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Publié le
je veut pas être méchant Monsieur M mais il y a des fois où la fonction recherche ne nous donne pas le résultat attendu.

dans le cas des chapelets, je t'assure que la fonction "recherche" donne pleins de résultats intéressants.

Enfin moi, j'dis ça, j'dis rien... :)

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Hello :)

Oui, en recherchant on trouve un tas de truc sur les chapelets.

En l'occurence je cherchais une référence précise, qu'on m'a donné (Plus Secrets Secret de Daniel Rhod).

Maintenant, merci à tout le monde pour sa participation.

P.S. : le Bart Harding permet beaucoup de choses comme beaucoup d'autres chapelets :)

Errare Humanum Est, Perseverare Diabolicum...

Publié le
je veut pas être méchant Monsieur M mais il y a des fois où la fonction recherche ne nous donne pas le résultat attendu.

dans le cas des chapelets, je t'assure que la fonction "recherche" donne pleins de résultats intéressants.

Enfin moi, j'dis ça, j'dis rien... :)

Je n'est pas besoin de chercher puisque j'utilise déjà les chapelet. (trouver sur mon "cour magica"

La vie est une maladie sexuellement transmissible

  • 11 années plus tard...
Publié le
Le 18/06/2008 à 11:01, Frantz (CC Magique !) a dit :

Lorsque l'on maîtrise son chapelet, on n'a jamais aucun calcul à faire. C'est tout l'intérêt.

Seulement, le seul intérêt d'utiliser ce chapelet, c'est la possibilité de calculer le rang en fonction de la carte et inversement. Il est donc inutile d'apprendre l'ordre par cœur, ordre qui d'ailleurs ne recèle à priori aucune propriété autre que son ordonnancement mathématique...
Difficile donc de "maitriser" le chapelet Bart Harding, car j'imagine que par ce mot tu entends "connaitre la correspondance carte / rang par coeur".
C'est à mon sens contradictoire d'apprendre un ordre conçu pour ne pas être obligé de l'apprendre, non ?

Il vaut mieux dans ce cas se tourner vers des chapelets dont l'ordre recèle nombre d’intéressantes propriétés, comme le Redford Stack, Mnemonica, Aronson stack, Favori, Isis, Memorendum et j'en oublie...

  • J'aime 3
Publié le

En fait le bart harding à ce que j'ai compris est un calcul pour placer une carte, de manière simple à partir de la position initiale et de base de la carte dans un paquet. L'as en premier....

Mais en soit on peut le voir comme un chapelet, un chapelet évident, qui est de la nature même des cartes et que tout le monde  connaît de base.

On  connaît par coeur ou "intuitivement" la position d'une carte dans un jeu neuf et il est facile de calculer selon le système ultra simple de bart harding sa place dans le nouvel agencement.

 

 

Publié le
Il y a 9 heures, Philippe MOLINA a dit :

Seulement, le seul intérêt d'utiliser ce chapelet, c'est la possibilité de calculer le rang en fonction de la carte et inversement. Il est donc inutile d'apprendre l'ordre par cœur, ordre qui d'ailleurs ne recèle à priori aucune propriété autre que son ordonnancement mathématique...
Difficile donc de "maitriser" le chapelet Bart Harding, car j'imagine que par ce mot tu entends "connaitre la correspondance carte / rang par coeur".
C'est à mon sens contradictoire d'apprendre un ordre conçu pour ne pas être obligé de l'apprendre, non ?

Il vaut mieux dans ce cas se tourner vers des chapelets dont l'ordre recèle nombre d’intéressantes propriétés, comme le Redford Stack, Mnemonica, Aronson stack, Favori, Isis, Memorendum et j'en oublie...

Je suis entièrement d'accord avec Philippe : la vocation initiale du BHS était la simplicité d'utilisation : la mécanique se basant finalement sur "l'apprentissage" de l'ordre d'un jeu neuf (soit 4 groupes de 13 cartes de l'as au roi et par couleur) et non du jeu stacké en lui même : en pratique son utilité dans sa fonction primaire est la réalisation d'ACAAN

Si l'on parle du jeu stacké, bien naturellement chacun peut l'apprendre comme n'importe quel autre chapelet mais il n'a pas (à ma connaissance) beaucoup de "matière" autour en terme d'applications....en comparaison avec un Mnémonica par exemple qui regorge de techniques, tours.....et d'un nombre important de magiciens ayant développé des routines autour de ce chapelet.

