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Melvin (Jean-Claude)

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Tout ce qui a été publié par Melvin (Jean-Claude)

  1. Kristo : "Rassure-nous Melvin, tu ne manges pas exclusivement de la viande ? Tu manges aussi des légumes de temps en temps ? Même les carnivores mangent des légumes. Ils sont d'ailleurs indispensables pour la santé. Et le fait d'en manger ne crée pas de souffrance. Il n'y a donc aucune légitimité à chercher des arguments pour dégoûter les gens des légumes." Je singeais la pub idiote des végans.
  2. Les arbres et le refroidissement climatique : CLOUD montre en effet qu’en l’absence d’acide sulfurique, les vapeurs organiques émanant des arbres créent de nombreuses particules d'aérosol dans l’atmosphère.... CLOUD observe que les vapeurs organiques, appelées vapeurs biogènes, jouent aussi un rôle clé pour permettre à ces particules nouvellement formées d’atteindre une taille suffisante pour créer des nuages. CLOUD a également découvert que les ions issus des rayons cosmiques galactiques augmentent fortement le taux de production de particules biogènes pures. https://home.cern/fr/about/updates/2016/05/cloud-shows-pre-industrial-skies-cloudier-we-thought
  3. Ben ouais, on ne mangerait pas des ronces, alors pourquoi manger végétarien ?
  4. La vérité avance à grand pas avec l'article de Svensmark, Shaviv et Enghoff qui vient de paraître : https://www.nature.com/articles/s41467-017-02082-2.pdf Un résumé ici : https://phys.org/news/2017-12-link-stars-clouds-climate-earth.html Je vous rappelle que pour le Giec, le thermostat de la Terre c'est uniquement le taux de CO2. Or depuis longtemps on sait que d'autres paramètres existent mais que certains sont minimisés dans les modèles du Giec. Un des paramètres qui joue un grand rôle est le rayonnement solaire qui corrèle bien mieux la T° que le taux de CO2. Une des théories est de dire que ce rayonnement joue un rôle sur la formation des nuages, en gros : • Quand le soleil est en "sommeil magnétique", il y a plus de rayons cosmiques et plus de nuages bas, et le globe est plus froid. • Lorsque le soleil est actif, moins de rayons cosmiques atteignent la Terre et, avec moins de nuages bas, la planète se réchauffe. Maintenant avec cet article la théorie prend forme à l'aide de preuves obtenues en laboratoire. De la vraie science quoi ! Une traduction en Français suivra bientôt. Affaire à suivre.
  5. GP21, tes deux références concernent le principe mis en jeu dans la routine de Vallarino et donc d'antécédents ?
  6. Il y a déjà eu un sujet sur ce tour. Comme je l'ai déjà dit, moi je trouve ça révolutionnaire et génial ! A faire après une version classique puis celle de Weber. Dans la présentation par contre je préfère quand le magicien tient le jeu de cartes face en bas et retourne les cartes face en l'air au fur et à mesure (comme dans le tour original de Vallarino) plutôt que la présentation avec le jeu tenu face en l'air (comme Wilson le fait).
