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Patrick FROMENT

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À propos de Patrick FROMENT

  • Date de naissance 12/18/1967

Informations Personnelles

  • Localisation
    Montpellier (34) / FRANCE
  • Profession / Occupation
    thérapeute de couple

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  1. Oui ! J'avais noté la bonne blague ! En tout cas il est quand même fort Étienne Klein... Mine de rien sans avoir l'air d'y toucher, en une minute et 31 secondes il arrive à aborder et à effleurer quatre ou cinq questions fondamentales : - La question de la définition de "Dieu" avec, en arrière plan, la question du théisme ou déisme - La question de l'agnosticisme - Le fait que certaines questions -comme celle du sens de la vie- ne relèvent pas de la connaissance (et donc ne relèvent pas de la science) - La très épineuse question métaphysique sur l'immanence ou la transcendance des lois de la nature - La question du mystérianisme ...
  2. Étienne Klein toujours excellent pour donner des "réponses" à peu près compréhensibles à des questions complexes et vertigineuses. (J'ai mis le mot réponses entre guillemets car, en l’occurrence, il n'y a pas de réponse et Étienne Klein prédit qu'il n'y en aura jamais ... mais ça n'empêche pas de réfléchir à la question ! )
  3. L'implant cérébral qui lit les pensées : miracle médical et nouvelles questions éthiques https://www.france24.com/fr/éco-tech/20250831-l-implant-cérébral-qui-lit-les-pensées-miracle-médical-et-nouvelles-questions-éthiques?utm_source=firefox-newtab-fr-fr
  4. Je reconnais là ton côté taquin et farceur Christian ! Le mot "supérieur" est surement maladroit et inadéquat mais, à ma décharge, il n'est pas simple de trouver des mots pour parler de ça. Adrien Choeur est certainement meilleur que moi pour en parler : « La spiritualité est souvent associée, d’une part à la métaphysique, et d’autre part à la pratique religieuse. Comme son nom l’indique, elle s’intéresse aux choses de l’esprit, indépendamment de la matière. Toutefois, la spiritualité ne rejette pas la matière : elle tente plutôt d’en comprendre le sens. Tout comme la métaphysique, la spiritualité essaie d’aborder ce qui est « au-delà du physique », c’est-à-dire au-delà du temps, de l’espace et de tout phénomène particulier, pour accéder à l’absolu. » Au delà du physique, du temps, de l'espace pour accéder à l'absolu (sans rejeter la matière qui est, à n'en pas douter, une des expressions de "l'absolu"). C'est ça que j'ai appelé, très maladroitement, une perspective d'ordre "supérieur". L'Absolu n'étant pas Dieu (pas forcément !) c'est plutôt une notion philosophique pas simple à définir : Absolu (philosophie)
  5. Oui je partage totalement ce point de vue. Sur la question du "biais" : Me concernant, la philosophie s'est imposée comme une perspective naturelle et évidente, notamment dans ses branches métaphysique, ontologie et épistémologie qui traitent directement de ces questions. La science est une ressource intéressante pour discuter de ce dont on discute ici aussi, notamment en raison du grand paradoxe qu'elle met en évidence : La science suppose, en effet, une réalité objective que nous pouvons étudier et expérimenter mais elle ne cesse de montrer que l'essence des choses défie notre expérience et notre sens commun. Enfin, personnellement, la spiritualité me permet de donner une vision et une sorte de perspective supérieure. Bien sûr, avec la spiritualité, nous entrons facilement dans le domaine du spéculatif et du conjectural (encore qu'il existe des spiritualités très incarnées). Il convient, bien sûr, d'être vigilant à ce côté spéculatif. Décoller assez pour sortir le nez du guidon et ouvrir une perspective un peu plus large et globale que le matérialisme pur et dur et, en même temps, ne pas perdre pied avec le réel (même si on ne sait pas très bien ce que c'est que le "réel"). Je ne prétend pas toujours rester sur cette ligne de crête mais j'y tends.