En fait, si vous partez donc pour une utilisation simple qui vous donne peut de travail de mémoire dans un but de quasi effet unique : c'est une alternative ; par contre si vous partez dans l'optique de mémoriser tout un chapelet il n'est pas à mon sens un choix optimisé

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Manu

Publié le

L'intérêt du chapelet Bart Harding c'est de n'avoir pas besoin d'apprendre par cœur un quelconque arrangement des cartes, identités et positions correspondantes.

L'arrangement est génialement construit et indétectable (et pas en commençant par un As), même par des magiciens. On peut le construire soit en se basant sur l'ordre TCPK, soit PCTK. Un petit calcul mental (franchement, je ne le trouve pas du tout compliqué) permet soit de trouver rapidement le rang d'une carte quelconque d'après son identité, soit de trouver son identité d'après son rang. Evidemment, cela impose une petite dose de calcul mental, chose que je vois se perdre de plus en plus de nos jours et c'est un peu dommage.

On est bien d'accord, rien ne vaut un chapelet appris par cœur. Mais avec ce genre de chapelet, il faut le revoir et le pratiquer régulièrement, tout en restant sûr de ne jamais se tromper. Inversement, celui de Bart Harding permet une certitude absolue, même si on ne l'a pas pratiqué depuis plus d'un an.

En pratiquant Bart Harding, on parvient d'ailleurs à mémoriser automatiquement certains rang/identité, ce qui facilite son emploi. J'étais ainsi parvenu à connaître par cœur environ la moitié du chapelet. Mais, après un abandon de plusieurs mois, il ne me restait plus que 10% de cet apprentissage. Et les calculs représentaient pour moi une roue de secours.

Avec un chapelet, je n'utilise que les correspondances rang/identité. Le reste (particularités des chapelets) ne m'intéresse pas vraiment, bien que je les trouve judicieux. Et avec le chapelet Bart Harding on arrive déjà à des miracles, en plus de trouver rang ou identité (nombre de cartes coupées, identité d'une carte choisie et insérée n'importe où dans le paquet, identité d'une carte suite à une distribution par un spectateur...).

Bref, après des années de pratique, je n'utilise plus que le chapelet Bart Harding et j'en suis très satisfait.

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Citation
Quand on veut on peut.
Publié le
il y a 34 minutes, Jean-Jacques MEYER (Edler) a dit :

L'intérêt du chapelet Bart Harding c'est de n'avoir pas besoin d'apprendre par cœur un quelconque arrangement des cartes, identités et positions correspondantes.

L'arrangement est génialement construit et indétectable (et pas en commençant par un As), même par des magiciens. On peut le construire soit en se basant sur l'ordre TCPK, soit PCTK. Un petit calcul mental (franchement, je ne le trouve pas du tout compliqué) permet soit de trouver rapidement le rang d'une carte quelconque d'après son identité, soit de trouver son identité d'après son rang. Evidemment, cela impose une petite dose de calcul mental, chose que je vois se perdre de plus en plus de nos jours et c'est un peu dommage.

On est bien d'accord, rien ne vaut un chapelet appris par cœur. Mais avec ce genre de chapelet, il faut le revoir et le pratiquer régulièrement, tout en restant sûr de ne jamais se tromper. Inversement, celui de Bart Harding permet une certitude absolue, même si on ne l'a pas pratiqué depuis plus d'un an.

En pratiquant Bart Harding, on parvient d'ailleurs à mémoriser automatiquement certains rang/identité, ce qui facilite son emploi. J'étais ainsi parvenu à connaître par cœur environ la moitié du chapelet. Mais, après un abandon de plusieurs mois, il ne me restait plus que 10% de cet apprentissage. Et les calculs représentaient pour moi une roue de secours.

Avec un chapelet, je n'utilise que les correspondances rang/identité. Le reste (particularités des chapelets) ne m'intéresse pas vraiment, bien que je les trouve judicieux. Et avec le chapelet Bart Harding on arrive déjà à des miracles, en plus de trouver rang ou identité (nombre de cartes coupées, identité d'une carte choisie et insérée n'importe où dans le paquet, identité d'une carte suite à une distribution par un spectateur...).

