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Publié le

Non Frantz, je ne suis pas de mauvaise foi.

Je n'ai pas de photocopies de livres.

J'achète, j'emprunte, je discute et parfois je note une routine ou deux.

C'est le coté prof qui doit ressortir, mais je ne vois pas l'interet d'une bibliothèque perso énorme et virtuelle qu'on n'a pas le temps de découvrir ni de travailler.

C'est pour ça que mes livres, ceux que j'achète et respecte sont choisis avec soin et généralement je les achète aprés les avoir parcouru ou lus chez un ami.

Celui qui a lu et assimilé tout le Bobo n'a plus grand chose à découvrir en pièces non ? de même connaitre et maitriser "expert card technique" amène déja assez loin en cartes.

Quant aux échanges dont tu parles, dvd contre divx, désolé mais ce n'est pas ma tasse de thé, c'est exactement la même chose que ce que je dénonçais plus haut : une relation basée sur l'intéret exclusivement, du commerce, du troc appelle ça comme tu veux. Il me semblait défendre l'idée de communauté tout court, pas de petites magouilles de quartier.

Peut-être me suis-je mal exprimé ? :confused:

Amicalement

Snorg

Ne participez jamais a un concours de coup de pied au cul avec un porc epic... non jamais...

http://superreeduc.canalblog.com/

Publié le
Pour prendre l'exemple des livres de magie : beaucoup (moi le premier !...) trouvent que les livres de magie sont trop chers... Mais combien ont conscience que si tous ceux qui ont un livre l'avaient acheté (et pas photocopié, scanné, téléchargé, échangé, etc.), alors ce livre aurait coûté DEUX FOIS MOINS CHER ?...

Frantz

Je suis souvent d'accord avec toi Frantz mais on ne peut pas te laisser tenir ce genre d'argument que tu sais faux. Le prix est déterminé avant la vente, personne ne peut savoir si le livre sera un succès ou non. Ou bien alors il faudrait lancer des souscriptions et déterminer le prix en fonction du nombre d'acheteurs.

La copie en général est un fléau quelque soit le marché concerné. Mais c'est aussi une honte de voir certains professionnels faire des vidéos avec des choses qu'ils n'ont même pas inventées, dans des conditions de tournage douteuses (images et sons pourris) et tout cela pour une vraie fortune. Sans compter les pseudos livres qui ne sont que des photocopies vendus à des prix exorbitants. Alors c'est vrai que les consommateurs sont responsables mais c'est vrai aussi pour certains pros qui vendent de la merde à prix d'or, sans compter les plagiats ou bien les soit disant nouvelles versions d'un tour dans lesquelles, un seul comptage a été modifié. De nombreux pros ne citent même pas leurs sources. Le respect doit se faire dans les deux sens.

Publié le

Non Frantz, je ne suis pas de mauvaise foi.

Je n'ai pas de photocopies de livres.

(…)

C'est pour ça que mes livres, ceux que j'achète et respecte sont choisis avec soin et généralement je les achète aprés les avoir parcouru ou lus chez un ami.

(…)

Quant aux échanges dont tu parles, dvd contre divx, désolé mais ce n'est pas ma tasse de thé,

Aaarrrrghhhh !!!... ;) Mais je ne parlais pas spécialement de TOI !... ;) Pourquoi te sens-tu accusé ?... Je ne t'ai jamais mis en cause !...

On ne parle de personne en particulier ici, on parle en général, et on dit que en général, le "pillage intellectuel" nuit à la création et à l'existence de nouvelles choses...

Il me semblait défendre l'idée de communauté tout court, pas de petites magouilles de quartier.

Mais personne n'a jamais dit le contraire !... Pourquoi être sur la défensive comme ça Snorg ?... C'est ton "côté prof" (sic !...) qui ressort ?... ;) ;) ;)

L'idée de "communauté" et de partage sont très nobles, nous sommes bien d'accord !... Mais "partager" un truc qui ne nous appartient pas c'est du vol, et là ce n'est plus noble du tout... (Et lorsque l'on possède un livre ou une vidéo, on est propriétaire du support, mais pas du contenu...).

Prêter un livre à un copain n'a jamais été un problème (bien au contraire !...), mais le mettre à dispo en téléchargement ou en faire une dizaine de photocopies, si...

Ce sur quoi nous parlions ici est l'idée de "propriété intellectuelle", et ça ne fait jamais de mal d'en reparler (une fois de plus), tellement sont nombreux ceux qui n'ont même pas conscience que cela puisse exister...

