Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le
Il y a 5 heures, Kristo a dit :


Tu plaisantes ou pas, là ?

Càd que j'en profite tant que c'est pas condamné par la loi !

On parlait au-dessus d'éléments de langage, de conseil de rédaction, mais cela existe aussi pour aider les journalistes à écrire des sujets sur, par exemple,... le réchauffement climatique :

http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2018/07/13/inondations au-japon-le-visage-du-rechauffement-293232.html 

Melvin

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le
Le 13/07/2018 à 16:23, Melvin a dit :

Càd que j'en profite tant que c'est pas condamné par la loi !


Cette réponse n'étant pas drôle non plus, je me demande encore si tu cherchais à plaisanter ou non...
Tu as de la chance que très peu de femmes fréquentent ce forum, je pense, sinon tu te serais fait lyncher !
 

Le 13/07/2018 à 16:23, Melvin a dit :

On parlait au-dessus d'éléments de langage, de conseil de rédaction, mais cela existe aussi pour aider les journalistes à écrire des sujets sur, par exemple,... le réchauffement climatique :

http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2018/07/13/inondations au-japon-le-visage-du-rechauffement-293232.html 

 

Mais contrairement à ce que tu suggères, la "note aux journalistes" dont parle l'article, n'est pas du tout une consigne donnée par un patron de presse ou par un pouvoir politique. C'est une note diffusée par une association (à but non lucratif) qui cherche à défendre les intérêts de la population, contre les grandes entreprises, dans les lieux de pouvoir. Comme les multinationales, elle fait du lobbying. Lien

Publié le (modifié)
Il y a 1 heure, Melvin a dit :

C'est vrai que l'électricité n'est pas encore assez chère. Si on pouvait nous la taxer davantage pour sauver la planète...


Le problème, c'est que les taxes sont mal réparties. Sans augmenter le niveau total, on devrait activer un principe simple, celui de pollueur-payeur : les activités les plus polluantes devraient être plus taxées, et les moins polluantes moins taxées. Si on ne peut pas compter simplement sur le bon sens, c'est le seul moyen pour encourager les activités les moins polluantes.
Par exemple il est absolument scandaleux que le kerozene des avions (qui est le moyen de transport le plus polluant) ne soit pas taxé. Idem le gasoil des routiers, des pêcheurs, des taxis, qui n'est pas ou peu taxé.
Idem pour les autres activités polluantes. Par exemple, il n'est pas normal qu'il coûte moins cher, pour l'agriculture industrielle, d'utiliser des pesticides que de ne pas en utiliser.

Voir dans une petite heure sur Public Sénat, ce documentaire Pesticides, le poison de la terre

 

 

Modifié par Kristo
Publié le

C'est sans doute toute la difficulté d'être un visionnaire : dénoncer un problème avant qu'il ne devienne évident, c'est s'exposer à des moqueries de la part des pinailleurs ;)

"Ton modèle n'était pas encore juste, tu avais 6 ans d'avance, c'est bien la preuve que tu as tout faux !"

  • Haha 1

L'important, c'est que ça valide !

Publié le

« Si les abattoirs avaient des vitres, on serait tous végétariens »

« Le temps des charcutiers végétariens », un entretien de Jonathan Duong avec Benoît Bréville

peta.jpg?1531755617

17 juillet 2018 - « Si les abattoirs avaient des vitres, on serait tous végétariens. [1] » Cette phrase, on la doit à l’ancien Beatles Paul McCartney, végétarien et soutien actif de l’association PETA, « Pour une éthique dans le traitement des animaux ». Depuis le XIXème siècle, la consommation de viande a été multipliée par quatre en Europe [2]. Autrefois signe de distinction et d’aisance matérielle, la viande a aujourd’hui changé de camp, et les classes populaires en consomment désormais plus que la bourgeoisie [3].

Pour encourager cette consommation, l’industrie agroalimentaire n’a cessé d’augmenter la productivité et les rendements, pour produire toujours plus et à moindre coût. La conséquence, c’est que les abattoirs industriels se sont transformés en usines de torture à la chaîne, régulièrement dénoncées par les militants de la cause animale, comme l’association L214. L’antispécisme, qui veut mettre fin à l’exploitation des espèces animales par l’espèce humaine, reprend du poil de la bête. La Confédération française de la boucherie, boucherie-charcuterie, traiteurs s’inquiète : les actions contre les commerces de viande se multiplient en France, par des militants animalistes qui s’en prennent aux vitrines et répandent du faux sang.

Pendant ce temps, les multinationales de la viande sentent le vent tourner et sautent sur le cheval : si la viande n’a plus la cote, fabriquons des steaks sans viande ! Ça a la couleur de la viande, ça a le goût de la viande, mais ça n’est pas de la viande : c’est un savant mélange de dizaines d’ingrédients plus ou moins naturels concocté en laboratoire. Et si les usines de la foodtech avaient des vitres, serait-on tous végétariens ?

Un entretien de Jonathan Duong avec Benoît Bréville, rédacteur en chef adjoint du Monde diplomatique.

