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Dominique DUVIVIER

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Tout ce qui a été publié par Dominique DUVIVIER

  1. Je suis avec toi et reviens-nous vite !
  2. J’ai pris connaissance des diffamations et calomnies de ce post, à l’initiative de Christian Girard encouragé par Hervé Lemarchand et Claude Nops, qui décidément ne parviennent pas à contrôler leur aigreur. Par citations et allusions bien appuyées, la main sur la conscience et avec l’aplomb de « ceux qui savent » (et qui offrent d’en déballer davantage et tout prouver, mais sans témoins), ils prétendent informer et prévenir publiquement que je suis un frauduleux, un pervers, un pédophile [ !] , et que le « Double fond » est un repère de débauche et de corruption pour les mineurs, pas moins ... En attendant que le tribunal correctionnel sanctionne ces allégations indignes, et malgré la lâcheté et la honte qu’on me prête aussi à ne pas vouloir couramment répondre aux provocations, j’écris dores et déjà ceci : 1° - A Hervé Lemarchand je rappelle qu’il n’a jamais eu de ma part la moindre occasion d’un litige ou d’un contentieux personnel. Mais ainsi qu’il le définit, m’attaquer et me maltraiter a été son « combat », « ses combats » même, qu’il reconnaît avoir tous perdus. Ses mobiles ? – m’imposer son magistère moral en se mêlant de ma vie privée qui ne l’a jamais concerné et de la gestion de mes affaires qui ne l’ont jamais concerné non plus. Ses moyens ? – Ceux puisés au dépens du CFI, du temps qu’il en était le Président. Ainsi qu’il le confirme, il a alors abusé de ses pouvoirs, de la confiance de ses électeurs et des cotisations des membres, pour lancer contre moi une « fatwa » et, dans mon dos, m’exclure arbitrairement sur de méchants prétextes. Un peu comme un gourou qui, pour affliger un de ses adeptes, aurait privilégié les règles internes de sa secte contre la légalité républicaine .... A ma demande, la Cour d’appel lui a froidement donné tort et le CFI a, de son fait, frôlé la ruine en frais de justice. Ce qu’il ne dit pas c’est que, bon prince pour ma part, je n’ai pas mis en recouvrement les dépens et indemnités que la justice m’a attribués à charge de notre club dont je n’ai pas voulu aggraver les déboires. Ce pourquoi Hervé Lemarchand continue à se répandre contre moi, c’est ça, et rien d’autre ! 2° - A Christian Girard je rappelle qu’il n’a jamais eu non plus gain de cause dans les procès qu’il m’a témérairement intentés, au travers de « Mayette magie moderne », en voulant (c’est devenu sa marotte) me faire passer pour un éditeur et « marchand de tours » abusif au préjudice des auteurs. De quoi s’agissait-il exactement ? – Des invendus importants de son tour « les 9 concubines » en stock chez « Mayette » depuis quinze ans, sur lesquels nous étions convenus d’une distribution gracieuse aux congressistes de l’AFAP à Perpignan en 1999. Un an plus tard, inspiré et hardiment soutenu par Hervé Lemarchand, il s’est avisé de battre monnaie en contestant cette opération et en me reprochant les invendus, contre toute logique et au mépris des réalités. Prétendant à de fortes sommes devant le Tribunal il en a été pour ses frais en 2002. Mécontent de ses juges et de son avocat, il a tenté sa chance en appel, avec un autre avocat et pour plus fortes sommes encore, en pure perte à nouveau en 2005. Le tribunal puis la Cour ont notamment relevé que la société Mayette avait bien respecté les accords conclus et la législation bénéficiant aux auteurs, tandis qu’elle avait commercialisé « les 9 concubines » avec un score très honorable, supérieur même à la moyenne de l’avis de son concurrent le plus acharnée à l’époque. Ce pourquoi Christian Girard continue à se répandre contre moi, c’est ça, et rien d’autre ! 