Mais, encore une fois, je ne vois pas à quel moment tu as été, toi, Snorg, remis en cause sur quoi que ce soit... ;) (Et quand je parlais de mauvaise foi, c'était au sujet des exemples que tu avais pris : nous sommes tous d'accord pour aimer les Bibliothèques ou pour trouver que l'idée de Google est très bonne, mais tout ça se fait dans le respect de la propriété intellectuelle... Bien sûr que personne ne remet en cause le principe des Bibliothèques dans ce thread !...).

Très cordialement,

---

Frantz

Publié le (modifié)

Olivier,

mais on ne peut pas te laisser tenir ce genre d'argument que tu sais faux. Le prix est déterminé avant la vente, personne ne peut savoir si le livre sera un succès ou non.

Bien sûr que personne ne sait à l'avance si un livre (ou autre chose) sera un succès ou non... Mais on connaît très bien la "taille" du marché... À titre indicatif, quand un livre pour magicien atteint les 500 exemplaires vendus, c'est TRÈS bien (alors qu'au final peut-être 1500 ou 2000 personnes le possèderont sous une forme ou une autre).

Donc, c'est simple, aujourd'hui, pour un livre de magie en français, personne ne va en imprimer 3000 exemplaires d'un coup... Les tirages seront donc de 500, 600 voire 1000 exemplaires pour les plus audacieux... Et sortir un truc à 500 exemplaires ne coûte pas DU TOUT la même chose à l'unité que de le sortir à 3000 exemplaires... Et donc le prix public final ne sera pas du tout le même...

Je maintiens ce que j'ai dit : si on savait qu'il y avait une potentialité de 1500 ou 2000 ventes (au lieu de 500), les livres seraient tirés à 2000 ou 2500 exemplaires et le prix final serait divisé par deux... (Bon, peut-être pas tout à fait, ok, mais un bon 30% de moins, ça c'est sûr...).

Mais c'est aussi une honte de voir certains professionnels faire des vidéos avec des choses qu'ils n'ont même pas inventées, dans des conditions de tournage douteuses

Tout-à-fait d'accord...

Sans compter les pseudos livres qui ne sont que des photocopies vendus à des prix exorbitants.

Encore plus d'accord !... ;)

mais c'est vrai aussi pour certains pros qui vendent de la merde à prix d'or,

D'accord aussi... Mais c'est Coluche qui disait : "Quand on pense qu'il suffirait que vous n'achetiez pas pour que ça ne se vende plus..." ;)

Je suis de ceux qui pensent que ce ne sont pas les vendeurs qui font le marché, mais les acheteurs... Si un truc ne se vend pas, plus personne ne l'aura à son catalogue... C'est pour ça qu'il me semble plus important d'éduquer et de faire en sorte que les gens n'aient plus envie d'acheter tout et n'importe quoi (quoi que... C'est, là encore, bien subjectif !...). Mais si 3000 personnes sont prêtent à mettre vingt euros dans un bout de ficelle, je comprends que certains vendent de la ficelle à vingt euros... ;)

Je pense que l'acheteur est RESPONSABLE de ce qu'il achète... S'il trouve que c'est trop cher, il n'achète pas !... Et si personne n'achète, ça ne se vendra plus !... ;) Et que l'on ne me parle pas de ceux qui "ne savent pas ce qu'ils achètent"... Pourquoi acheter quelque chose que l'on ne connaît pas ?... Pour ma part, si on me propose une petite boîte en me demandant vingt euros pour savoir ce qu'il y a dedans, je ne payerai pas... Ou alors j'assume le risque, mais je ne viendrai pas me plaindre après...

De nombreux pros ne citent même pas leurs sources. Le respect doit se faire dans les deux sens.

Je suis entièrement d'accord. À 100%. Il n'empêche que ce n'est pas parce que quelqu'un fait quelque chose de "pas bien" (un vendeur, un "pro", un "vendeur-pro", un "po-vendeur",...) que ça légitime le fait que quelqu'un d'autre (l'acheteur) fasse aussi un truc "pas bien"...

Très cordialement,

---

Frantz

P.S. : pour revenir sur la notion de prix, regardez un peu les petites annonces du site... Ceux qui vendent des trucs d'accasion, ils annoncent parfois un prix, puis, comme ça ne se vent pas, ils remettent un message une semaine plus tard avec un "nouveau prix", et ce, parfois trois ou quatre fois de suite jusqu'à ce que ça se vende !... C'est donc bien l'acheteur qui fait le prix, non ?... ;)

Modifié par Frantz
Publié le

Le problème c'est qu'il n'existe pas de bibliothèque de magie, ou alors elle est réservée a une 'élite'.

Il me semble qu'au local de la FFAP il existe une bibliothèque et que chaque membre peut y avoir accès gratuitement.

