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[Technique] Que faire lorsque l'on rate un contrôle ?


Robin MAIRE

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Quand je loupe un controle, je fais comme si c'était une carte ambitieuse et la carte remonte en haut (il m'est arrivé une seule fois dans ma vie que la carte sois réellement en haut du paquet :) ). Normalement en haut, il n'y aura pas la carte du spectateur. Alors tu lui demande quelle était sa carte et en la cherchant, tu la fait disparaître (donc c'est normal qu'elle ne sois pas remonté en haut du paquet ;) )

J’espère que cela aidera ceux qui ne savent pas quoi faire :)

la magie, plus qu'une illusion, une émotion

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Si tu loupe un contrôle c'est que tu l'a pas assez travaillé ;)

Quand Nadal rate une balle, c'est donc qu'il n'a pas assez travaillé sa technique ? ;)

Quel nul, il lui arrive même de faire des doubles fautes au service !

A la différence prés que louper une balle induit une variable c'est un adversaire que tu maîtrise pas forcément ou le vent la fatigue etc

Ici si tu maîtrise parfaitement ta personne et ta technique aucun soucis.

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Si tu loupe un contrôle c'est que tu l'a pas assez travaillé ;)

Quand Nadal rate une balle, c'est donc qu'il n'a pas assez travaillé sa technique ? ;)

Quel nul, il lui arrive même de faire des doubles fautes au service !

D'accord avec Christian Girard !

On rate plus facilement et plus souvent ce qu'on n'a pas assez travaillé, mais rater arrive à tout le monde. Sauf à ceux qui n'essaient pas ;)

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C'est peut être en ratant beaucoup qu'il vient le plus de bonnes idées ?

Il ne faut en tout pas paniquer, et surtout ne pas dire "Ah je l'ai loupé, je vais en faire un autre". Les gens ne savent pas ce qui est censé se passer, c'est à exploiter.

Il m'est arrivé récemment de planter un contrôle (j'en fais pourtant des très très simples...), et en révélant la mauvaise carte, j'ai vu que ce n'était pas ça... J'ai donc parcouru le jeu face vers moi, et cullé la carte pour l'a produire avec mon HWallet. "Normal que je n'ai pas pu retrouver ta carte, elle était dans mon portefeuille pendant tout ce temps là..."

C'est très très bien passé.

David

mnemonaute_tn.jpg

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Si tu loupe un contrôle c'est que tu l'a pas assez travaillé ;)

Quand Nadal rate une balle, c'est donc qu'il n'a pas assez travaillé sa technique ? ;)

Quel nul, il lui arrive même de faire des doubles fautes au service !

A la différence prés que louper une balle induit une variable c'est un adversaire que tu maîtrise pas forcément ou le vent la fatigue etc

Ici si tu maîtrise parfaitement ta personne et ta technique aucun soucis.

Erwan, ne prends pas ma remarque plus au sérieux qu'il ne le faut :D , Cervier a très bien compris le sens de mon intervention. RobinLeMagicien veut juste une réponse à une question simple et intéressante qui est, comment dire, une hypothèse de travail en vue d'une réflexion. Pour ma part, j'ai une façon de faire un peu dans l'esprit de celle proposée par Pyro (que Robin et d'autres peuvent remercier car c'est enfin une réponse généreuse en phase avec la question posée :whistle: ) et j'avoue ne pas trop avoir envie de la décrire publiquement mais, si Robin me passe un coup de fil, je la lui dévoilerai sous le sceau du secret.