  7. Il faut télécharger le chapitre 9. Oui l'activité solaire diminue énormément et va continuer à diminuer. C'est d'ailleurs relevé dans le rapport du Giec pour expliquer le "hiatus" récent. L'activité solaire semble jouer un rôle dans la formation des nuages et donc sur la couverture nuageuse qui refroidit la planète. cette théorie se précise de plus en plus d'un point de vue mathématique. Je cite Benoit Rittaud à ce sujet : "Henrik Svensmark et Nir Shaviv. Vous les avez ratés ? Vous avez tout raté. Jusque là je regardais la théorie de Svensmark comme quelque peu inaboutie, comme au fond rien de plus qu’une piste parmi d’autres pour une explication future des évolutions climatiques alternative au tout-CO2. La théorie me semblait intéressante mais plus ou moins en sommeil, attendant des jours meilleurs, un peu comme la dérive des continents de Wegener a dû patienter quelques décennies avant de s’imposer avec la tectonique des plaques. C’est peu dire que j’ai changé d’avis ce matin. En entendant les deux principaux « solaristes » mondiaux exposer l’état actuel de leurs travaux, les mots de Jacques Duran sur pensee-unique ont résonné à mes oreilles : Je ne serais d’ailleurs pas étonné que le Professeur Svensmark, avec ses collègues et le Dr Shaviv de Jérusalem, reçoivent un jour le prix Nobel" Certes, Svensmark a dû en rabattre en 2011, quand les modélisateurs du climat ont cru avoir montré que le processus de nucléation par ionisation qu’il proposait pour expliquer la formation des nuages à partir des rayonnements cosmiques ne fonctionnait pas. (Vous ne saisissez pas de quoi je parle ? Alors foncez voir sur pensee-unique, tenez je vous remets le lien http://www.pensee-unique.fr/theses.html#opposant, où vous trouverez d’ailleurs plusieurs des courbes que Svensmark nous a montrées.) Svensmark, qui ne dédaigne pas l’autodérision, a même mis dans son diaporama une photo de pierre tombale agrémentée du texte : « Théorie des rayonnements cosmiques : 1995-2011 ». Parce qu’en 2011, les choses allaient plutôt mal. Non pas que tout s’était effondré : les corrélations très nettes qui apparaissent entre la courbe de l’activité solaire et de nombreux indicateurs du climat passé de par le monde n’avaient pas brutalement disparu. Le problème était de proposer un mécanisme physique crédible articulant les deux, et c’est là que Svensmark avait essuyé un revers : pour fabriquer un nuage, il est nécessaire que la vapeur d’eau puisse se coller à des particules suffisamment grosses, et il lui a fallu du temps pour comprendre comment former celles-ci à partir des rayonnements cosmiques. Aujourd’hui, il semble que ce soit chose faite. La théorie de Svensmark est si fine qu’elle est testable à l’échelle de quelques heures, à l’aide des variations ponctuelles de l’activité solaire. Avant de donner le prix Nobel à Svensmark, pour citer à nouveau Jacques Duran, « sans doute faudra-t-il attendre que tout le battage médiatique sur l’effet de serre soit retombé et que les innombrables polémiques soulevées par cette découverte se soient calmées. » Il n’empêche que les avancées présentées ce matin pavent le chemin pour une gloire scientifique qui, à terme, pourrait être de première grandeur, rehaussée encore par l’immense opposition à laquelle Svensmark et ses collègues auront dû faire face. J’ai posé la question du lien entre ces travaux et la fameuse expérience CLOUD, et ai été surpris de constater que Svensmark ne semblait pas considérer cette expérience du CERN comme complémentaire à ses propres travaux. Pour lui, le rôle de l’ammoniac, c’est un truc de physiciens de l’atmosphère qui ne le concerne que de loin. Et les climatologues carbocentristes, que pensent-ils de tout ça ? À cette question Shaviv a répondu, un sourire en coin : « Ils ne parlent pas de ce que nous faisons, je ne sais pas pourquoi. Heu… en fait, je crois que je sais pourquoi ! Mais bon, ils n’en parlent pas… » Un tel silence étonne, surtout qu’il contraste fortement avec les attaques dont ils avaient fait l’objet en 2011. Le dernier rapport du GIEC, postérieur aux nouvelles découvertes des « solaristes », est muet sur ces avancées, pourtant publiées comme il se doit dans des revues à comité de lecture. Je suis assez tenté de croire que ce silence est le signe que les résultats sont hautement dérangeants et qu’aucune parade sérieuse n’a encore été trouvée pour y faire face. Si la science climatique se déroulait de façon normale (au sens courant, non kuhnien), les résultats de Svensmark et des solaristes susciteraient probablement l’enthousiasme de toute une partie de la communauté scientifique mondiale. La théorie est d’une élégance qui la rapproche des plus grandes théories scientifiques : des mécanismes clairs imaginés à partir de données réelles, testés par des expériences de laboratoire et fondés sur une physique cohérente, le tout permettant de reconstituer avec une grande économie de moyens tout un pan du climat passé à l’échelle globale. L’ampleur des échelles temporelles est elle aussi extraordinaire : de quelques heures à plusieurs dizaines de millions d’années".