La plupart des filiales FFAP ont aussi des livres et vidéos à disposition de leurs membres (d'ailleurs, celle de Lyon a tellement plue qu'elle a été cambriolée il n'y a pas très longtemps !...).

Certaines bibliothèques municipales ont aussi des livres de magie en rayon, notamment les fameux "Payot"...

Bref, pas mal de choses sont facilement accessibles, aucun "élitisme" dans tout ça...

Sauf que tu sais comme moi que dans l'édition le prix de vente est fixé d'avance et que la vente en dessous de ce prix est interdite...

Je parle de manière globale, pas au coup par coup... ;) Je parle de "moyenne", de "long terme", de "globalement", de "tendance", de "généralité"... ;)

Publié le
Le problème c'est qu'il n'existe pas de bibliothèque de magie, ou alors elle est réservée a une 'élite'.

Il me semble qu'au local de la FFAP il existe une bibliothèque et que chaque membre peut y avoir accès gratuitement.

La plupart des filiales FFAP ont aussi des livres et vidéos à disposition de leurs membres (d'ailleurs, celle de Lyon a tellement plue qu'elle a été cambriolée il n'y a pas très longtemps !...).

Certaines bibliothèques municipales ont aussi des livres de magie en rayon, notamment les fameux "Payot"...

Bref, pas mal de choses sont facilement accessibles, aucun "élitisme" dans tout ça...

Moi je parle d'une bibliothèque où on peut trouver des livres du style "Olram Files", "The Gambler's Palm Revisited", ... Pas des livres que l'on peut trouver n'importe où.

Publié le

Imaginons un auteur habitant une petite ville de 2000 habitants. Il écrit un roman à compte d'auteur dont l'action se situe dans sa ville. Cela lui coûte une bonne part de ses économies. La bibliothèque municipale en achète 3 et informe ses adhérents de la présence de ce livre dans ses rayons.

Je crains que malgré le côté sympathique du concept de bibliothèque notre sympathique auteur ne réalise pas une très bonne opération pour ses finances.

On touche là le paradoxe et les limites de la notion d'échange et de libre partage de la culture. Parce que personne ne va payer l'auteur si personne n'achète son livre. Mais la plupart des adhérents de la bibliothèque seront heureux de féliciter l'auteur...

C'est un peu comme si un passionné de mécanique venait s'installer dans cette petite ville et commençait à réparer toutes les voitures pour le plaisir. Je doute que le garagiste apprécie beaucoup....

Mais quand il s'agit de la culture...

Problème délicat n'est-il pas ?..

Je prends un exemple personnel : j'ai en projet de tourner une vidéo pédagogique dans le domaine du mentalisme. Et bien... je ne vous cache pas mes doutes et mes inquiétudes. Déjà que pour une vidéo de mentalisme, en français de surcroit, le marché n'est pas bien grand...

Si on y ajoute le fait qu'une personne qui va l'acheter va la prêter à quelques amis qui se contenteront de la visionner et de prendre des notes, que certains clubs l'ajouteront dans leur vidéothèque pour la mettre à la disposition de tous leurs membres et qu'elle sera peut-être piratée et mise à disposition sur Kazaa ou E-Mule... Vous comprendrez que je n'ai pas grand espoir d'en faire une opération autre que pour la "gloire" !.. Etant donné l'investissement que m'a demandé l'acquisition de tous le matériel de tournage, montage, aménagement du studio...etc. Je ne suis pas prêt de rentabiliser l'affaire.

Le problème c'est que... contrairement aux amateurs : je n'ai pas un autre métier pour me faire vivre. Entre le premier jour de réflexion sur cette vidéo et la commercialisation finale il va s'écouler un très grand nombre d'heures durant lesquelles contrairement à un salarié je ne vais pas gagner un centime. Et comme je suis travailleur indépendant et pas intermitent...

Je n'écris pas cela pour faire pleurer dans les chaumières. Mais seulement pour pointer du doigts quelques paradoxes et en inciter certains à assouplir leurs opinions.

