j'ai l'impression que les magiciens sont souvent tiraillés entre une logique du public et une logique du privé.
On veut que notre discipline soit reconnue comme activité artistique donc avec recherche/création/propos artistique, donc cela même pourquoi le régime d'intermittence a été crée, mais en même temps le public et le réseau des magiciens est de l'ordre du privé (particuliers, CE, etc) et cela place le magicien dans une démarche entreprenariale.
Le status d'auto-entrepreneur n'est que cette logique poussée à son paroxisme.