3° - A tous ceux qui auront lu les divagations de ce post ( et de ses précédents similaires), je précise en outre pour leur information que : a/ La vieille coupure de presse aujourd’hui encore exhumée contre moi pour preuve (de quoi ?!) a été en son temps déclarée diffamatoire par la Cour de Paris. Sans enquête sérieuse et sans contradiction, elle était une complaisance au service unilatéral des menées purement privées de personnes qui ont sèchement perdu leur procès contre moi et se sont trouvées exposées à condamnation pour dénonciation calomnieuse. D’ailleurs, aucun autre journal ou média ne s’est aventuré à reprendre en écho quoi que ce soit de cet article. b/ La Cour de cassation, dont l’arrêt est aussi exhumé faute de mieux ou de plus récent en ma défaveur, ne revient sur aucune des questions jugées, d’ordre d’ailleurs banalement réglementaires ; ce n’est pas son rôle et elle n’a pas le pouvoir de donner son avis sur les faits qui, réels ou supposés, lui sont rapportés. Elle ne peut que traiter la régularité du formalisme suivi par la Cour d’appel, et s’en tient, en l’occurrence, à rejeter le pourvoi dont elle a été saisi, rappelant que les juges du fond se sont prononcés, que ce soit à tort ou a raison, souverainement. c/ Comme le mien, le casier judiciaire de mes accusateurs est – je le suppose - vierge. Si tel est bien le cas, je me déshonorerais à invoquer publiquement contre eux, à seule fin de les rendre antipathiques et suspects du pire, de vieilles histoires qui ne m’auraient pas concerné, dont je n’aurais pu connaître les tenants et aboutissants, et dont, absolument et définitivement, la loi interdit à quiconque de faire état sous quelque prétexte que ce soit. Sur ce je retourne à mon travail, ma passion, avec respect et gratitude pour ma famille, mes collaborateurs et mon public qui lui confèrent quelque succès.
  3. [img:left]http://www.mayette.com/Images/produits/71D7CC4F-99FC-46B1-A317-956E9EB629B6.JPG[/img]
  4. Depuis 21 ans il y a dès l'entrée au Double Fond la chose dont nous parlons...
  5. ... Et le spectateur médusé n'est autre que Brother Hamman, pas mal comme auditoire ! En réalité cette petite joute magique se passe chez Philippe Fialho, et les deux compères à l'image se font pendant une petite heure des tours l'un à l'autre. Chacun ne comprenant pas comment fait l'autre. Du grand art. Beaucoup d'humilité également de chacun de ces deux monstres sacrés. Une grande leçon. A méditer !
  6. 100% d'accord avec Sylvain et Christopher. Un génie et un homme incroyable vient de disparaître encore. J'ai le coeur trop lourd pour en dire plus...Gaétan dis-leur comme notre Ali était !
  7. Bonne année, bonne santé, bonnes recherches magiques... Amitié. Dominique
  8. Pour répondre à ta question, tu pourras voir cette routine en octobre 2010 dans le cadre des soirées "Show Bouillant", avec le spectacle nommé : "Comme je triche...Le Hasard C'est Moi !!!". J'ai intégré en effet cette routine dans ce nouveau spectacle... Tu as bien lu 2010 car en 2009 ce sera un autre nouveau spectacle, toujours dans le cadre des "Show Bouillant" qui s'intitulera : "Le grenier est dans mon coffre !"
  9. Dur dur cette nouvelle. Solange, Gaétan, Georges, je suis de tout coeur avec vous. Nous venons de perdre un ami très cher. Ces dernières années on se voyait peu, Christian, mais on se téléphonait de temps en temps...Rien ne va bouger car je continuerai de parler avec toi mais dans ma tête pour changer ! Je suis resté fidèle à notre amitié depuis 1976, comme tu le sais bien, ça ne va pas être différent maintenant, tu peux compter sur moi jusqu'au bout ! Je t'embrasse.
