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Publié le
Il y a 2 heures, Bruno VAIRONE a dit :

Personnellement le comptais faire la mienne avec une 5fr Léopold mais on pourrait également envisager avec une 10 francs hercule 

Un pile ou face avec la pièce de cinq francs devient un Léopold Nord ou Léopold Sud.
Avec une de 10 francs Hercule l’effet peut paraître plus fort. 
Seul inconvénient : la pièce avance et recule. 
Gros avantage : grâce à la rotation, avec une seule pièce on réalise plusieurs tours. 

  • Haha 7
Publié le
il y a 56 minutes, Woody (Philippe) a dit :

Je trouve ça amusant "Leopold Nord", et vous ?

(Rhooo... 😉🙂).

Je la tenterais bien sur le blabla 18-25 de JVC mais pas sûr qu'elle y trouve son public 😅

Révélation

Et inversement, pas sûr que le blabla 18-25 de JVC soit connu par ici 🙃

 

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Publié le
Il y a 18 heures, Mickaël MCD a dit :

 JVC

  Révéler le contenu masqué

Et inversement, pas sûr que le blabla 18-25 de JVC soit connu par ici 🙃

 

Jean Vlaude Candamme ?

 

Sinon pour revenir au sujet initial, dans l'éventualité où tu ne trouverais pas de solution qui te convienne avec un biseau, voici 3 alternatives possible sans biseau, réussite à 100%, modulo de l'entraînement :

- Wes Iseli et son contrôle au toucher

Jon Allen et son contrôle à l'italienne

- Manos Kartsakis et son contrôle au toucher (avec un petit truc en plus)

Il existe aussi celles de Atlas Brookings, Anton Chigurh, Greg Wilson,..

Publié le

  Je me suis fabriqué mes pièces biseautés. J'ai débord fait une pièce de 1 euros et ensuite une pièce de 20 franc. Elles ne sont pas parfaites mais fonctionnent très bien. 

  J'ai simplement delicatement poncé les tranches. Il faut prendre son temps pour un rendu propre, mais ça fonctionne 🙂

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"La magie n'est pas un problème à résoudre, mais un spectacle à vivre."

Publié le (modifié)

Je m'étais entrainé (il y a fort longtemps) , a forcer le coté sur laquelle la piece tombait. 

Il faut vraiment s'entrainer mais a un moment ca devient un simple reflexe. 

C'est à ce moment là qu'on s'appercoit que le cerveau fait des miracles car avant meme d'avoir reflechit a ce qu'il faut faire dans la situation actuelle, ben l'info a été prise, traité et la réponse a été donné par la main. 

Je m'explique : 

Tu lances la pièce.

Elle tombe dans ta main droite au milieu des doigts.

Tu prends connaissance du coté de la pièce qui est visible. 

*Si c'est le coté opposé à celui que tu veux forcer, alors tu retourne simplement ta main droite sur le dos de la main gauche. Inversant ainsi le coté de la pièce. Tu as donc le coté a forcer qui est visible ! 

Si c'est le bon coté (celui que tu veux forcer) alors tu replie les doigts de la main droite sur la paume de cette même main (tu ferme simplement les doigts) , faisant faire un demi tour à la pièce qui se retrouve dans la paume de la main droite avec le coté opposé à celui que tu veux forcer. Tu retourne ta main droite sur le dos de la main gauche (comme dans la situation précédente). Inversant ainsi une deuxième fois le coté de la pièce (tu reviens au point de départ). Tu as donc le coté a forcer qui est visible !  

1ere question.

Est ce vraiment si rapide que les gens ne peuvent déceler que tu triche ? 

Oui avec de l'entrainement, la pièce est a peine tombé dans la main que celle ci a déjà fait le mouvement pour poser la pièce sur le dos de l'autre main.
Cela devient comme un réflexe oeil-main... à se demander si le cerveau fout quelque chose la dedans.

2eme question :

Pourquoi ne pas laisser simplement la pièce ainsi lorsqu'elle est déjà du bon coté et simplement la montrer ainsi au spectateur.

Tout simplement pour qu'a chaque fois que tu utilise la technique, le mouvement semble le même. La pièce arrive main droite que tu retourne pour dévoiler la pièce sur le dos de la main gauche. 

Le mouvement de refermer les doigts ni visible ni interprété par les spectateurs dans le cas où tu dois faire un "double" retournement de la pièce.

Modifié par Thomas
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Croire ou ne pas croire, cela n'a aucune importance
Ce qui compte c'est de se poser de plus en plus de questions
Edmond Wells

3Draco

Publié le

Si je lis la question initial c'est existe t'il des pièces biseauté en euro afin de forcer 

La face ou pile .

Dans ce cas de figure c'est le spectateur qui fait tourner la pièce sur la tranche et non le magicien.

C'est ce petit détail qui fait la différence .

 

Publié le
Il y a 11 heures, Gabriel DESSAUX a dit :

Si je lis la question initial c'est existe t'il des pièces biseauté en euro afin de forcer 

La face ou pile .

Dans ce cas de figure c'est le spectateur qui fait tourner la pièce sur la tranche et non le magicien.

C'est ce petit détail qui fait la différence .

 

Salut Gabriel,

Je montre la pièce du bout des doigts au spectateur, côté pile, puis côté face.

Je fais tourner moi-même la pièce sur la tranche comme une toupie sur la table, sur le sol ou sur une surface dure. Je m'éloigne un peu et je demande au spectateur de quel côté est tombée la pièce dès qu'elle s'immobilise. (Comme la méthode Luc Apers, dans sa conférence/spectacle "Enfumisteries").

Est-ce plus clair pour toi, et aurais tu des pistes  pour cette fameuse pièce truquée ? Je préfèrerais utiliser une pièce Euro, plutôt que la pièce personnalisée de Luc Apers.

J'ai eu le retour de boutiques de magie , mais ils n'ont pas cet article.

  • J'aime 1
Publié le

Oui pour la fameuse pièce truqué elle existe un pack de 2 une qui force pile et l'autre face.

Dispo chez Pi...lol

mais à ma connaissance elle n'est pas disponible en euro.

Pour la conf de Luc après je ne connais pas. 

Sachant qu'il me semble que dans ce poste certains parle du contrôle de la toupie avec une pièce normal déjà évoqué à ma connaissance par Nefesh et looch .

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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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