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Publié le

peut être que l'auteur à une anecdote sur une prestation live au surnateum qui est décrit dans Compendium Sortilegionis?

A titre d'anecdote, le premier spectacle qui fut joué au Surnatéum a été "la Boîte de Magies". Le Cabinet de Curiosité lui-même est une salle de spectacle pour des petits groupes VIP, dans lequel il est possible de jouer 10 spectacles différents sans modifier la structure du lieu ou des collections.

Dans la Salle des Oracles, ce sont les routines Vaudou qui ont la priorité.

Mais pour apprécier pleinement les livres, mieux vaut voir les effets en Live.

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Publié le

M'en fiche moi je l'avais pré commander le jour mème de l'annonce chez un certains marchand de truc. Donc hop je l'ai déjà dévoré avant Noël tiens.

Du coup pour Noel ca sera Paradise Lost je pense :P.

Bisous au Conservateur.

"C'est pourquoi pour chaque tour de magie il existe un troisième acte. Le plus difficile. Celui que l'on nomme: Le prestige. "

Publié le (modifié)

Hello à Tous

Je suis TRES IMPRESSIONNE par la quantité de travail accomplie par Benoit

Merci David.

J'aime bien le travail de Christian, mais le voir ainsi en grand avec une tête à la Droopy n'est pas le plus joli...

Heu…, pour info, Christian est le seul élément de la cover qui ne soit pas photoshopé du tout. 100% naturel, issu directement de la photo (à part la texture de toile qui recouvre le tout). Je propose donc que vous en débattiez, lui et toi, sur le premier tatami dispo à mi-chemin de Lyon et de Bruxelles. D'après ce que je crois savoir de l'un et de l'autre, ça promet d'être intéressant mdr

Parfois, les polices ou les effets qui leur sont appliqués ne sont pas les plus compatibles avec le "print". [...] Ou parfois les effets de reflets qui atténuent la lisibilités ou certaines illustrations.

Je suis obligé de l'admettre. Mais garde à l'esprit que ce n'est pas un "nouveau" livre, c'est une réédition (retravaillée certes, mais seulement au niveau de la couleur, du recadrage ou des bonus, à base de pages archivées en ... jpg) : j'ai fait ça il y a déjà 14 ans, sans rien connaitre à l'infographie.

J'ai appris à me servir de Photoshop 15 jours avant, pendant une formation en management (et j'ai compris un peu tard à quoi pouvait bien servir la palette des calques LOL). J'ai mis plus de 2 ans à le faire... entièrement sous Photoshop et Word ! Pas Glop. À la base, j'ai un graduat en Bande dessinée moi (si si !), obtenu en 5 ans (je sais, c’est long pour un graduat. Mais ils m’aimaient beaucoup et ne voulaient pas me laisser repartir) à une époque où les ordinateurs personnels n’existaient pas encore (enfin si , pour sauter au-dessus des tonneaux et sauver des princesses de 64 pixels, mais pas pour dessiner ou mettre en page des livres), où la plume, l’encre de chine et les écolines (rhaaaâââ les écolines ! C’est trop bôôô la peinture à l’écoline…) étaient mon quotidien.

Quand bien plus tard j’ai craqué sous la pression de Christian qui voulait absolument qu’on fasse un livre ensemble, je n’avais strictement AUCUNE notion de mise en page de texte (j’écrivais juste très vite en capitales dans les phylactères, mais ça n’aide pas), et encore moins de l'existence d'un programme dédié comme Quark ou Indesign.

Je découvrais avec stupéfaction qu’Arial ou Times new roman n’étaient pas les seules typos informatiques existantes, et j'écrasais systématiquement l'image toutes les 20 minutes parce que l'ordi ramait. J'ignorais qu'en principe il y a une relecture finale : J'ai compris trop tard que, du coup, le texte n'était plus éditable. :blush:

Les "reflets" par contre (comme dans la vitrine du matériel de chasseurs de fantôme) sont 100% voulus. En fait, il y a tout un roman photo dans les reflets de cette section. Il y a moyen, pour les observateurs avertis, de suivre un quidam infiltré dans la pièce (hello Thierry) qui tombe malencontreusement sur le conservateur (hello Christian) et le chef de la sécurité (hello Steve), aussi appelé "le bras armé du conservateur" pour une raison qu'il t'expliquera certainement si tu le croises un jour*. Après une discussion quelque-peu "musclée" entre les 3 protagonistes, on retrouve ... disons… "peu de chose" de l'espion :eek: (pgs 75 à 83). Ca donne une ambiance. :cool:

Il y a plein de petites private jokes de ce type disséminées dans le livre. Ça compense bien un tout petit peu le fait que ça atténue parfois TRES LEGEREMENT la lisibilité ? Je ne l'aurais pas fait pour un mode d’emploi de gaufrier, mais là, pour le coup, on a essayé de faire un truc un peu original graphiquement, avec les moyens du bord. Et ça n’a pas si mal marché apparemment, vu qu’il était soldout et activement recherché d'après ce que j'ai cru comprendre. (J'aime bien, ça flatte mon ego à mort. Mais c'est con, j'ai encore 2 exemplaires d'auteur sous blister. J'aurais dû les revendre à prix d'or avant la réédition. Je suis vraiment pas un bon commercial....)

Bref (sic), merci d'essayer, dans la mesure du possible, de garder à l’esprit le contexte de l’époque. Encore une fois, on ne l'a pas « refait » de A à Z, loin de là. On a laissé toutes les erreurs qui font son charme :whistle:

D'autant que techniquement, j'ai fais (de mon avis perso que c'est le mien à moi) un bien meilleurs travail sur la mise en page de Fabula Hermetika (en vente chez tout bon Marchand de truc... ou alors si ça se trouve, j'en ai encore un ou 2 exemplaire sous bli... Heu quoi Ludo ? Non non, je.. non, rien), mais je ne trouve pas grand monde pour me le confirmer (Je déteste... C'est très mauvais pour mon ego.) Bah, pas grâve. J'aurai bientôt une chance supplémentaire de me la péter grâve quand sortira le livre de Swan. Là, y aura pas de comparaison possible avec quoi que ce soit mdr (Comment ? Fallait pas le dire ? M... J'ai spoilé. Désolé !)

Sur ce, j’ai des épisodes du magigazine en retard de visionnage, je file me mettre à jour.

PS : Désolé, je sais que j’ai la parenthèsite aiguë, mais je n’ai jamais réussi à m’en débarrasser (c’est horripilant hein ?). Et je n'ai jamais réussi à faire "concis" non plus... (à l'école, mes résumés de textes étaient plus longs que les textes originaux LOL Après, personne ne s'étonnera plus que j'ai fait mon graduat en 5 ans...)

* un indice :

info01.jpg

Modifié par B D
Publié le

Merci Benoit pour l'explication de texte, ces défauts prendront donc une saveur particulière quand je serai activement plongé dans la lecture, je saurai les apprécier ;)

Mais qu'on soit bien d'accord, sur un livre de cette qualité avec cette recherche esthétique, tant que j'ai que ça à dire...

Concernant la vision graphique moi je n'ai fait qu'un petit passage par Creapole, bossé dans le web design quelques années mais je ne suis jamais passé par le print.

Et pour le tatami, effectivement on pourrait passer un bon moment ^^

David

mnemonaute_tn.jpg

Publié le
[/i][/size])

* un indice :

info01.jpg

Le Bras Droit du Conservateur.

En dehors de la "BD" cachée dans les reflets, on pourrait aussi se demander:

- Qui sont les deux nains de jardin essayant de détruire la nain de jardin central. "Benoit répondra, ça le concerne"

- Quel est le seul dessin de moi (et non de Benoit) dans tout le livre?

- Pourquoi une grenouille hypnotise mon ex-femme?

- Quelle est la seule exigence de ma part concernant le Compendium (vis à vis de Benoit? (La réponse est simple: je voulais une playmate dans le livre; heureusement que la routine Playboy s'y prêtait.)

- Existe-t-il une édition de luxe de la première édition? (Oui, 15 exemplaires numérotés destinés aux membres du Surnatéum), fabriqués à la main par Benoit, accompagnés d'une bouteille de vin (sauf pour Fay), des cartes d'accès au Surnatéum, des clés correspondant aux locaux de chaque fonction, de tickets repas...) Chaque ouvrage a été 'personnalisé' pour son propriétaire et contient 5 modifications dans le texte.

Il existe d'ailleurs UN exemplaire particulier de Légendes Urbaines (appelé Liber Oneiromicon)

Et je vous passe plein d'autres détails.

compendiumspecialweb_zps8fa4a842.jpg

liberoneiromiconweb_zps780801c4.jpg

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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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