  10. Cette routine m’a été inspirée, dictée de l’au-delà presque (lol), par Albert Goshman !!! Cette saga représentait pour moi une des manières possibles pour sa routine des salières. Une bonne partie de ma vie j’ai travaillé dans le sens des « salières », jusqu’au moment où j’ai écrit mon interprétation des salières comme dans Intimiste II puis dans IntimisteS plus récemment. Je souligne à cet effet que ma vue sur le spectacle de Goshman est une réelle création, ayant apporté des dizaines d’effets différents à l’original. Gaétan Bloom et beaucoup de confrères ne s’y sont d’ailleurs pas trompés. Seuls quelques taquins (toujours les mêmes) ont voulu voir autrement. J’en ris encore ! Revenons à la routine proprement dite : Une vie de recherche presque pour élaborer ce sketch de 30 mn, comme par hasard le temps du show de Goshman original, étonnant, non ? Les autres pistes que j’ai imaginées depuis que j’ai vu Goshman sont mon Running Gag (les lappings) et les Salières sans Salières (Intimiste IV). Il y aurait de quoi parler aussi sur ces deux autres sketchs ! Je voulais mettre tout dedans. Dans le sens que le public vive avec ma routine : l’entrée, le plat et le dessert et même les petits fours, et pendant le café le pousse-café ! L’ensemble baigné de rires et d’émotions, du jeu, de la convivialité en un mot ! Pour être tout à fait clair je n’ai pas mis toute ma vie pour obtenir ce que je voulais, en fait seulement 3 ans !!! Mais ça m’a pris la tête, souvent dans mes nuits tourmentées. Voulant trouver un ensemble de choses, sans cartes (pour aller dans le sens d’Albert) qui n’était pas un amoureux de la carte, même s’il en faisait un tout petit peu dans son spectacle, histoire de dire « j’en ai mis » ! J’avais vu Fred Kaps détruire le mental de Brother Hamman avec une routine de billets et honnêtement, je voulais vivre et faire éprouver à mes publics futurs une sensation équivalente à celle que j’avais ressentie lors de la joute Kaps/Hamman, moi ce puceron insignifiant au regard des étoiles dont je viens de parler à l’instant même ! J’ai donc toujours voulu pouvoir mettre un peu de billets genre le Hamman détruit par Kaps mais sans refaire le tour. M’inspirer mais pas copier, tel est mon souhait permanent lors de mes recherches. Je voulais faire jouer les gens. Quel est le meilleur pour faire jouer les gens ? Louis De Funès, à mes yeux. J’adore la mauvaise foi énorme de De Funès dans la plupart de ses films ! J’ai toujours voulu exploiter ce comportement qui, je trouve, paie en conditions de shows magiques. J’ai commencé par construire un jeu avec l’auditoire dans mon esprit en me disant que « ça pourrait le faire » de rajouter des billets en disant que je ne faisais rien du tout, alors qu’on me voyait bien rajouter sans cesse de nouvelles coupures sur le tas de billets du début ! Je me voyais déjà affirmer n’avoir rien touché…une situation gorgée de quiproquos comme il faut pour créer des situations comiques. Hum, cela sent bon le sable chaud… Je commençais à tenir ma trame… Pouvoir repenser avec des billets la routine des 11 cartes de Derek Dingle, un bijou absolu, voir la tête de Hamman quand Kaps lui change la valeur des billets devant son nez…Et là, une idée intéressante et farfelue me vient : fabriquer comme s’ils existaient depuis toujours des billets de 1000, 10000, 100000, 1 million, 10 millions de Dollars. Regardez comme il est génial de concevoir comme un film avec son scénario, des situations qui vont prendre vie plus tard si on s’en donne les moyens. Une des raisons qui m’a poussé, puis conservé dans « le mode magie » toute ma vie. Imaginer des fictions et pouvoir les rendre vivantes, comme un roman qui deviendra un film ! En parallèle et là au niveau du pitch, je pensais depuis longtemps m’extraire du tourbillon magique, qui consiste à aller de plus en plus loin, toujours et encore plus ! C’est bête à dire mais ce départ m’a donné le tempo pour élaborer l’ensemble. J’allais devenir un magicien « recyclé » pour l’occasion qui ne fait plus de tours de cartes ayant vu de vrais spécialistes… Je jouerai alors sur plusieurs notions en même temps : si on me connaît, l’affaire fera sourire, sachant que je fais beaucoup de cartes habituellement, et si l’on ne me connaît pas, ce qui sera majoritairement le cas, je ferai sourire car quelqu’un qui s’extrait d’un monde est toujours montré du doigt… Dans tous les cas j’obtiendrai le sourire, la complicité