  6. J'ai pu en lire de larges extraits cet été. Je n'exclu pas de me le procurer et de le lire entièrement. Cela m'a semblé très intéressant et d'un très bon niveau... et pourtant je suis un peu circonspect sur les tentatives de "croisements" entre science et philo (même si ça me passionne et que je n'arrête pas de faire ça ).
  7. Petit extrait de l'ouvrage de Léna Soler, Introduction à l'épistémologie (préface de Bernard d'Espagnat) avec deux idées fortes qui sont celles que je soutiens ici depuis presque 13 ans : 1) Le réalisme physique essentialiste est indémontrable 2) On ne peut pas échapper au relativisme faible ... Et spéciale dédicace à @Thierry SCHERER (Zarcanum) qui me semble assez proche de ces positions
  8. Thierry, Christian, Déjà... Tout simplement... : Je me réjouis de vous lire ! Il n'est pas simple de parler de métaphysique (avec toute la rigueur que le raisonnement philosophique peut revêtir parfois et en s'assurant de la compatibilité du discours avec les connaissances scientifiques). Je l'ai déjà dit plusieurs fois ici mais je le répète : Au fond ce débat n'est pas "intellectuel", il est existentiel ! Nous avons une image unilatérale de la physique, celle d’une discipline très technique, très mathématique, avec des accélérateurs de particules et tout ce qui s’ensuit. Pourtant, la physique aborde des questions existentielles : Comment fonctionne l’univers ? Comment tout a-t-il commencé ? De quoi sommes-nous faits ? Pourquoi sommes-nous ici ? Le libre arbitre est-il une illusion ? L’univers a-t-il un but ? Autrement dit, les lois fondamentales de la nature permettent-elles de répondre aux grandes interrogations philosophiques ? Dans Physique existentielle, Sabine Hossenfelder, physicienne renommée, aborde avec rigueur et clarté les interrogations philosophiques les plus profondes à travers le prisme de la physique moderne.
  9. Et puisqu'il est question de Mr Kant... Notons que les outils qui permettent de poser ce genre de question et de mettre en exergue ce type de paradoxe (à savoir la logique et les liens de causalité) sont, eux mêmes, considérés chez Kant comme des catégories de l'entendement (tout comme le temps et l'espace)... Donc soumis à quelques limites (tout simplement les limites de la perception et du raisonnement). Tiens d'ailleurs, dans un de ces derniers ouvrages traduit en français, Donner un sens à l'absurde, Bernardo Kastrup met un grand coup de pied dans la fourmilière :
  10. J’ai posté cette petite vidéo d’Étienne Klein surtout pour la puta*n de question formulée à 1:28 et qui me semble totalement en résonance avec le sujet de ce fil : Si le temps a besoin de la conscience pour advenir, comment a-t-il pu advenir si le sujet qui a la conscience est, lui-même, le produit d’un processus temporel ?
  11. Oui... Et ça dépend aussi de l'échelle à laquelle on regarde les choses ce quelque chose d'extérieur à nous ce pourrait être l'Univers Bloc (si on se hisse au niveau et à l'échelle de la théorie proposée dans la vidéo). L'Univers Bloc (ou ce que nos observations suggèrent être un "Univers Bloc") est-il "extérieur" à nous ? ...Pas vraiment puisqu'il nous inclus, nous et notre observation. Ce "quelque chose de commun et d'extérieur à nous" cela pourrait bien être "Dieu" également (enfin... le "Dieu de Spinoza" comme disait Einstein). Du coup, ça fait la boucle avec la première page de ce fil il y a 13 ans ! (mais bon temps, présent, passé, futur, c'est (encore !) une question d'observateur (et de vitesse de l'observateur dans l'espace (espace qui lui même n'existe pas (en tout cas pas de la manière dont on le perçoit et dont on a l'impression qu'il existe))). Quel bordel !!!
  12. 16:20 : La réalité c'est l'intersubjectivité (concept déjà abordé ici les années précédentes ) Pour le dire autrement (mais déjà abordé ici aussi) : Ce qu'on appelle "objectivité" est, en fait, le résultat d'un accord intersubjectif. Et pour le dire encore autrement : L'"objectivité "nait au cœur de la subjectivité !
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