Bref, après des années de pratique, je n'utilise plus que le chapelet Bart Harding et j'en suis très satisfait.

Où peut-on trouver ce chapelet Bart Harding?

Magicalement

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    • Hé bien, ça en fait des points soulevés… Commençons : La question des performances : Alors, tu touches un point sensible, car j'ai bien sûr, comme nous tous ici j’imagine, un faible pour les spectacles vivants. Encore faut il que le spectacle en vaille la peine : Une performance qui dure aussi longtemps me pose question. Le visiteur qui, dans le cas de la fille qui s’emmure les yeux bandés, va passer entre 5mn et une heure à la regarder poser ses briques, ne regarde pas la performance, mais l’idée de la performance, puisqu’il ne la voit pas dans toute sa durée. Certes, il va y avoir du monde pour la fin, quand j’imagine qu’elle éclatera son mur pour en sortir, à moins que l’artiste ne pousse la logique jusqu’à se laisser mourir emmurée… Mais j’ai toujours du mal avec cette idée de performance qu’on ne regarde pas en entier, ou qui en tout cas serait extrêmement pénible et soporifique à suivre en entier… J’ai d’une manière générale un à priori contre les trucs qui durent trop, ou trop répétitifs, mais je suis mauvaise langue, peut être que c’était passionnant à suivre pendant des heures, car l’artiste avait travaillé la pose de chaque brique pour en faire à chaque fois un moment unique ? J’ai un doute… Bon, au moins, elle bouge en faisant des trucs, c’est mieux que certaines « performances » ou l’artiste s’allonge sur un matelas et fait une sieste (si, si, ça existe, des gens sont payés pour ça…) Mais d’une manière générale (arf, je pense, en même temps que j’écris cela, qu’il est dure de généraliser quand on parle d’art… mais tout juger de façon uniquement individuel empêche aussi de se faire un avis… c’est compliqué, l’art contemporain…), donc, d’une manière générale, disais-je avant d’être grossièrement interrompu par moi-même, il semble plus facile d’apprécier une prestation que l’on suit du début à la fin qu’une prestation qu’on ne suis que partiellement. Après, ça dépend aussi du but : Est-ce la prestation en elle même que l’on doit apprécier, ou le « message/prise de conscience/révélation » suggéré par la prestation ? Et là, on retrouve l’aspect suivant de la vidéo : La différence en art contemporain entre la « production », qu’elle soit œuvre physique, performance ou les deux, et le message qu’est sensé faire passer cette production. Et on constate souvent, dans les artistes contemporains, une économie de moyen du côté production, censé être justifiée par l’importance du message, ou de l'émotion, ou de l’interpellation, ou du non message, avec ce genre de loustics, on ne peut pas vraiment savoir, certain justifiant l’indigence de leur production par justement une volonté de ne transmettre aucun message, bref, c’est compliqué l’art contemporain… C’est une autre des choses que je n’aime pas : Il faut lire, apprendre, mettre en perspective, établir des relations, se forger tout un cursus de connaissances pour, enfin, peut être, apprécier l’œuvre et l’artiste (là aussi, on ne démêle que rarement l’artiste de l’œuvre…) Du coup, l’œuvre elle-même, ben souvent, elle est nulle, ne prenant sa valeur que par un baratin externe. Ça me gêne. Prenons une référence qui parlera à tout le monde ici : un tour de magie. Je distingerais : - l’effet magique en lui-même, avec toute la mécanique qui amène à l’effet, -et la présentation, c’est-à-dire l’histoire que l’on raconte avec, le sens qu'on cherche à y mettre. Dans beaucoup de production d’art contemporain, ils misent tout sur la présentation : galeries spécialisées, aval d’autorité, réputation de l’artiste, motivation de l’œuvre et mise en relation avec les évolutions de l’artiste ou d’écoles artistiques, messages sensés être portés par l’œuvre etc. Et à côté de ça, l’œuvre n’a pas vraiment d’intérêt en elle-même (je sais que tu aimes les monochromes, la peinture dans mes toilettes est un monochrome, si tu passe vers rennes, je te ferais visiter, tu sera ravi…) Quel