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Il y a 2 heures, Alx a dit :

(et qui ont tous été distribués par United Artists, mais ça m'étonnerait qu'on cherche ce genre de petits détails ! 😜)

Et le gagnant est... Alx 🙂 ! En même temps c'est le seul à avoir participé 😝.  Mais cela n'enlève rien à ton mérite, camarade 🙂 . En tous cas, bravo 🙂 .

Bref, effectivement le point commun entre ces trois films pourtant très différents est qu'ils ont tous les trois été produit et/ou distribués par United Artists. Or cette société a ni plus ni moins été créée par... Charlie Chaplin (associé à son meilleur ami Douglas Fairbanks, Mary Pickford et David W. Griffith) 🙂

Etonnant, non 🙂 ?

(A l'occasion, il faudra que je vous raconte comment j'en suis venu à penser que Charlie Chaplin est très certainement l'un des plus grands artistes de tous les temps. Rien que ça 😉). 

Modifié par Woody (Philippe)
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Publié le (modifié)
Il y a 2 heures, Woody (Philippe) a dit :

Et le gagnant est... Alx 🙂 ! En même temps c'est le seul à avoir participé 😝.  

Un poil partial, m'étonnerai pas qu'Alx soit modérateur...

Une victoire bien méritée : bravo Alx !

Modifié par Alx
Reformulation (en conservant le sens général)
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Circulez !

  • 2 weeks plus tard...
Publié le (modifié)

Allez zou, on continue de rendre hommage à ce grand Génie 🙂 . Pour la petite histoire, on a dit de Charlot - le personnage de vagabond joué par Charlie Chaplin et appelé ainsi uniquement en France - lorsqu'il était au faîte  de sa gloire - c'est à dire durant une trentaine d'années en gros - que seul Jésus et Napoléon lui étaient égaux en notoriété. Et ce n'est pas vraiment exagéré car à l'époque du muet, les films de Charlot étaient projetés dans le monde entier et "parlaient" 😜 effectivement à tout le monde.  

En effet, Charlie Chaplin pensa longtemps - à tort - que le cinéma parlant était une mode passagère, convaincu qu'un haussement de sourcil bien placé pouvait en dire bien davantage qu'un dialogue. De fait, il résista très longtemps au cinéma parlant et ce fut avec une certaine appréhension qu'il assistât à la première de son film, "Les lumières de la ville", celui-ci étant projeté dans la plus grande tradition des films muets, un peu plus de deux ans après l'apparition du cinéma parlant. Pour l'anecdote, il était accompagné ce soir-là de son ami, Albert Einstein, qu'il jura par la suite avoir vu versé une petite larme au cours de la projection. 

"Les lumières de la ville" est très certainement l'un des exemples les plus frappants du génie de Charlie Chaplin mais aussi et surtout de sa très grande exigence et de son énorme capacité de travail. En effet, pour la scène au cours de laquelle le vagabond achète un bouquet à la marchande de fleurs aveugle,  Charlie Chaplin a effectué 450 - 450 ! - prises avant de trouver la mécanique parfaite (et effectivement elle l'est !). Il s'agissait en effet pour le vagabond de ne pas se laisser percevoir comme tel par la marchande de fleurs mais aussi pour le metteur en scène Charlie Chaplin, de faire parfaitement comprendre l'intention du vagabond aux spectateurs (attribuée à de nombreux artistes dont Charlie Chaplin, cette citation concernant son talent : "Un peu d'inspiration et beaucoup de transpiration")

Ainsi, l'idée du personnage riche qui claque la portière de sa voiture laissant croire à la jeune marchande de fleurs qu'il s'agit de celui qui vient de lui acheter un bouquet est juste... Magnifique 🙂  !

Un Génie, je vous dis 😉 .

Modifié par Woody (Philippe)
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  • 2 weeks plus tard...
  • 5 months plus tard...
Publié le
Le 10/02/2022 à 10:59, Woody (Philippe) a dit :

quel est le point commun entre... Disons, ces 3 films par exemple

 

Le 11/02/2022 à 07:13, Eric DUBS a dit :

Ils ont tous les trois pour titre "l'homme de de Rio", sauf West Side Story et Hang'Em High ?

Plus difficile avec quatre propositions :

 

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    • Je viens de terminer "Le magicien d'Auschwitz" et je suis assez partagé. Ce livre est bien écrit, certains passages sont un peu longs (mais ils sont rares) et au final, je ne me suis pas ennuyé mais je ne sais toujours pas quoi en penser. L'une des rares choses que j'ai apprises à propos de cette période ignoble (le mot est encore trop faible) n'a pas été écrite dans le roman mais dans la postface, par l'auteur lui-même, et concerne les sonderkommandos, notamment la façon dont ils ont vécu l'après-guerre (pour les rares survivants de ces "forces spéciales"). Par ailleurs, je connaissais l'intérêt irrationnel des nazis pour les sciences occultes et s'il n'aborde finalement que très peu cet aspect (juste pour établir un lien entre l'occultisme complètement hors sol des nazis et l'illusionnisme du Grand Nivelli), l'auteur remet néanmoins au centre - même ponctuellement - cet aspect du nazisme considéré, jusqu'il y a peu, comme un pan anecdotique de la doctrine nationale-socialiste (et aujourd'hui, évoqué, à juste titre semble-t-il, comme un élément essentiel de cette idéologie). Pour le reste, le côté romanesque de cet ouvrage n'est pas fou mais l'on finit assez rapidement par s'attacher aux personnages et s'intéresser à leur effroyable parcours (s'il n'avait pas mis en scène un illusionniste, il y a fort à parier que l'on n'en aurait jamais parlé ici). Mais la vraie force de ce livre réside, selon moi, dans la description minutieuse du déroulement du processus de persécution des Juifs jusqu'à la mise en oeuvre de la "solution finale" et cela revêt une véritable valeur documentaire. Il y aurait encore beaucoup à dire et je dois avouer qu'en débutant la rédaction de ce commentaire, j'avais pratiquement décidé de ne pas poursuivre avec "Le manuscrit de Birkenau" mais je pense que ce serait une erreur car si l'on "sait" l'horreur qu'ont vécu les victimes du régime nazi à Auschwitz-Birkenau (mais aussi à Treblinka, Sobibor ou encore Dachau), il est nécessaire d'en entretenir le souvenir et à ce titre, ce roman est exemplaire. Et pour ceux qui veulent approfondir cet important - mais éprouvant -  devoir mémoriel envers les victimes du 3e Reich, je conseille "la mémoire meurtrie", film documentaire consacré à la libération du camp de Bergen-Belsen (attention cependant, certaines séquences sont particulièrement difficiles), le livre de Primo Lévi, "Si c'est un homme" (témoignage essentiel et bouleversant) et, peut-être plus accessible, "Adieu Birkenau" (BD réalisée à partir du témoignage de Ginette Kolinka, rescapée d'Auschwitz-Birkenau). My2Cents W.
    • On est d'accord sur le fait qu'il n'y a pas grand chose disponible sur la toile à ce sujet 😅
    • J'avais identifié les travaux de Fairmagic, mais je ne connaissais pas le livre de Gary Brown. Dans Puzzlers' tribute. A feast for the mind  l'un chapitre écrit par Luc De Smet décrit la technique "trapdoor". Cette technique est aussi très bien expliquée dans cette vidéo : Mais dans l'ensemble, il y a peu de ressources sur le net. Je n'ai rien trouvé d'autre de vraiment utile. D'où la nécessité du reverse engineering ! Bob
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