12. Il suffit d'apprendre Bart Harding par coeur.
  13. Eh non... C'est justement l'apprentissage par cœur que l'on oublie après plusieurs mois d'inutilisation. Les formules de calcul, c'est comme le vélo. Surtout si on a compris le pourquoi et le comment de leur calcul. Expérience vécue.
  14. Un magicien me l'a appris il y a déjà de nombreuses années. Mais avec la vidéo ci-dessus (de Jean-Marc (thucydide)) sur Youtube, il y a des liens intéressants, dont la composition et l'utilisation de ce chapelet.
  15. L'intérêt du chapelet Bart Harding c'est de n'avoir pas besoin d'apprendre par cœur un quelconque arrangement des cartes, identités et positions correspondantes. L'arrangement est génialement construit et indétectable (et pas en commençant par un As), même par des magiciens. On peut le construire soit en se basant sur l'ordre TCPK, soit PCTK. Un petit calcul mental (franchement, je ne le trouve pas du tout compliqué) permet soit de trouver rapidement le rang d'une carte quelconque d'après son identité, soit de trouver son identité d'après son rang. Evidemment, cela impose une petite dose de calcul mental, chose que je vois se perdre de plus en plus de nos jours et c'est un peu dommage. On est bien d'accord, rien ne vaut un chapelet appris par cœur. Mais avec ce genre de chapelet, il faut le revoir et le pratiquer régulièrement, tout en restant sûr de ne jamais se tromper. Inversement, celui de Bart Harding permet une certitude absolue, même si on ne l'a pas pratiqué depuis plus d'un an. En pratiquant Bart Harding, on parvient d'ailleurs à mémoriser automatiquement certains rang/identité, ce qui facilite son emploi. J'étais ainsi parvenu à connaître par cœur environ la moitié du chapelet. Mais, après un abandon de plusieurs mois, il ne me restait plus que 10% de cet apprentissage. Et les calculs représentaient pour moi une roue de secours. Avec un chapelet, je n'utilise que les correspondances rang/identité. Le reste (particularités des chapelets) ne m'intéresse pas vraiment, bien que je les trouve judicieux. Et avec le chapelet Bart Harding on arrive déjà à des miracles, en plus de trouver rang ou identité (nombre de cartes coupées, identité d'une carte choisie et insérée n'importe où dans le paquet, identité d'une carte suite à une distribution par un spectateur...). Bref, après des années de pratique, je n'utilise plus que le chapelet Bart Harding et j'en suis très satisfait.
  16. S.U.M. 2.0 est une vraie merveille, aux possibilités variées. Le genre de jeu à avoir toujours sous la main, pour ceux qui ne souhaitent pas mémoriser un chapelet En plus des possibilités citées, il est orienté côté dos et côté face. La valeur de la carte, la valeur de la carte suivante et l'orientation face ou dos sont visibles de loin mais subtilement cachées. Personnellement, je n'ai jamais vu quelqu'un le remarquer. En personnalisant son utilisation on obtient un véritable outil, un couteau suisse, aux possibilités insoupçonnables mais terriblement efficaces. Il est intéressant même en l'utilisant comme roue de secours, lors d'un tour raté, par exemple. Et enfin, la qualité des cartes est sans reproche.
  17. Peut-être un peu de lassitude, mais je n'ai pas trouvé ce dernier PGCDM génial. Au point de ne pas regretter sa disparition. Cela faisait quelque temps, d'ailleurs, que je l'appréciais de moins en moins, je l'enregistrais et je ne faisais que passer, avec la télécommande. Par contre j'ai beaucoup aimé le numéro de la Lune volante et vaporeuse, c'était génial et féerique. En ce qui concerne les diabolos et le groupe asiatique, je l'ai déjà vu avec le Cirque de Pékin au Cirque Phénix, il y a quelques années. Curieux, il était mentionné un autre nom de groupe. Même spectacle, mêmes costumes et même musique. Mais toujours aussi beau et parfait. Quant à Dany Larry, il s'est surpassé. Pour le reste, bof...
  18. Tout à fait d'accord, les deux sont parfaits dans leur domaine, faciles à utiliser, performants et toujours prêts.
  19. Pourquoi changer de FI et d'élastique ? Ce qui est fourni d'origine fait très bien son travail. L'idée d'associer deux Venom est géniale, le FI s'enroule sans s'accrocher ni tensions avec risques de se coincer et de casser. Pas de point d'accrochage non plus. Il est toujours prêt à être employé (sur soi), mis en place en une seconde et disparaît sitôt son travail effectué. Pas de risque de casse, les gestes peuvent être amples et rapides. En fait on ne pense même pas que le FI peut casser (cela ne m'est jamais arrivé). Par contre, pour certains qui ont changé de FI et d'élastique, j'ai vu des casses... Il est complémentaire aux autres ITR, il ne faut pas l'employer comme eux. Le DVD est suffisamment explicite. Personnellement, je n’utilise que lui comme FI, mais avec ses idées nouvelles. Je déteste par dessus tout cette pseudo lévitation de billet qui vibre et proclame haut et fort qu'un FI est utilisé.
  20. Intéressant. Je dois recevoir Black 3.0 en mai, le projet ayant été entièrement financé. Des essais suivront, notamment avec le laser.
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