magicien présenterai un numéro en basant tout sur la présentation avec un effet tellement faible qu’il suscite juste l’incompréhension du public, s’il n’y a pas la présentation ? Ben non, on travaille les deux : on renforce l’effet, on ajoute des convincer, on établis un chemin magique, on désamorce les explications, on s’assure que la situation initiale est bien comprise et acceptée, on met des parenthèses de l’oubli ou il faut, on éloigne les technique de la révélation de ce qu’a fait la technique etc. Bref, on travaille l’effet. Et parallèlement, on établis une présentation justifiant notre personnage, notre présence, notre désir de présenter l’effet, etc. Si on fait tout ça, et plus encore, on a une petite chance de parvenir à une œuvre d’art magique. Les artistes contemporains, souvent (mais il faut pas généraliser ! c’est compliqué l’art contemporain… ), ne travaillent que le discours de présentation. Quant à l'effet, ils versent de la peinture n’importe comment dierctement du seau sur une toile, vident une poubelle au milieu d’une salle (sale ?), ou exposent un emballage de préservatif… Ce qui, à mon avis, constitue des « effets » extrêmement faibles et peu travaillés. Le coup de la fille qui s’emmure semble contenir du sens (c’est une femme, elle s’emmure, ce qui emmure est aveugle comme la médecine de l’époque, la différence entre l’emmureur et l’emmurée etc.) Elle a travaillé sa scène, ses gestes, j’imagine qu’il y a eut des répétitions laborieuses pour vérifier qu’elle pouvais aller au bout de son projet etc. Il y a donc moins d’économies de moyens que, par exemple, remplir de gélules une boîte à pharmacie (autre fumisterie/pratique artistique célèbre de l’art contemporain) ou accrocher au mur… un crochet (c’est le crochet l’œuvre, 2,50 les 4 dans toutes les bonnes quincailleries, mais le prix, une fois que c’est une œuvre, est légèrement différent.) Donc, il faut voir… mais je maintiens mes remarques sur les performances longues durée… Ensuite (ben oui, il y en a des choses dans cette vidéo…), le coût. Il dit que c’est financé par des fond privés, la plupart du temps. Ben c’est normal : cela fait partie des fameuses niches fiscales qui mettent à l’abris de l’impot une partie des dividendes, en échange soit d’œuvres renégociables avec plus values, soit de valeurs immatérielles (position sociale, respectabilité, entre-soi avec les milieux culturels… donc, en pouvoir… ) Mais une partie de l’art contemporain est effectivement financé avec les sous de l’état, indirectement puisque c'est de l'évasion fiscale, et directement puisqu’un passage presque obligé pour coter un artiste est qu’il doit avoir des commandes public ou de structures reconnues… J’ai visité un FRAC (fond régional d’art contemporain) il y a quelques années, c’était pas loin de chez moi. On nous a montré la structure et les installations : ça représente un sacré paquet d'argent, très belles installations… Et on nous a montré une sélection « d’œuvres » que cette structure contenait : pathétique. En ce sens, l’état se met au service du « marché de l’art », qui porte bien son nom, en donnant justement une « valeur » à des artistes contemporains. J’ai un ami qui a coutume de dire : Art contemporain, art comptant pour rien. Ben si, ça compte, avec notre argent. Pour ceux ne l’ayant pas encore vu, un petit spectacle de patrick lepage, à savourer… https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://www.youtube.com/watch%3Fv%3Dn3gOLGzMChU&ved=2ahUKEwjCwv6Au-yQAxW3TqQEHbZKFuIQwqsBegQIEhAB&usg=AOvVaw0bwHANk1T1z1fo8ylcsYk5 Bon, on rigole, on rigole, mais j’ai des spectacles à préparer, moi : bon mois de décembre à tous ! Gilbus
    • Arthur Hadade nous propose quelques éléments de réponse sur son compte Instagram cur8 :
    • @Père Alex (dont la Conférence sur Mucks (changes sur table) est disponible ici) sera aussi des nôtres. Voici une petite présentation de l'ami Lionel :  🚨 Dernières places ici https://www.virtualmagie.com/boutique/videos-magie/conference-misdirection-2-de-lionel-gallardo-samedi-22-novembre
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