  8. Mon chiffre de 0.04°C / par décade depuis 1998 : page 769 du rapport du Giec. C'est le chapitre où le giec s'interroge sur ce hiatus de presque 20 ans (l'an prochain). Pour le giec la chaleur a continué a augmenter sur Terre mais pas la T° de l'atmosphère et dans ce chapitre, le giec fait des hypothèses pour savoir où à bien pu passer cette chaleur que l'on ne retrouve pas dans l'atmosphère. Une supposée chaleur disparue depuis bientôt 20 ans, ça commence à faire une sacrée énigme, toujours pas résolue par le giec... Tu peux construire toi même la courbe des T° (avec les données du hadcrut) et comparer aux données concernant les tâches solaires (très différente de ta courbe que tu as publié). Cela a été fait et montre une très belle corrélation bien meilleure que celle faisant intervenir le taux de CO2.
  9. Notre Ministre NHulot qui aimerait qu'on roule en vélo (tient ça rime !)... : http://www.20minutes.fr/politique/2189243-20171217-patrimoine-apres-polemique-six-voitures-nicolas-hulot-justifie Entre la Corse, la Bretagne et Paris, NHulot c'est le gars qui avec Macron veut contrôler la machinerie climatique de la Terre, rien que ça !
  10. Kristo : Moi je te parle de ce qui écrit dans le rapport AR 5 du Giec (0.04°C / par décade depuis 1998) pas des errances apocalyptiques des médias. Ta courbe des T° s'arrête en 2000, tu as bientôt 18 ans de retard ! Quand aux prévisions, il suffit de regarder les estimations de la sensibilité climatique qui tend de plus en plus vers 0 :
  11. Qu'est-ce que le réchauffement climatique pour le GIEC ( données tirées du rapport AR5) : C'est une augmentation des T° du globe de 0,04 ºC par décennie depuis 1998 ! Que prévoient les modèles du Giec ? : 0,11 ºC par décennie. Phrase tirée du rapport : "L'apparition du hiatus dans la tendance GMST au cours des 15 dernières années (depuis 1998) soulève les deux questions sur ce qui l'a causé et si les modèles climatiques sont capables de le reproduire".
  12. Lu ici : https://www.contrepoints.org/2017/12/11/305186-cop23-echec-conjoncturel-structurel Version un peu écourtée : "De l’avis général, la COP23 est un échec. Est-ce réellement le cas ? Pour s’en assurer, je vous propose d’analyser la résolution adoptée au terme de cette réunion « Conférence des parties » (COP) de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques qui vient de se tenir à Bonn, en Allemagne. Le communiqué final de la COP23 débute par cette phrase : Les pays se sont mis d’accord aujourd’hui pour mettre en œuvre les prochaines étapes en vue d’une plus grande ambition en matière d’action climatique avant 2020. Une phrase qui ne veut, bien entendu, strictement rien dire, puisqu’il s’agissait par hypothèse de faire le bilan (passé) de la réunion qui venait de se tenir et non d’annoncer de futures réunions. Le ton est donné. Est ensuite annoncée l’adoption d’un « Plan d’action pour l’égalité des sexes », dont la mention dans la résolution finale d’une réunion sur le climat n’étonnera que ceux qui ne sont pas familiers de la glorieuse littérature onusienne. La COP23 se réjouit de l’adoption d’ « un rapport scientifique spécial, réalisé pour la Conférence par Future Earth et Earth League" , deux ONG environnementalistes qui n’ont bien sûr rien de scientifique. La COP23 à Bonn, poursuit le communiqué, s’est déroulée dans un contexte de catastrophes naturelles sans précédent qui ont détruit logements, familles et économies d’Asie, des Caraïbes et des Amériques. Ce qui est doublement erroné : d’une part, la science n’indique en aucune façon une aggravation des occurrences ou intensité des catastrophes naturelles (mensonge n°1), d’autre part le lien entre catastrophes naturelles et réchauffement climatique n’a jamais été établi (mensonge n°2). Est ensuite annoncée la « création d’une nouvelle association visant à renforcer la couverture médiatique et les reportages sur le climat dans le Pacifique », ce qui ne manquera