Aller au contenu

Thierry SCHERER (Zarcanum)

Cercle VM o
  • Compteur de contenus

    336
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Trophée

    7

Thierry SCHERER (Zarcanum) last won the day on 19 mai

Thierry SCHERER (Zarcanum) had the most liked content!

À propos de Thierry SCHERER (Zarcanum)

Informations Personnelles

  • Localisation
    Genève / SUISSE
  • Profession / Occupation
    Médiateur culturel

Informations Magiques

  • Connaissances Utiles pour Notre Art :
    Mentaliste, auteur, musicien, médiateur culturel.

Visiteurs récents du profil

Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.

Thierry SCHERER (Zarcanum)'s Achievements

Régulier dans la Communauté

Régulier dans la Communauté (8/14)

  • Very Popular Rare
  • One Year In
  • One Month Later
  • Week One Done
  • Dedicated

Recent Badges

315

Réputation sur la communauté

  1. Si c'est à la Monnaie, c'est normal que l'exposition elle es-cher.
  2. Quand Geluk se fait le médiateur entre l'art contemporain et l'humour belge :
  3. Hello, J'ai vu Insaisissables 3 ce soir et c'est vrai qu'il y a toujours quelques références sympathiques au monde de la magie. Cependant, à force de vouloir être imprévisible avec la même recette que le 1 et le 2, tout devient désespérément prévisible, au contraire. ...mais une certaine mise en place, laisse présager un nouvel opus qui, je l'espère, nous surprendra alors. Reste que c'est un divertissement jouissif qui met les magiciens à une place de héros modernes anti-capitalistes. A part les débinages, je pense que ça donne plutôt une belle aura à notre art auprès des moldus.
  4. @Patrick FROMENT et @Christian GIRARD ...à propos de Crowley... voici un article tout récent de Radio France sur le bonhomme: https://www.radiofrance.fr/franceculture/qui-etait-aleister-crowley-l-homme-le-plus-malsain-du-monde-9137606?at_campaign=Facebook&at_medium=Social_media
  5. @Gilbus et @Melvin (Jean-Claude), vous avez quand même une opinion très définitive pour un simple différent de goût... En effet, avec l'art conceptuel (...contemporain ne voulant rien dire pour moi -vu que je n'ai pas lu Nathalie Heinich- sinon que c'est l'art de 1960 à nos jours) l'idée passe avant l'objet: un peu comme on dépose un brevet sur une invention! Le but n’étant plus d’être esthétiquement beau, mais de te faire "penser autrement". Historiquement l'art classique voulait imiter le monde. La photographie l'a remplacé. Lorsque la machine a fait mieux que les peintres, ils se sont tournés vers une forme d'interprétation de la réalité avec les impressionnistes, les expressionnistes, les cubistes ou les surréalistes. ...on glisse déjà vers plus d'abstraction. Puis, se questionnant sur ce qu'est l'art et en déconstruisant l'image, ce sont les dadaïstes et les surréalistes qui cassent les codes. Puis les abstraits (fin 19ème siècle) comme Kandinsky ou Mondrian. Avec eux il n'y a déjà plus de sujet concret. Et, dans les années 60, l'art devient une "expérience esthétique" plus qu'une "image esthétique". Comme le décrit Deleuze, le spectateur devient le sujet d'affects et de percepts autour de ce que l'oeuvre exprime. Ce changement est aussi dû au bouleversement sociétal imposé par le capitalisme et le libéralisme associé à une manière de "privatiser les idées". (Au même titre que certains ont commencé à se payer des montres, des fringues ou des 4x4 chers ...juste pour la marque.) D'ailleurs bon nombre d'artistes contemporains critiquent eux-même cette marchandisation dans leurs oeuvres (je trouve que ce sont les bons artistes puisque leur but est de faire réfléchir au fondement même de cette forme d'art que ce soit "beau" ou pas!). Tout ça pour dire que, qu'on le veuille ou non, l'art a évolué et, avec, la façon dont le spectateur peut aborder une oeuvre. Ce déplacement de la place du public peut se vivre en étant intéressé par cette nouvelle approche ou celle-ci peut être rejetée en bloc. Qu'importe... Mais, il me semble qu'un peu de curiosité devrait, de toute façon, nous empêcher les jugements hâtifs et réactionnaires du type "un enfant pourrait le faire" ou "ce sont des escrocs". Alors pour aborder de manière sympathiques différentes oeuvres contemporaines, je vous propose la très didactique chaine Insta de Raphael: https://www.instagram.com/raphael__ft/ Un des derniers en date qui rappellera à certains une très vieille blague des années 50... remise dans un contexte capitaliste.
  6. @Michael VESSEREAU oui ça sentait ça pour ce qui est du code. Mais comment s'y prend-il pour positionner les cartes en bonne position après tous ces mélanges aléatoires? Il me semble qu'à un moment il coupe à un endroit précis mais ça n'explique pas tout.
  7. Vous avez remonté le truc ? Moi non...
  8. Une de ces phrases qui font rire ET réfléchir: "Pour ne croire en rien tous les jours, il faut avoir la foi !" Gad Elmaleh
  9. Oui, j'étais embarrassé car si toutefois c'était un message réfléchi de sa part, ta réponse serait moche! Mais, tu as peut être raison... i don't know...
  10. Sur ce coup je ne sais pas si l'exemple du père Noël est le plus pertinent. Si on pousse la comparaison, cela voudrait dire qu'une entité se "déguise" en conscience pure pour faire croire en son existence (avec la complicité des parents)? Ca me parait encore plus flippant que de croire en un phénomène partagé par plusieurs personnes. P.S.: la blague paradoxale sur le rasoir d'Ockham c'est celle de l'enfant qui dit à son père: "qu'est-ce qui est le plus probable: qu'un vieux monsieur barbu habillé en rouge distribue des cadeaux aux enfants ou que tous les parents du monde entier -qui ne se connaissent pas- aient conspiré ensemble pour faire croire en une légende?" ...où l'on voit que l'exemple de ce père Noël permet bien des pirouettes...
  11. Une version magnifique de Billie Jean (l'harmonisation des voix est superbe sur le "pont") par Civil Wars. et garantie sans IA:
×
×
  • Créer...