Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le
il y a 52 minutes, dub a dit :

Avec un contre-poids et un bout de ficelle, on peut attendre sans problème quelques jours et commencer à s’entraîner...

Très juste.
D'ailleurs Arthur Chavaudret se débrouille très bien ainsi (c'est super, pour les explications).
C'est incroyable ce qu'il arrive à faire avec deux Venom, un vrai génie. Et terminé le fil qui se défait de la petite boulette de cire. Il y a même une roue de secours en cas de rupture du fil.

Citation
Quand on veut on peut.
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le

Le matos sera phénoménal. Les gars ont pensé pratique et rien qu'en regardant la vidéo, on sait que ce sera pratique. Le hook up d Arthur Chavaudret tire pleine puissance du matos comme c était l' idée et on imagine déjà la sensation en main : Fluide, plus souple, moins de friction et plus  de puissance. Cela a l air hyper sécurisant. Y a même pas besoin d avoir le matos en main, ça se sent sur la vidéo. Après c est comme tout effet avec du fi, il faudra développer toucher et précision. Arthur Chavaudret amène un plus énorme au matériel avec une description et un enseignement précis des subtilités. Je ne connaissais pas le gars mais ça donne envie de le rencontrer surtout quand j'entends Cnac ! Les effets qu il présente sont vraiment intéressants et on sent le travail du détail et du sens théâtral et ça c est devenu ma priorité dans le choix de mon répertoire car c est ça la magie. Bravo à toute l équipe, mes mains sont fébriles, dans l'attente d apprécier ce merveilleux itr. Il comblera sans aucun doute tous les défauts des autres dont le principal était le temps de reset. Hâte de pouvoir m' entraîner.

Publié le

Il y avait un poste récemment sur les produits de l année 2017 

bah maintenant je suis sur d une chose , VENOM fera parti très certainement de mes coups de cœurs voir de mon top five des effets que je ferai sans hésiter dans mon répertoire close up 

Tout tremble mais rien ne bouge..

Publié le
il y a 28 minutes, dub a dit :

C'est incroyable ce qu'il arrive à faire avec tout. :)

 

J'espère qu'il fera des conférences. Il pense à tout, jusqu'au moindre détail.

Juste deux regrets dans la vidéo :

1. Pour le barillet, Théotim Martins prononce barilet au lieu de bariyet (phonétiquement, à moins que ce ne soit moi qui me trompe). Mais je plaisante, cela n'a pas d'importance. :)

2. Pas de conseils sur la façon de rendre invisible le FI pour les spectateurs. Sur la vidéo, on le voit parfois (mais je pense que c'était intentionnel, pour un spécialiste de ce niveau, car la façon de le présenter explique cela : une lampe derrière lui, il n'y a pas pire). Un simple principe de physique faisant appel à la lumière permet de comprendre pourquoi. Je me demande si je ne vais pas "pondre" une petite explication à ce sujet, si cela peut aider certains.

  • J'aime 1
Citation
Quand on veut on peut.
Publié le
Il y a 13 heures, sephi76 a dit :

pour etre sur de pas louper le facteur j'ai dormi devant ma boite aux lettres cette nuit!!xDxD

J'ai aussi dormi au pieds de ma boîte aux lettres (je sais les boîtes aux lettre n'on pas de pieds mais les lettres si, alors, s'il vous plait, ne chipotons pas...) ; pas pour attendre un produit, je n'ai rien commandé dernièrement, mais parce que je me suis endormi subitement après une nuit trop courte.

C'est le facteur (qui se trouve être une factrice) qui m'a réveillé en m'embrassant parce qu'elle avait vu dans des contes que ça se faisait. Je ne lui donnerai pas tord.

  • J'aime 1

Un endroit où la main de l'homme n'a jamais mis le pied... (Alphonse Allais)

Publié le

Vu l'enthousiasme que ce produit créer... L'achat pointe le bout du nez =) Et moi qui me lançait dans Thirteen Steps To Mentalism.. J'ai du pain sur la planche ces prochains mois (et mon porte-monnaie aussi) !!! 

Je suis complètement débutant dans le FI,mis à part les Loops que j'ai dompté... Serait-ce viser trop haut d'acquérir VENOM pour un début ??? 

La magie est un art qui se regarde avec les yeux, pas avec le cerveau. 9_9

Publié le
il y a 15 minutes, SeeksOfSpades a dit :

Je suis complètement débutant dans le FI,mis à part les Loops que j'ai dompté... Serait-ce viser trop haut d'acquérir VENOM pour un début ???

Non bien sûr que non :)

Plus le matériel est de bonne qualité (tension, tenue, manipulation, réparation et caetera...) plus ce sera facile d'apprendre.

Après il te faudrait quand même des vidéos d'apprentissage avec les bases et l'indispensable lecture de "L'art du fil invisible".

En gros, pour les ITR ce n'est pas viser trop haut.

Pour les vidéos après ça dépendra mais il y a des effets très simple à appréhender pour peu qu'on ne se décourage pas avec les inévitables premières casses quand on débute.

  • J'aime 2
Publié le
il y a 18 minutes, Natas a dit :

Non bien sûr que non :)

Plus le matériel est de bonne qualité (tension, tenue, manipulation, réparation et caetera...) plus ce sera facile d'apprendre.

Après il te faudrait quand même des vidéos d'apprentissage avec les bases et l'indispensable lecture de "L'art du fil invisible".

En gros, pour les ITR ce n'est pas viser trop haut.

Pour les vidéos après ça dépendra mais il y a des effets très simple à appréhender pour peu qu'on ne se décourage pas avec les inévitables premières casses quand on débute.

Je te remercie, toujours à la recherche de nouveauté, j'attends leur nouveau stock avec impatience =)

La magie est un art qui se regarde avec les yeux, pas avec le cerveau. 9_9

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8227
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Niranjan SHIVARAM
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84k
    • Total des messages
      679k

×
×
  • Créer...