pas de réjouir ceux qui estiment que nos médias ne parlent pas encore assez du climat. « L’Alliance pour la sortie du charbon » est également célébrée et signée entre autres par la Belgique qui n’a, simple détail, aucune centrale au charbon en activité. N’oublions pas de relever, pour conclure, l’initiative « America’s Pledge », qui rassemble des dirigeants des secteurs privé et public pour garantir que les États-Unis demeurent un chef de file mondial en matière de réduction des émissions, et qu’ils respectent les objectifs climatiques du pays dans le cadre de l’Accord de Paris. Dit autrement, un organisme onusien met en place un mécanisme pour contrevenir à la politique officielle de la présidence et de la majorité parlementaire des États-Unis d’Amérique. Good luck, et tellement révélateur d’une certaine arrogance onusienne sans le moindre égard pour la volonté démocratique des peuples. On assiste, selon moi, à la fin d’un processus. Quand le 1er juin 2017, le président des États-Unis annonce sur la pelouse de la Maison-Blanche que son pays se retire de l’Accord de Paris, la fête est finie. En effet, quelle est la substantifique moelle de l’Accord de Paris ? La décarbonisation de l’Occident, financée par l’Occident et la décarbonisation du reste du monde, également financée par l’Occident. En réalité, seule la première de ces deux décarbonisations commence maintenant puisque le reste du monde se voit reconnaître de facto — notamment la Chine — le droit de continuer à augmenter ses émissions de CO2 au moins jusqu’en 2030 (sic). Cette résurgence tardive du tiers-mondisme se concrétise par le Fonds vert, alimenté chaque année à concurrence de 100 milliards de dollars — chaque année ! — au profit, concrètement, de chefs d’État asiatiques, africains, etc. Comment ces États pourraient-il ne pas défaillir de plaisir en contemplant la perspective de cette manne ? Comment la haute finance pourrait-elle ne pas s’en réjouir, elle qui serait immanquablement appelée à gérer ces sommes astronomiques directement prélevées dans la poche des contribuables occidentaux au profit de chefs d’État étrangers ? Tel est, Mesdames et Messieurs, la formule magique de l’Accord de Paris. Était. Car maintenant que les Américains se sont retirés, il revient aux seuls Européens d’alimenter les Fonds vert. Or, les États européens, qui sont à la fois surendettés et qui pratiquent des prélèvements fiscaux déjà confiscatoires et les plus élevés au monde, sont financièrement incapables de se substituer aux Américains. Dès lors, l’Accord de Paris devient déjà nettement moins séduisant pour le « reste du monde » (ceux qui vont recevoir l’argent des contribuables occidentaux tout en continuant d’augmenter leurs émissions de CO2). Il le deviendra moins encore quand il s’avérera que les Européens ne sont pas même aptes à honorer leurs propres engagements — ce qui immanquablement arrivera, car les caisses sont vides. Et puis, il y a la réalité économique. Déjà aujourd’hui, l’électricité allemande est trois fois plus onéreuse que l’américaine. Il n’y a pas une seule entreprise allemande — à l’exception de quelques grandes — pas une seule PME, pas un seul entrepreneur et, surtout, pas un seul ménage, qui ne s’en trouve cruellement pénalisé. À politiques inchangées, cette divergence transatlantique ira s’accentuant, jusqu’à atteindre des niveaux intenables même pour l’économie allemande, a fortiori pour des nains économiques tels que la Belgique. Par ces deux motifs, parfaitement rationnels et purement analytiques, nous sommes en mesure de diagnostiquer, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, le caractère structurel et non plus seulement conjoncturel de l’échec de la COP23. Je vous remercie pour votre attention." Drieu Godefridi.
  13. Evolution de la T° du globe : origine humaine (CO2 et effet de serre) ou origine naturelle (solaire) ? Quelle est la meilleure corrélation ? A vous de choisir...
