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Il y a 8 heures, Teddy REX a dit :

- Lors de la remise des prix , au moment de l'appel du  récipiendaire , une petite video de 15 à 30 secondes ou une photo en action pour se rappeler qui  il etait et ce qu'il a presenté 


Super idée. Nous sommes nombreux, je pense, à avoir oublié quel avait été le numéro du gagnant cette année, lorsqu'il a été récompensé.
Idem pour certains autres d'ailleurs.

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Pour ce qui est des idées qui permettraient de rendre le congrès plus attractif, je vais m'autociter :

Le 10/10/2024 à 12:25, Yann CPN a dit :

Et concernant le gala du samedi : personnellement, j'aurais préféré qu'il soit facultatif (c'est à dire non inclus dans le prix du congrès).

Moi, les grandes illusions, les assistantes en slip qu'on met dans des boîtes, les paillettes, les poses doigts écartés et tout le toutim, ça me barbe. Mais alors, vraiment.

J'ai l'impression que la FFAP considère un peu le close-up, le mentalisme, voire la magie de salon comme des parents pauvres de la magie (par rapport à la scène, qui semble avoir tous les honneurs) alors que ce sont sans doute les formes de magie qui concernent le plus de pratiquants.

Proposer des jams sessions avec des magiciens en vue actuellement à côté des galas où on se retrouve obligés de voir des mecs en costume à paillettes découper des filles en slip dans des boîtes comme si on était dans les années 80 (je caricature, mais vous voyez l'idée) pourrait être une idée, par exemple, pour attirer les "jeunes" (ou des moins jeunes comme moi). Surtout que c'est peut-être moins cher à financer que des grandes illusions...

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Bon, on commence à voir des idées émerger.

Philippe, je suis en grande partie d'accord avec toi, sauf sur un point. Caroline a fait une splendide démonstration de présentation. Le présentateur ou la présentatrice est un artiste à part entière, apportant son propre univers et contribuant au spectacle. C'est un show à lui tout seul ! De plus, il ou elle doit gérer le démontage/montage des numéros en coulisses (ce qui n’est pas une mince affaire) et ne peut pas se contenter de faire du blabla, ce qui deviendrait vite ennuyeux (et on en a eu quelques exemples ! 🤣).

Yann, je ne pense pas que la FFAP néglige le close-up ni la magie de salon. On est à peu près à l’équilibre entre les galas et les concours. Quant aux conférences, elles sont quand même plus orientées close-up que scène. Et même si certains n'aiment pas les Grandes Illusions (G.I.), il en faut pour tous les goûts et toutes les sensibilités ! 🤣

Au fait, que pensez-vous de mon idée de "parrainage" ?

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Publié le (modifié)

Désolé @Otto WESSELY, ça va être long à lire

Bonjour à tout le monde

Ayant la responsabilité technique et lumières de tout ce qui se passe dans la « grande salle » des congrès de la FFAP depuis pas mal d’années (sauf à Poitier), je vais me permettre d’apporter quelques éléments en lien avec toutes les question, remarques, idées avancées…

Je ne cherche pas à excuser quoique ce soit mais apporter des réponses vues de l’intérieur.

1-    À propos du parrainage.

Il y a quelques années de cela, avec @Francis TABARY, on avait financé deux entrées au congrès pour deux jeunes qui viendraient à leur premier congrès.

Croyez-le ou non, mais nous n’avons eu aucune candidature et avons dû nous même chercher deux jeunes pour leur offrir leur congrès !!!!

Par ailleurs, sachez que le coût d’un congrès est en perpétuelle augmentation (location du palais des congrès, cachets des artistes, équipements, salaires des techniciens, hôtel et repas des artistes et staff…) et que le prix du congrès est fixé par l’assemblée fédérale sans prendre en compte le coût réel…

Bref, c’est sur une corde raide que jonglent les trésoriers et autres financiers.

Bien entendu, si faire une promo amène davantage de congressistes, l’équation est bonne mais… pas simple à prendre comme décision quand on sait que la majorité des congressistes s’inscrivent tardivement et qu’on doit engager des dépenses sans avoir une bonne vision sur les recettes.

2-    À propos du close-up.

Je ne sais pas ce qu’il s’est passé dans la salle de close-up puisqu’avec mon équipe nous ne nous occupions que du grand amphithéâtre mais j’ai eu des retours…

Ce que je peux dire c’est qu’aujourd’hui nous sommes confrontés à une avalanche de demandes de conditions d’éclairage peu compatibles avec un concours où le temps des calages est ultra limité (10 minutes en théorie et donc il faut des demandes simples et surtout très claires).

Les numéros de close-up actuels relèvent plus de la scène que des conditions réelles d’un close-up.

Les numéros sont souvent spectaculaires mais pas du tout adaptés aux conditions (et encore, si nous recevions les fiches techniques à l’avance, on pourrait anticiper, mais un grand nombre de fiches techniques nous sont arrivées alors que nous étions déjà en place et le montage technique terminé).

