Aller au contenu

Recommended Posts

  • 2 weeks plus tard...
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le

Bonjour,

Désolé de venir poser une question " en vrac" sur ce post, mais venant de finir la lecture très interessante de TR , je me demandais quel livres pourraient compléter les connaissances requises pour parfaire ce tour ( cold reading…. ) (Version Française de préference) .

Pourriez vous m’aiguiller svp ?

  • J'aime 1
  • 1 month plus tard...
Publié le

Bonsoir,

Premier essaie. Premier bide... Un avion... (aurai pas du essayer sur ma femme.... J'etais pourtant prevenu!). J'ai eu beau retourner et recadrer de toutes mes forces, 3 "non"

Bon j'suis degoute, Vais reflechir a ce que j'ai rate, je reviens vers vous quand j'y vois plus Clair.

Ps: degoute mais content quand meme de mon achat...pas l'habitude de m'avouer vaincu, mais Bon, un hit c'est mieux pour commencer....

  • Haha 1
Publié le

Personnellement sur TR, je pense que l'effet s'applique parfaitement, et j'insiste sur le mot, aux inconnus ou aux connaissances, mais pas aux personnes qui vous sont très proches.

Je pense qu'il faut obligatoirement l'appliquer à plusieurs personnes en même temps, pour une seule l'effet est trop faible, surtout si elle vous connait.

Après ce n'est qu'un avis ! ;)

  • J'aime 1
Publié le

MagicLorik sais tu pourquoi ont appelle ça TR ?

" Tour Raté "

Tu n'as plus qu'as le revendre maintenant ou mieux le prêter à quelqu'un comme moi pour voir si l'effet fonctionne quand je le présente...

sinon j'espère que tu n'avais pas dessiné un verre à pied !

  • Haha 1
Publié le
Bonsoir,

Premier essaie. Premier bide... Un avion... (aurai pas du essayer sur ma femme.... J'etais pourtant prevenu!). J'ai eu beau retourner et recadrer de toutes mes forces, 3 "non"

Bon j'suis degoute, Vais reflechir a ce que j'ai rate, je reviens vers vous quand j'y vois plus Clair.

Ps: degoute mais content quand meme de mon achat...pas l'habitude de m'avouer vaincu, mais Bon, un hit c'est mieux pour commencer....

Un bide sur avion ??? T'as au moins bon sur les 2 premiers critères... et pour le 3ème ca se justifie pas trop mal à mon avis...

Evidemment c'est facile à dire "après coup"... mais pour TR, il est IMPORTANT de cerner le contexte dans lequelle on le fait : la mise en condition est primordiale d'une part pour limiter la "complexité" du dessin (voir à ce propos certaines lines proposées par P. Froment qui sont essentielles pour cadrer le choix du spectateur et éviter des débordements "technologique"...).

Ma plus grosse difficulté c'est la "conclusion" : après TR, vous avez décrit des "sensations" plus ou moins précises sur la nature du dessin imaginé par un spectateur mais vous n'avez pas au sens strict du terme, deviner le dessin... ce n'est absolument pas grave si votre objectif n'est pas de faire un DRAWING DUPLICATION. Votre objectif devrait être, à mon sens, de montrer de la "LECTURE DE PENSEE". Le résultat est totalement différent et la présentation aussi. C'est très perturbant car vous ne présentez pas un résultat "tangible"... Après tout, dans TR, ce sont réellement les spectateurs qui se créent intérieurement l'effet !

Ca paraît un peu "fumiste" de dire ca, mais j'ai commencé à améliorer ma présentation de TR lorsque j'ai compris que "l'échec" faisait partie de l'expérience.

Publié le

MagicLorik sais tu pourquoi ont appelle ça TR ?

" Tour Raté "

loooool !!! :D

Que dire ? Si ce n’est répéter ce qui est écrit dans le livre et ce qui a été dit maintes fois ici : le choix du spectateur et la façon de le conditionner sont fondamentaux dans cette expérience.

C’est bizarre, personnellement, je n’ai jamais eu d’avion dessiné en 17 ans de pratique… peut être parce que je ne considère pas qu’un avion soit ce que peut appeler un "objet simple et usuel" (ceux qui ont lu le livre me comprendront).

Pour la petite histoire, sachez aussi que TR a failli être publié sous forme de dvd (un projet avec un producteur qui, finalement, n’a pas aboutit). Nous avions l’idée de filmer l’expérience en conditions réelles dix fois avec dix spectateurs différents et de mettre les dix vidéos dans le dvd. L’avantage aurait été de voir de visu tout le pré conditionnement et la gestuelle (gestuelle qui occupe aussi une grande place dans l’expérience). La manière de gérer différents types de spectateurs et de cas aussi.

En même temps je n’ai pas de regret car le livre a, tout de même, des avantages que n’a pas la vidéo… le sujet a souvent été abordé sur ce forum.

Enfin une dernière chose (qui n’a pas directement à voir avec ce qui vient d’être dit mais qui me parait, néanmoins, important) : Il me semble que les magiciens et mentalistes dans leur ensemble ont trop investi la présentation de leurs effets et pas assez la nature de leur méthodes. Je sais que je suis complètement à contre-courant en disant ça… Je m’explique à nouveau : j’ai la faiblesse de penser que lorsque un spectateur voit un effet magique il a souvent une idée (logique ou intuitive) de la nature de la méthode utilisée… ce qu’il ne comprend pas c’est "juste" comment ça se passe…(ça aussi je l’explique dans le livre)… La nature des méthodes que nous utilisons sous tend une certaine approche des choses, une certaine philosophie…

Concernant les duplications et divinations de dessin et, si on fait exception de TR, il n’y a finalement qu’une seule nature de méthode existant dans l’arsenal magique : celle qui consiste à voir le dessin à l’insu des spectateurs (que ce soit par un peek, un carbone, un portefeuille ou une enveloppe spéciale, un appareillage électronique….). TR est (peut être) le seul et unique effet de ce style qui utilise une méthode de toute autre nature que celle de prendre connaissance secrètement du dessin…

Bref… je ne suis pas sûr de me faire bien comprendre… Il est possible que certains d’entre vous se disent « Ok, mais où est ce que tout cela nous mène ? ».

Méditons, méditons.

Le but de la magie est de transformer le magicien.

Ca paraît un peu "fumiste" de dire ca, mais j'ai commencé à améliorer ma présentation de TR lorsque j'ai compris que "l'échec" faisait partie de l'expérience.

OUI !

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8336
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Jalal ROGUI
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84.5k
    • Total des messages
      681.2k

×
×
  • Créer...