avec le public. Du moins c’est ce que j’ai imaginé en amont. Je ne crois pas m’être trop trompé sur ce coup-là ! Dès lors, j’ai commencé à travailler pour faire cohabiter tout ce petit monde. Pas moins d’une année pour rassembler, éliminer puis parfois reprendre des morceaux pour arriver en définitive à une colonne vertébrale qui ne bougera plus jusqu’à aujourd’hui. Les deux autres années m’ont été nécessaires pour « fixer » les effets, le crescendo général de la routine, le texte et la mise en scène. Ce n’est que vers la fin de ces deux dernières années que je me suis aperçu qu’il manquait non pas un climax, vu que je l’avais avec la carte pensée retrouvée dans des conditions impossibles…Mais une espèce de folie supplémentaire pour dire « au revoir ». Je tiens à signaler que juste pour le fun, j’ai imaginé cette routine de telle manière qu’en connaissant celle publiée dans From Old To New, on pourrait difficilement « remonter » le processus. Histoire de ne pas rester les deux pieds dans le même sabot. Pour les puristes, dans celle de From Old, la fin est inscrite sur 3 billets distincts, exemple : 8 / DE / PIQUE. La grande routine de 30 mn permet de voir sur un seul billet la prédiction : 8 DE PIQUE. Je sais que peu de magiciens comprennent ma démarche de la profusion maladive, lors des créations que j’ai données au monde magique depuis plus de trente ans, tous ces effets à cascade. Etant né en 1950, juste après la guerre, j’ai dû ressentir les privations dans le ventre de ma mère. La peur de manquer. Les tickets de rationnement, des joyeusetés du genre ! Comme un certain nombre de personnes de ma génération, j’ai vu mes parents, dès que le moindre souci national ou international survenait, acheter du sucre, du chocolat à foison, tapissant les murs de boites de conserve au cas où !!! Il est vrai du coup que je me sens mal si mon tour ne comporte qu’un effet ou deux. Voulant faire un spectacle complet avec cette routine, j’ai commencé à avoir la peur au ventre de ne pas trouver la fin. Comme si les tickets de rationnement refaisaient leur apparition…Ouf ! Il m’est venu, grâce à mes délires intérieurs, de trouver ma fin, c'est-à-dire : repartir avec une mallette pleine de billets de banque. Une espèce de happy end silencieux. Le rêve du magicien, son lot quotidien, quoi ! Il ne me restait plus qu’à inventer comment. Mais cela ne m’a jamais stoppé, au contraire. Ce qui est plus difficile à vivre pour moi est plus de ne pas savoir ce que je pourrais inventer comme effet que de ne pas savoir comment réaliser mon délire. Toujours simple de trouver une méthode, je me dis ! D’ailleurs, c’est, je pense, ce que nous devrions toujours nous dire : Les méthodes ne demandent qu’un peu de travail. Rien d’insurmontable en soi. Les effets, le jeu et la comédie sont plus précieux. Soyons attentifs sur ces terrains nobles, vis-à-vis de nos recherches. Restons éveillés pour créer des émotions, donner de l’amour à nos prochains qui s’appellent en l’occurrence : nos spectateurs. J’espère avoir donné ce que vous attendiez de moi sur ce coup. Merci Sylvain de m’avoir obligé à sortir de ma tanière pour puiser dans ma mémoire les débuts de cette aventure avec mes billets, mon portefeuille et tous ces souvenirs Goshmaniens. Passez de bonnes fêtes de fin d’année. Amitié. Dominique
  11. Comme tu me laisses toute latitude pour répondre, Sylvain, je serai tenté de commencer par le tour. Chronologie oblige. Les Billets De 1 Dollar ou Le Pari En essayant de retrouver les pourquoi et les comment, je me souviens que j’ai imaginé l’aspect technique en premier sur ce tour. Plus tard j’ai réfléchi pour faire « vivre » le tour et j’ai rêvé ce challenge entre le spectateur et le magicien, comme une joute, un jeu, une tentative à deux pour mieux se comprendre…Comme s’il était possible de jouer, sans magie avec un spectateur qu’on transformerait pour l’occasion en une relation réelle, un ami peut-être ? Voici les bases donc du pitch ou du scénario que j’ai créé au début. Revenons à la technique du tour. J’ai pensé avec des cartes blanches une série de treize valeurs + 4 cartes pour les couleurs. Soit 17 cartons. Jusque là, rien d’étonnant ! En rajoutant sur un carton le mot DE, j’ai vite compris qu’on pouvait obtenir toutes les cartes d’un jeu de 52. Toujours rien d’étonnant ! On pouvait donc fabriquer un 8 DE PIQUE, comme un 4 DE TREFLE…Des cartons qui peuvent donner le nom d’une carte, ce n’est