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Effectivement, il aurait pu se passer du debinage de la malle des indes, en étant par exemple juste planqué derrière et en dépassant, et la caricature de magicien nous apparaît mauvaise car trop de magiciens sont eux même leur propre caricature... Mais oui les "moldus" se fouttent du debinage, par définition...et nous sommes trop souvent ringards...

Sinon je trouve quand même le sketch sympa, et mine de rien, certains d'entre nous pourraient aussi voir dans la mise en scène que le meilleur moment n'est pas dans l'énergie à tout prix, mais dans les moments calmes, voire même dans les silences. 

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A lire dans Le Parisien ce week-end, la colère de Gilles Arthur qui pousse un grand coup de gueule.
il l'a fait savoir dans un courrier adressé à Margaret Menegoz, présidente par intérim de l'Académie des arts et techniques du cinéma. « Je considère que vous avez violé la déontologie des magiciens (quitte à leur porter préjudice) sans aucune retenue et probablement même sans vous en être rendu compte, donc sans vous poser de questions de moral ! »

Citation

« Les Césars ont piétiné la déontologie des magiciens, juste pour faire le buzz », s'emporte Gilles Arthur. Une semaine après la 45e cérémonie suivie par 2,1 millions de téléspectateurs sur Canal +, le producteur des Mandrakes d'or et président de l'Académie française des illusionnistes ne décolère pas. La raison de son courroux ? Rien à avoir avec le prix du meilleur réalisateur remis à Roman Polanski, cette fois-ci. Lui n'a pas du tout apprécié la performance de Benjamin Lavernhe, comédien sociétaire de la Comédie-Française, qui a parodié lors de la soirée un classique de la magie : la malle des Indes.

Façon vielle école à la Hans Klok, on le voit enfermer son assistante dans une caisse avant qu'elle ne ressorte, intentionnellement, d'un autre côté, au mauvais moment, dévoilant ainsi les secrets de ce tour mondialement connu. Avec la complicité de Florence Foresti, qui assure la chute. Du pur show, à prendre évidemment au second degré. Il s'agissait d'ailleurs d'une des rares séquences de la cérémonie sans message politique, ni allusion à Roman Polanski.

Mais Gilles Arthur a vu rouge, lui. Et il l'a fait savoir dans un courrier adressé à Margaret Menegoz, présidente par intérim de l'Académie des arts et techniques du cinéma. « Je considère que vous avez violé la déontologie des magiciens (quitte à leur porter préjudice) sans aucune retenue et probablement même sans vous en être rendu compte, donc sans vous poser de questions de moral ! » écrit-il.

Lavernhe soutenu par Lary

Contacté, Gilles Arthur dénonce « une bien mauvaise pub pour la magie » et en remet une couche : « Où est le respect des auteurs à dévoiler la magie d'un tour ? On ne va plus pouvoir refaire en spectacle la malle des Indes parce qu'un comédien a fait de l'humour sur notre dos. J'en veux aussi à Florence Foresti, qui est complice de ce passage irrespectueux. » Et d'ajouter : « La bienveillance et le respect ne sont pas des mots ringards. »

Également sollicitée, l'Académie des Césars renvoie la balle à Florence Foresti, qui a eu carte blanche de la part de Canal + comme maîtresse de cérémonie. De son côté, Benjamin Lavernhe est injoignable. Mais le comédien a le soutien d'un célèbre magicien : Dani Lary. Ce dernier tient à nuancer les attaques de Gilles Arthur contre le numéro vu aux Césars, qu'il trouve « drôle ». « C'est présenté comme du second degré, donc je ne suis pas persuadé que le public pense qu'on lui dévoile le vrai truc. Alors que maintenant, c'est fait ! Et encore, il ne s'agit que d'un système sur cinq possibles. Les autres sont sur YouTube. Alors en vrai, on s'en tape le coquillard. »

Pour Dani Lary, il y a bien plus grave : « Je fais le tour des Zénith mais, à cause du coronavirus, on est obligé d'arrêter la billetterie à 4 000 tickets. Mon producteur y perd et ceux qui ne peuvent pas acheter de place sont déçus. »

La suite se lit ici...

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Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

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    • Boston Dynamics s'engage dans une stratégie qui à terme devrait permettre à Atlas (son robot de type androïde) d'apprendre à exécuter n'importe quel type de tâche. En gros il s'agit pour Boston Dynamics de donner de l'intelligence à son robot. Car à part faire des pirouettes, il faut bien reconnaitre que pour l'instant il ne fait pas grand chose d'autre (je caricature à dessein). Pour résumer très très simplement, l'idée est de reprendre ce qui a fait le succès de l'IA, c'est à dire nourrir d'une grande quantité de connaissance un système à apprentissage. Dans le cas d'Altas, il s'agirait de lui faire regarder des humains qui exécutent une tâche particulière pour qu'il puisse ensuite la réaliser lui-même. L'objectif est d'aller au delà de ce qui se fait déjà comme les robots de peinture qui ne font que reproduire fidèlement les gestes d'un ouvrier. L'homme a des capacités d'adaptation et d'initiative que n'a pas un robot conçu pour une tâche répétitive bien particulière. L'idée est de donner au robot ces capacités. Le défi semble de taille. Mais qui imaginait il y a encore peu ce que permet aujourd'hui l'IA. Plusieurs axes de recherche sont envisagés par les ingénieurs de Boston Dynamics. Je vous laisse les découvrir dans cette vidéo (avec Zach Jacowski, le responsable d'Atlas) : Bob
    • Je recherche pure cup de tcc, si vous vous en séparez, contactez moi !
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