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Bonjour,

Pour compléter ce qu'a trés bien dit Arthur et repris par Francis, et ne pas tout mélanger dans les termes qui sont importants :

Définitions du dictionnaire Larousse en ligne.

Censure (y'en a plusieurs, je vous cite les plus appropriées) :

- Examen préalable fait par l'autorité compétente sur les publications, émissions et spectacles destinés au public et qui aboutit à autoriser ou interdire leur diffusion totale ou partielle. (En France, les films doivent comporter un visa de censure, le visa d'exploitation, délivré par le ministre de la Culture après avis d'une commission).

- Action de censurer, d'interdire tout ou partie d'une communication quelconque.

Censurer : Interdire tout ou partie d'une communication destinée au public.

Analyse :

La définition de la censure n'est en aucun cas applicable en l'état. La FFAP a examiné un article mais n'en a pas interdit la diffusion qu'elle soit partielle ou totale. Magicus est toujours édité, et même s'il ne sera plus sur les stands lors du congrès, il peut toujours être lu dans les clubs de magie qui l'ont acquis, dans les points de vente disponible sur le site de l'association, etc etc...

L'action de censurer n'a pas lieu d'être non plus. Il n'a pas été interdit à Magicus de communiquer, puisque Magicus le fait trés bien (à travers son site, et les vente du magasine faites à droite, à gauche).

Donc je crois qu'il ne faut pas tout confondre. Censure c'est un joli mot, ça fait rebelle-contre-la-société-qui-nous-manipule quand on l'utilise, encore faut-il l'utiliser à bon escient (je suis plus d'accord d'utiliser ce mot pour qualifier les mesures de la RATP vis-à-vis de Jacques Maillot que pour les mesures prises par la FFAP relativement à Didier PUECH).

Bien à vous

Mathieu

Nouveau texte : "Je suis un bout de papier"

http://matt-et-le-blog.over-blog.com

http://www.abfjm.blogspot.de/

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Membres les + Actifs

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Tout d'abord, il faut savoir que l'AFAP n'existe plus et que maintenant c'est la FFAP. Je ne vois rien de triste dans ce retrait de stand offert gratuitement par la FFAP à Magicus journal...., au contraire, d'ailleurs pourquoi Magicus bénéficiait-il d'un stand gratuit??? Cessez de tirer sur la FFAP, sans elle ce congrès n'aurait pas lieu...Si vous êtes anti FFAP, ne venez pas...ou alors fermez là....et soyez heureux d'en profiter.Ce congrès rassemble 1400 magiciens....qui est capable de faire cela ??? Moi,personnellement je serai très heureux d'y retrouver des amis qui ont la même passion que moi et l'absence de Magicus Journal ne me dérangera aucunement, ce genre de journal (qui avait trouvé un créneau satyrique et critique sympa) est hélas arrivé à un niveau de bas étage (dommage !!! car il y avait souvent des articles intéressants)...et il y a bien longtemps que je ne suis plus abonné... A Didier Puech de retrouver ses marques...et ses lecteurs...et sa crédibilité...ainsi nous pourrons le revoir avec plaisir au prochain Congrès 2011

http://www.francistabary.fr/

Créer est divin, copier est humain .

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Comme Alain au bout de 5 pages je ne sais toujours pas quel est ce fameux article qui pose problème...

Suite à une discussion avec monsieur Puech, voici quelques éléments pour, d'après lui, rétablir quelques faussetés écrites précédemment:

"je vois que le forum sur notre INTERDICTION DE STAND permet à chacun de s'exprimer.

avec quelques bêtises que l'on ne peut pas empêcher.

Pour votre information voici quelques éléments que vous pouvez citer sous ma signature :

bien à vous

didier puech

TIVOLI : Il est faux d'écrire que Magicus a toujours eu un stand gratuit dans les congrès FFAP. Nous avons toujours payé notre stand (factures faisant foi) ou procédé à un échange de service (pub dans magicus magazine contre stand) et quelques rares fois, comme à Disneyland un stand nous a été proposé gratuitement sans contrepartie.

MIKELKL : Il serait fastidieux de relever toutes les inexactitudes de son texte mais ne pouvons laisser passer que nous n'ayons pas de numéro de Commission Paritaire des Publications et Agence de Presse (qu'il nomme par erreur "Commission Paritaire de presse") puisque nous en bénéficions sous le n° 0110G86969. Il également faux d'écrire qu'il soit nécessaire d'avoir la CPPAP : ni Arcane ni L'Illusionniste ne l'ont et font pourtant d'excellentes revues tout à fait légales. Ni ces revues ni la notre n'ont besoin de carte de presse pour écrire.

Autre erreur : je ne suis pas rédacteur en chef mais directeur de la publication et de la rédaction (ce statut est déclaré auprès du Procureur du Tribunal de la ville d'impression du magazine).

Une telle copie de journaliste professionnel qui se cache sous un ridicule pseudonyme (emprunté à Canal +), aussi mal écrite, serait partie directement à la poubelle de notre rédaction. Nous aimerions savoir, par curiosité intellectuelle, quel journal ou magazine accepte ses papiers ?"

Publié le

Je viens d'allumer un cierge dans une église pour l'âme des pauvres pêcheurs de Magicus. Puissent le Seigneur, Mahommet, Krisna, Khanar et Bouddha leur redonner la lumière du repentir qui les dirigera vers le sanctuaire sacré de la FFAP pour obtenir le pardon.

Amen.

cierge_sur_piques.jpg

Publié le
arles-sur-tech-procession.jpg

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

Publié le

Hmm... Evidemment il serait intéressant de connaitre le contenu de l'article incriminé, même si ce n'est finalement que pour satisfaire notre curiosité.

En effet, je pense que le problème n'est pas là; à mon sens, il est un peu rapide de parler de censure, personne ne demandant l'arrêt de la publication de Magicus, ni une quelconque modification de sa ligne éditoriale.

Rejoignant ainsi tout à fait le point de vue de Thomas, qui m'avait d'ailleurs convaincu par les mêmes arguments lors d'un épisode similaire survenu au sein même de notre forum préféré, je ne reprendrai donc pas les arguments développés plus haut.

Cela étant dit, si je critiquais régulièrement une personne, une institution ou une association (allant apparemment même parfois jusqu'à commettre de regrettables erreurs), je ne pense pas que j'accepterais (et encore moins ne demanderais) d'invitation à une fête organisée par cette personne, cette institution ou cette association, préférant ainsi préserver mon intégrité et mon indépendance vis à vis de l'objet de mes critiques.

En d'autres termes, puisque l'on évoque le "Canard Enchaîné", je verrais assez mal les journalistes de cet hebdomadaire accepter une invitation à une garden party organisée par l'Elysée, par exemple.

My2Cents

:cool:

Woody

Publié le

Exactement.

Quand on crache dans la soupe, on ne mange pas la soupe...

C'est aussi bête que ça.

Ce n'est même pas une faute de la FFAP de refuser Magicus. Je trouve que ce serait une faute des "méga rebels du bac à sable de la magie" d'accepter de venir au congrè de la FFAP...

Comme ça c'est réglé on en parle plus.

www.philippeday.com

Antoine de Saint-Exupéry : "Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité, et surtout pense à refaire le plein de l'avion"

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    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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