pas bouleversant, je trouve ! Cartons/cartes = même image, même symbole, pour les gens. Alors, il m’est venu qu’avec des billets, on pourrait ne pas « téléphoner » l’effet. Des billets et des cartes à jouer peuvent créer l’ambiance du jeu, du tripot virtuel, si on si attelle (argent et jeu =cartes). Il y avait une vraie possibilité de surprendre avec cette base de recherche. Je crois que vous voyez de quoi je veux parler ! A partir de là j’ai sorti différents types de billets et je me suis arrêté sur les Dollars qui ont un format pratique pour plein de raisons. Une trentaine de billets ne représente pas un volume de folie et je pouvais vite bâtir ma routine pour créer n’importe quelle carte sous le couvert de compter simplement les billets que j’avais en main… Voici également en gros la base du choix des billets plutôt que des cartes (cartons). Je dirai que ces deux bases ne m’ont pas pris un temps incroyable. Ce qui le fut plus est de faire cohabiter l’ensemble. La mise en scène générale, si on peut l’intituler ainsi. Je voulais posséder sur moi un tour, toujours prêt à l’emploi pour pouvoir rapidement aller loin avec un spectateur sans avoir besoin de planter un décor, une infrastructure démoniaques. L’ambiguïté qui réside entre jouer avec le spectateur et lui faire un tour de magie m’a beaucoup intéressé. Il est finalement assez rare de pouvoir faire entrer le spectateur dans le tour sans qu’il puisse supposer qu’il est victime comme à l’accoutumée. J’aime bien cela !! L’idée était de trouver la crédibilité du jeu avec le spectateur. La chose m’est venue en me remémorant la phrase que j’avais construite pour « Double Mental » : « Choisissez une couleur pour moi ». J’aime cette phrase qui est très simple à comprendre et très ambiguë, en fait tout simplement à double sens. Choisissez à ma place ou choisissez au premier degré la couleur que je devrais prendre ! De cette demande on peut donner ou conserver la couleur ou la chose qu’on souhaite sans que le spectateur se sente floué. De cette idée-là, j’ai construit le jeu pour les billets. Pensez à une carte et je vais la deviner. Vous avez fait votre choix ? Le spectateur dit oui. Je nomme une carte, le 8 de pique. Le spectateur répond non. Je demande : « C’était quoi ? » Il dit le nom de sa carte, exemple 4 de cœur. Moi : « Pas loin !». Rires du public ! Non, restons sérieux. A vous. Vous allez essayer de deviner combien j’ai de billets dans mon portefeuille. Il se trompe aussi. Un partout, dis-je. On vient d’installer le jeu ensemble et de mon côté je vais pouvoir construire en parallèle la carte choisie sans qu’on puisse deviner où je veux aller. Voilà en fait comment est venue à mon esprit cette routine. Plus tard, si vous le souhaitez, je parlerai de celle effectuée au Double Fond, il y a quelque temps déjà ! Suite au prochain épisode.
  12. Certainement, oui. Il s'y passe plein de choses. Je commence une réponse très rapidement. A++. Dominique
  13. Tu parles du tour publié sur From Old ou ma routine faite dans un de mes spectacles Intimiste ? Le premier est une routine dite "rapide" de 7/8 mn et l'autre dure une trentaine de minutes. Bien evidemment les moyens employés sont très différents dans un cas et dans l'autre. Les deux ont une histoire. Je propose que tu choisisse l'une des deux et je te répondrai... mais juste une, attention de bien choisir ! Amitié et merci de vos encouragements pour cette nouvelle sortie de ce "Pocket portefeuille"
  14. Le "Hip Pocket Bombshell" est aussi un Sho-Gun portefeuille (donc le même système d'échange... attribué à Elbert Garner), il est aussi noir et il a en gros la même taille... Les similitudes s'arrêtent là... Il a une fenêtre transparente et un flapet qui permet de produire une carte d'un compartiment. Voili, voilou !
  15. From Old To New Volume I, pour les billets de 1 Dollar...
  16. Accepte toutes mes condoléances. Je suis avec toi en ces temps terribles. Tu as toute mon amitié. Dominique.
  17. Moi aussi je trouve que c'est donné ! Un placement intelligent enfin et qui peut rapporter gros ! Si VM mourrait ce serait moins cool tout de même, non ? Longue vie !
  18. Ricky Jay et Gaétan Bloom étaient pour moi les deux magiciens en question, messieurs ! Regardez ce scoop de la venue de Juan et profitez-en...Il va nous faire des choses qu'il ne fait pas souvent, juste pour le Double Fond, intéressant, non ?
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