Pour ce qui est de l'analogie avec le tennis ou quelque autre domaine d'activité, tout arrive et même Nadal fait des fautes directes sans que cela soit imputable au vent ou à la fatigue. Un simple manque de concentration peut être fatal (sur une balle) et si tu prétends n'avoir jamais raté une technique ne serait-ce que cartomagique (et pas forcément un contrôle) sache que tu es un dieu incarné ;) . En magie aussi il y a des variables qu'on ne maîtrise pas, mais je crois que même sans lesdites variables il peut se produire une étourderie, "c'est comme ça" : l'horreur est humaine, certes, mais l'erreur aussi mdr . Du coup, c'est une réponse à ces rares moments où le "contrôle" des opérations a été perdu qu'il faut donner sans immédiatement mettre en cause le demandeur en l'accusant de n'avoir pas assez "travaillé" ; selon moi, travailler c'est aussi envisager le pire, le rare, l'improbable, et s'y préparer pour parer le coup.

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    • Sensibilisation des chiens à la politique :  
    • Bonjour  Voilà un article du figaro sur le sujet  Bonne journée  Philippe  https://www.lefigaro.fr/culture/le-magicien-etait-une-femme-trente-ans-apres-le-magic-circle-rehabilite-une-travestie-20250424
    • « Si vous voulez… »   Dear Jean, « Si vous voulez… », suivi d’une pause dramatique Slydinienne, puis d’une vérité plus ou moins assassine, c’était votre phrase récurrente, votre tic verbal. C’était le signe de ralliement, le début des hostilités, l’entrée dans la Merlinosphère. « Si vous voulez », c’était comme le « Say Please » de Goshman, le « It can’t be done any slower » de René Lavand,  le « Watch! » de Richiardi. Dès que le premier « si vous voulez » fusait, ça ne rigolait plus et il fallait se préparer à la suite.  Si vous voulez…  Ben oui Jean, on voulait bien. On voulait bien venir chez vous pour la bonne bouffe, l’apéro à la carte et le menu confectionné sur mesure, par vos soins : les mêmes mises en pages, les mêmes polices de caractère que Mad Magic, mais un numéro spécial rien que pour vos invités ! On repartait gonflés d’importance, une relique entre les mains et des idées plein la tête.   On voulait bien venir pour une anecdote « c’était mieux avant », ou savoir s’ « il était gentil Slydini ?». Et puis, au cours de la soirée, cueillis comme les spectateurs qui ne voyaient pas la boulette partir, on découvrait que c’était vous qui posiez le plus de questions. Le passé restait à sa place et vous partagiez le dernier spectacle vu à Londres, le futur voyage planifié  avec votre bénite Patricia, ou votre enthousiasme pour le miraculeux Yann Frisch, grâce à qui c’est mieux maintenant aussi.   Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien venir chez vous avec la timide intention de vous acheter tel ou tel ancien numéro de Mad Magic ou autre livre. En serrant un peu les fesses, parce qu’avec vous, on ne rigolait pas avec le pognon. Un sou est un sou, voire deux, en comptabilité Merlin. Et puis on ressortait toujours content : d’abord, vous vous êtes sans doute fait arnaquer sur tous vos livres, ils valent chacun trois fois leur prix. Ensuite, parce que votre sens de l’accueil et de la fidélité sont toujours restés hors-commerce.    Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien être littéralement convoqué  (car il n’y a pas d’autre mot) chez vous, après votre visionnage de « In & Of Itself » de Derek DelGaudio. « Et je vous préviens, il n’y aura pas de vin car j’ai des questions précises à vous poser et je souhaite rester concentré ». Nous sommes restés concentrés, les questions ont été posées, et puis il y a quand même eu un peu de vin après.    On voulait bien se rappeler, au fil des visites, que derrière « Tonton Merlin », ultra-organisé et un brin cabotin, se cachait l’hypersensible Jean. Il fallait le mériter, celui-là. Une routine en plusieurs phases. Ce Jean-là, c’était l’artiste à fleur de peau. Il ne parlait plus de la meilleure façon de négocier son cachet ou ranger ses ballons, mais de spectacles passés et à venir, du métier d’artiste et de sa finalité sur Terre. Son œil scintillait à l’évocation du music-hall. Il s’embuait parfois aussi.    Ben oui, dear Jean, on voulait bien.   Et on aurait bien voulu encore un peu plus longtemps.     Sébastien Clergue 
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