A écouter ici (là-bas, en fait) en accès libre

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Un instrument assez Inclassable :  https://www.instagram.com/reel/DRRrGZDkkC6/?igsh=YzVtYWYxcW9hMnhr
    • Quand deux grands magiciens s'associent pour faire un chocolat, ça ne peut être que bon : (Wolfgang MÖSER & David ROTH) Vous trouverez ces tablettes chez ALDI et...oui, je le trouve vraiment bon. A déguster avec modération devant un dvd de l'un de ses "créateurs".
    • Autre détail : si tu confies le briquet à un spectateur et garde donc les aimants entre pouce et index, tu vas sans doute me demander comment je les remet sur le briquet pour la table suivante (en se plaçant dans la situation ou, comme moi, tu vas de table en table). Il faut que je précise que jusqu'à présent j'utilise un porte-monnaie avec des petits morceaux de papier flash dedans et un mouchoir en papier. Ce porte-monnaie est initialement dans ma poche extérieure gauche de veste avec le boulon dedans et les morceaux de papier flash (rectangulaires, à peine plus longs que le boulon et une position debout/couchée alternée, à angles droits les uns par rapport aux autres si vous préférez). Le mouchoir en papier est dans ma pochette (c'est le nom de la petite poche extérieure, de face, sur une veste). Le briquet équipé de ses aimants est dans la poche à briquet (c'est la poche intérieure gauche, en bas d'une veste qui s'appelle ainsi). 1ère table : je sors le porte-monnaie que je pose sur la table ou dans la main d'un spectateur e lui disant "résistez à l'envie de voir tout de suite ce qu'il y a dedans, je vais vous le montrer dans 30s" puis le briquet. Je fais cela pour éviter tout contact malencontreux entre le porte-monnaie et le briquet. Je demande au spectateur d'ouvrir le porte monnaie vers moi pour garder le mystère jusqu'au bout, je prend le boulon et un morceau de papier flash avec ma main gauche (j'arrive à en prendre un seul grâce au positionnement alterné des morceaux rectangulaires "allongés/debout"). Le boulon doit être dissimulé derrière le morceau de papier et le bout des doigts gauches et j'allume tout de suite le briquet (le bruit de la molette ou du piezo et la flamme attirent l'attention vers le briquet). J'enflamme et fait apparaître le boulon. Je présente la routine du boulon dont l'écrou se dévisse seul avec l'idée de Gaëtan BLOOM d'utiliser le briquet. Là : soit je remet le boulon dans le porte-monnaie et je range tout comme au départ pour la table suivante, soit un spectateur veut essayer d'allumer le briquet près du boulon. Je lui donne. Je récupère les aimants entre pouce et index comme je l'ai décrit dans mon message précédent et je prend le mouchoir en papier que j'ai dans ma pochette entre pouce et index droits (qui ont déjà les aimants) car le meilleur moyen d'avoir une position des doigts naturelle, justifiée est de tenir un objet. Lorsque le spectateur a terminé son essaie, le boulon a noirci un peu donc je lui tend le mouchoir pour qu'il me l'essuie et lui demande de me redonner le briquet. Là, vous l'aurez compris, je conserve les aimants comme avec le briquet lorsqu'il prend le mouchoir en papier et je reprend le briquet en replaçant les aimants dessus et hop, direct dans la poche à briquet. J'attends qu'il m'essuie bien le noir sur boulon (je plaisante un peu là dessus) et lui demande de mettre l'écrou à mi-chemin dessus (je l'embête un peu en lui disant "encore 2 tours et demi" ou je ne dis rien et en récupérant les spectateurs je dis "encore un tour ?"; Après leur "oui" je fais de manière exagérée un tour de plus à l'écrou sur la vis puis je leur dis "nan, vraiment, je vous montre encore un mystère rigolo...et là je sors les rondelles avec le trou que l'on fait voyager ou le clou qui se tord ou le stylo qui se tord, etc...ça dépend de mon envie du moment). Evidemment je range le boulon dans le porte-monnaie et c'est reparti...pour un tour ! Je précise aussi que lorsque je dis "pour la table suivante", en fait je parle non pas de la table que je vais aborder après mais de celle encore après car en table à table, j'ai deux enchaînements de 3 routines chacun et j'alterne une table sur deux. Un des enchaînement occupe mes poches gauches (intérieures et extérieures) et l'autre mes poches droites. Ainsi les spectateurs d'une table ne voient pas ou plus difficilement ce qui les attend. Deux tables voisines n'auront pas le même "numéro" et comme je dis souvent, le premier plaisir d'un spectateur par rapport à la magie, c'est de voir le numéro mais le second (et quelque part encore plus important) est de le raconter à des personnes qui ne l'ont pas vu le lendemain dans la famille, au boulot ou autre. Et là, entre tables, il n'est pas rare qu'ils échangent en disant "ils vous a fait le coup du...?" ou "t'as vu le tour avec ....?". Bien entendu, il n'est pas rare qu'une table me demande à voir un effet dont un voisin de la table d'à côté lui a parlé ou qu'il a entrevu de loin. Dans ce cas, selon le cas, je refais le tour en question ou un autre du même tonneau. Attention : sur certaines vestes, la poche à briquet et au même niveau que la poche extérieure gauche. Dans ce cas, l'aimant peut être trop près du boulon et l'activer malencontreusement. Dans mes vestes, la poche le fond de la poche à briquet est toujours plus bas que celui de ma poche extérieure gauche de veste et le porte-monnaie n'est pas gros mais assez rigide et épais (ce qui limite encore le risque et évite que le spectateur à qui je le confie sente le boulon ou en tout cas une chose dure au travers du cuir). Chaque détail compte pour moi. C'est au fil du temps que je trouve chacun de ces détails pour les routines que je présente mais ça, ce n'est pas un mystère, c'est évident. On s'écarte un peu des billets de Finn Jon alors pour "rattacher le wagon", je dirais que je n'ai jamais testé sa version des billets. Je trouve qu'elle n'est pas adaptée pour le table en table mais que c'est la plus nette pour la scène ou le salon (car les transformations sont à vue et douces, sans accoups et sans pliage des billets).
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8311
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Pierre RANDRUUT (Youri)
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84.4k
    • Total des messages
      680.9k

×
×
  • Créer...