  14. D'autant plus que l'Ours polaire existe depuis 300 000 ans et a traversé des réchauffements climatiques bien plus grands que l'actuel.
  15. D'autant plus que l'Ours polaire existe depuis 300 000 ans et a traversé des réchauffements climatiques bien plus grands que l'actuel.
  16. Et comme l'a dit Isabelle Autissier hier sur LCI : "Certes le nombre d’ours blancs a triplé mais le problème c’est qu’il va maintenant y en avoir plus à mourir de faim » !!!
  17. Surtout que le nombre d'ours polaire a augmenté depuis que la chasse est interdite. http://belgotopia.blogs.lalibre.be/
  18. Tiens, Kristo, j'ai vu Patrick Moore à la récente conférence des climato-sceptiques.
  19. Tu sais je n'en suis plus là à écouter des mots sur des histoires de complots et autres sornettes du même genre. Si je m'exprime sur le sujet c'est que ça fait plus de 5 ans que je m'y intéresse et que je suis son évolution.
  20. Effectivement la notion de T° globale n'est pas "très physique" pour une planète. Pour chaque découverte, il y a eu des indices prégnants (si tu veux qu'on ne parle pas de preuves), là non !. Le point de départ de cette histoire c'est le parallélisme entre l'évolution de la T° et l'évolution de la concentration de CO2 sur une courte période. Comme je l'ai déjà répété, la T° du globe est quasi plate depuis l'an 2000 alors que l'Homme a rejeté 40 % de tout le CO2 qu'il a rejeté dans l'atmosphère depuis qu'il le fait. Qu'on continue à faire des modèles climatiques en surestimant l'effet de serre du CO2 n'a aucun sens. D'autres théories explicatives sont entrain de s'écrire.
  21. Comment pourrait-il y avoir consensus sur de la science ? Une des particularités de la science c'est d'avancer lentement et de se remettre en question. Il suffit de lire l'histoire des sciences pour s'en convaincre. Et que dire de ce sujet du climat où, encore une fois, il n'existe pas de preuve scientifique de la cause humaine sur le réchauffement. Même Stéphane Foucart, le journaliste apôtre du Giec, le reconnait pour son explication de la subtile différence entre preuve médiatique et preuve journalistique en ce qui concerne le pb du réchauffement climatique : "C’est une question que l’on peut poser à deux niveaux, au niveau scientifique, et là à l’évidence c’est très très difficile de démontrer une causalité, et d’un point de vue disons médiatique, évidemment c’est lié. (…) Ceci veut dire simplement que pour vous et moi, la notion de preuve, elle ne recouvre pas du tout la même chose que pour un scientifique." C'est une pseudo-science de la prédiction, avec des modèles informatiques comme ce qui est utilisé en économie. Dans tous les autres domaine de la science on a au moins deux ou trois éléments preuves pour parler de qqchose, là non. Tout s'est emballé par l'idéologie à l'origine du Giec (Maurice Strong...). Franchement si tu trouves Vincent Courtillot être un mauvais conférencier, je ne peux rien pour toi. Il déroule toute une logique qui demande un effort d'écoute. Tu entendra parler de la courbe de Mann, pourtant démontrée fausse et sortie des derniers rapports du Giec, mais toujours utilisée dans le livre de Jean Jouzel qui vient de sortir.
  22. C'est le contenu qui compte. Tu trouveras toujours des sites avec une critique qui te diras "surtout ne lisez pas cela, tout est faux". Et effectivement si tu t'arrêtes à ce genre de propos qui ne démontrent rien, qui ne contiennent aucun contre arguments, tu te fais forcément avoir. Regarde la video que j'ai posté, tu auras des réponses sur les fraudes et les erreurs du Giec, après tu jugeras avec des éléments et tu pourras chercher les critiques si tu le souhaites.
  23. Tes conclusions sont très hâtives. Regarde encore une fois le contenu plutôt que les critiques en surface qui ne parlent pas du contenu.
  24. Un docteur est allé voir cet ours pour voir de quoi il soufre ? Et Johnny, c'est aussi le réchauffement climatique qui l'a tué ? Il était tout maigre lui aussi ces derniers temps !
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