Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le (modifié)

J’ai pensé aussi à un effet réalisable avec la pièce que j’ai vu dans chess guess de chris ramsay ou l’on pose une carte de prédiction face cachée et ou l’on force la personne à penser à cette carte en fonction du choix des mains qu’elle fait exemple si tu as mis la pièce dans la main gauche tu penseras à une carte rouge etc jusqu’a arriver à la carte de prédiction. A essayer...

 

 

Modifié par Mat Rivers
  • J'aime 6
  • Merci 1
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le

Une idée pour l'enveloppe.

Si vous ne souhaitez pas la griller et passer votre temps à en faire, perso j'ai mis 2 patte a fix sur la fermeture de l'enveloppe, et sous pretexte d'appuyer dessus pour la faire tenir, j'obtiens ce "don" ;)  j'ai besoin.

« Quand on vous a eu, Tom et toi, ta mère m'a dit un truc que j'ai jamais vraiment compris. Elle m'a dit à partir de maintenant, il faut qu'on devienne des souvenirs pour eux. »

• Interstellar •

Publié le
Il y a 18 heures, Winn a dit :

Pour certain c'est bon à 99% et pour d'autres c'est du 50/50 (au pif quoi)

:D

D'autres cas :

J'ai réalisé l'effet "Dans quelle main ?" une seule fois, j'ai obtenu un taux de réussite de 100 %. Sur un seul test, ce pourcentage n'a aucun sens. 

Comment estimer qu'un effet est fonctionnel à 99 % sur une personne ? En lui présentant l'effet au moins cent fois ? Qui se prêterait à un tel test ? De plus les conditions initiales se modifieraient en cours d'expérience, ça n'a pas trop de sens non plus.

Pour ce qui concerne le 50/50 "au pif", cela veut quand même dire que dans la moitié des cas on obtient 100 % de réussite. :D

Peut-on évaluer que le taux de réussite est de 99 % juste en tenant compte de tous les cas comptabilisés ? Sans doute mais il faut vraiment effectuer de nombreux tests et (j'ignore le nombre pour que cela soit significatif et les biais éventuels de l'étude) mais il me semble qu'il est plus judicieux de tester une fois sur cent personnes que cent fois sur la même.

Un autre facteur peut intervenir, peut-être qu'il existe un choix de main (par exemple la pièce dans la main droite) effectué plus souvent la première fois pas un spectateur, ce serait intéressant à comptabiliser (ainsi en cas de doute avec un spectateur avec qui la méthode semble incertaine, quitte à tenter de trouver la main au hasard il faudrait alors se rabattre sur le cas le plus probable, s'il existe).

***

Bon, je lance une idée de tour utilisant le OUI et le NON.

1/ Un spectateur choisit une carte qui est perdue dans le jeu (à vous de transposer avec tout type de cartes spéciales, à symboles et autres jeux de tarot par exemple).

2/ Le spectateur met secrètement la pièce dans la main de son choix et tend ses poings fermés. 

3/ Le magicien dit qu'il va retrouver la pièce. Supposons que le magicien (ayant à fort bon escient étudié The Secret) trouve dans quelle pièce se trouve la main (ou plutôt le contraire, évidemment).

a/ On constate que la pièce se trouve en configuration OUI. LD pour montrer une carte quelconque qu'on pose face en bas sur la table. La pièce OUI est posée sur la carte. On dit que la pièce ne ment jamais, s'agit-il bien de la carte ? Le spectateur dit non, on révèle alors qu'il s'agit bien de sa carte. Miracle ! La pièce ne ment jamais.

ou

b/ On constate que la pièce se trouve en configuration NON. LD pour montrer la carte choisie (Miracle !) qu'on pose face en bas sur la table. La pièce NON est posée sur la carte. On dit que la pièce ne ment jamais, s'agit-il bien de la carte ? Le spectateur dit oui, on révèle alors qu'il s'agit d'une carte quelconque. Illusion ! La pièce ne ment jamais.

Je laisse de côté les détails techniques sans importance pour exposer cette idée d'utilisation de la pièce pour ce qui concerne ses côtés OUI et NON. 

D'autres idées ? 

  • J'aime 3
  • Merci 2
Publié le
Le 05/10/2018 à 08:53, shrek (Stéphane) a dit :

Salut Soca,

Pour ton entraînement, fait comme moi.J’ai demandé à ma compagne de mettre la pièce dans une de ses mains, ensuite je les prise en photo.Elle à tout le stock (environ 50 clichés).Et elle me les envoie pendant la journée de manière aléatoire.C’est devenu un petit jeu entre elle et moi.

 

Si ce n’est que chaque main est différente et qu à mon avis il faudrait mieux avoir 50 compagnes.

Publié le
Il y a 10 heures, Christian Girard a dit :

 

Un autre facteur peut intervenir,

 

 

 

 

 

 

 

OUI svp !!! Le mien a dit qu’il était passé hier en me laissant un avis mais kedal !

 

www.jonspade-magicien.fr

Publié le
il y a 16 minutes, Chimère (Jean-Baptiste) a dit :

Si ce n’est que chaque main est différente et qu à mon avis il faudrait mieux avoir 50 compagnes.

Et bien ! quel enthousiasme ! ... sortie du contexte, cette phrase sonne un peu specialement ou c'est moi?...*

*C'était pour équilibrer un peu, le sujet commençait a être dominé par les messages de facteur®️

  • Haha 5

Un endroit où la main de l'homme n'a jamais mis le pied... (Alphonse Allais)

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8227
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Niranjan SHIVARAM
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84k
    • Total des messages
      679k

×
×
  • Créer...