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    • Pourquoi prendre le risque de concourir en ne respectant pas les règles ? 🤔
    • C'est du ChaKPT, non ? (La neutralité du ton y ressemble et il y a des infos qui m'interpellent - il a vraiment été ovationné des son ENTRÉE sur scène ?)
    • Article prévu pour la Presse Française :  Double champion du monde ? Pourquoi Dani Lary a été privé d’une reconnaissance historique à la FISM    Chapeau : Ovationné pendant plus de deux minutes par 2 000 spectateurs à Turin, Dani Lary a livré un numéro d’une pureté rare lors du Championnat du monde de magie 2025. Pourtant, l’illusionniste français n’a pas été primé : la rigidité du règlement et des contraintes administratives l’ont privé d’une reconnaissance officielle, posant la question du rôle de la FISM et de son équilibre entre exigence et souplesse.   1. La FISM, vitrine mondiale de la magie La Fédération Internationale des Sociétés Magiques (FISM) est depuis plus de soixante-dix ans le rendez-vous incontournable des magiciens du monde entier. Véritables "Jeux Olympiques de la magie", ses championnats visent à célébrer l’excellence et la diversité artistique dans toutes les disciplines : close-up, manipulation, grandes illusions… L’édition 2025, organisée à Turin, a une fois de plus rassemblé des centaines d’artistes venus des quatre coins du monde, confirmant le prestige de l’événement.   2. L’exemple Dani Lary : quand la règle prime sur l’art Cette édition restera toutefois marquée par la controverse autour de la participation de Dani Lary, figure emblématique de la magie française. Dès son arrivée sur scène, l’artiste a déclenché une vague d’applaudissements et d’engouement de la part des 2 000 spectateurs présents dans la salle. Son numéro, Gloop, centré autour d’un aquarium, a été couronné d’une standing ovation de plus de deux minutes, au point que l’animateur a dû réclamer le silence avec difficulté pour introduire le passage suivant. La volonté de Dani Lary était de rester dans la pureté du numéro, débarrassé de tout artifice superflu, en assumant un minimalisme rare dans les grandes illusions. Ce choix, salué par le public, a pourtant été pénalisé par le règlement, qui considère qu’un seul "effet" ne suffit pas à concourir. « Ce numéro d’escapologie que j’ai présenté en hommage au célèbre magicien Harry Houdini, le Gloop, est à ce jour toujours incompris de tous les magiciens. C’est unique au monde. Jamais personne ne l’avait fait : c’est du 100 % invention, du 100 % créatif et novateur. Rien que pour ça, ils auraient dû se dire : “ce numéro fait avancer la magie à un haut niveau” », confie Dani Lary. Malgré l’innovation reconnue de son numéro, le règlement a prévalu : Dani Lary a été considéré comme n’ayant présenté qu’un seul effet et a perdu de précieux points.   3. Une rigidité qui interroge La FISM doit-elle rester intransigeante pour préserver l’équité ? Si la rigueur administrative garantit des conditions standardisées, elle peut aussi étouffer la créativité. Le cas Dani Lary illustre un déséquilibre potentiel entre prestige institutionnel et ouverture artistique. Gloop n’a jamais été expliqué ni reproduit ; il reposait sur un procédé totalement inédit. « J’ai gardé ce numéro pour le jour d’un congrès mondial parce que je savais que c’était une pépite », explique l’artiste, qui refuse encore de le vendre à d’autres magiciens tant il le juge unique. Dani Lary estime que ces inventions véritablement nouvelles devraient être davantage valorisées. « Ce sont ces numéros-là qui font avancer la magie », insiste-t-il.   📣 Encadré : “Un moment suspendu dans la salle” « Dès qu’il est apparu, on a senti une énergie incroyable. Les spectateurs se sont levés presque instinctivement et ont applaudi sans discontinuer pendant plus de deux minutes. L’animateur a eu toutes les peines du monde à calmer la salle pour enchaîner », raconte un membre de la communauté magique sur le forum Virtualmagie. Ce témoignage reflète l’intensité de l’émotion vécue dans la salle : un numéro salué par un public conquis.   4. Peu de précédents documentés À ce jour, aucun autre cas comparable — où un artiste majeur aurait été pénalisé pour quelques heures de retard ou pour un numéro jugé "trop minimaliste" — n’a été largement documenté. Ce cas reste donc isolé, mais soulève une question essentielle : certaines règles ne limitent-elles pas inutilement l’innovation et l’émotion scénique ?   5. Vers un équilibre à trouver Pour rester fidèle à sa mission, la FISM gagnerait à : Introduire une marge de tolérance sur les délais administratifs ; Valoriser la diversité expressive, y compris les styles minimalistes et novateurs ; Renforcer le soutien logistique auprès des artistes, quelle que soit leur renommée.   6. Conclusion Le prestige de la FISM repose sur un juste équilibre entre excellence artistique et rigueur organisationnelle. L’affaire Dani Lary rappelle que la magie est d’abord un art de l’émotion et de l’innovation. Le Gloop, salué par 2 000 spectateurs debout à Turin, a démontré qu’un seul numéro peut marquer durablement les esprits. Pour préserver sa crédibilité, la FISM doit évoluer vers davantage de tolérance et accompagner pleinement les artistes, au lieu de les freiner.
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