Trop de magiciens qui pratiquent du black art pensent qu’il suffit de moins éclairer pour que ce soit magique !!!!

En tant qu’éclairagiste pour magiciens ça me saoule car c’est moi qui suis tenu pour responsable des mauvaises lumières.

En scène, je refuse catégoriquement de sous éclairer un numéro et ai mis en place en avance la structure matérielle pour éclairer du black art et du fil invisible – et pourtant, parfois je n’obtiens pas gain de cause (et je ne parle pas des demandes exotiques comme un blanc sombre ou un faisceau de lumière qui doit s’arrêter à 20 cm après le visage…) mais en close-up, il ne faut pas rêver… le public ou la caméra sont aussi en close-up.

Il y a des matériaux, des velours, des fils prévus pour ça mais rares sont les magiciens qui s’en servent…

3-    D’une manière générale, les conditions de répétition des concours ne sont plus adaptées aux contraintes d’aujourd’hui mais ce ne sont pas nous qui fixons les règlements de la FISM.

Quand on avait un plan de feux à base de quelques projecteurs traditionnels, on pouvait caller les lumières en 10 minutes.

Aujourd’hui, malgré l’expertise des pupitreurs, c’est un challenge de créer les 3 ou 4 tableaux lumineux en moins de 10 minutes et je me refuse à sous employer notre parc car c’est un concours… alors, ne le dites à personne, mais nous avions pré-encodé tous les numéros de concours de scène qui nous avaient envoyé dans les temps une fiche technique exploitable.

Ainsi, dans les 10 minutes, nous n’avions que des petits réglages à faire.

Ce qui nous a permis de faire des calages en 12 à 14 minutes pour d’autres concurrents.

Personne n’a été lésé mais personne n’a été réellement dans les conditions d’un concours plus « stricte ».

Mais augmenter la durée des répétitions joue alors sur la planning complet du congrès, les heures de repas des équipes, les temps de coupure pour permuter des équipements, le temps pour que le public entre et sorte d’une salle et les horaires des services du palais des congrès.

Pour info nous embauchons à 7h du matin pour finir entre 23h et 1h du matin avec uniquement deux petites pauses repas de 30 à 45 minutes chacune.

4-    À propos du gala.

No comment sur le numéro de GI ;)

11 ans de régie de Tim Silver… j’avais mal.

Pour @Caroline MARX, je peux assurer que ses présentations étaient vraiment à la hauteur pour mettre en valeur chaque artiste : ses textes étaient ciselés, précis et vraiment préparés (elle a contacté chaque artiste bien en amont pour choisir ses intermèdes et écrire ses interventions en rapport).

Il y a eu peu de moments où ses interventions ont dépassé le temps de changement de plateau pour l’équipe technique car nous avions, en plus du déplacement du matériel et du nettoyage de la scène, des mouvements de perches à effectuer qui nécessitent des précautions…

5-    À propos du doublon, gala de clôture / dîner spectacle…

C’est effectivement très surprenant et si c’est volontaire, je vous rejoints que ce n’est pas la meilleure idée.

Au passage les problèmes de micro d’@Erix LOGAN sont liés au choix d’utiliser son propre micro et n’ayant pas de conduite précise de ce qu’il allait dire et/ou faire avec ses mains, je ne savais pas s’il fallait en urgence lui apporter un micro main qui fonctionne ou prier pour que ça passe ;)

Par contre pour la coupure micro de @Benoît ROSEMONT – c’est de notre faute même si on ignorait tous qu’il avait été débranché par inadvertance.

6-    À propos des extraits vidéos lors de la remise des prix

C’est presque indispensable, et ça a déjà été fait.

Juste, ça occasionne un travail supplémentaire à l’équipe vidéo qui est en réalité sur la brèche du matin au soir entre les concours, les répétitions, les conférences, les galas où il y a captation et / ou diffusion.

Bref, souhaitable mais il faudrait du personnel en plus.

7-    À propos de l’ouverture de certains lieux dès le jeudi après-midi.

Il faut savoir que le temps d’installation des exposants est long : il faut d’abord installer les stands eux-mêmes, distribuer l’électricité, le mobilier… puis gérer la circulation des exposants eux-mêmes entre déchargement des véhicules, rotations pour le stationnement, manutention…

Bref il n’est pas rare que la partie exposants soit finalement prête que le vendredi matin à l’aube.

Pour ouvrir plus tôt il faudrait louer les lieux une journée de plus, payer les agents de sécurité une demi-journée de plus…

Bref, vendre le congrès plus cher ;)

8-    Le pass magic a été initié il y assez longtemps pour proposer une animation aux congressistes arrivés dès le jeudi et qui ne vont pas au dîner spectacle.

Ce devait être un one shot qui en fait s’est reproduit année après année.

Il est à la discrétion du club organisateur.

Il y a eu des grandes années, d’autres un peu moins… il mériterait sans doute d’être mieux défini.

9-    Les écrans pour les galas…

Je suis d’accord que cette année, c’était petit et pas toujours en service.

Certains lieux sont équipés (la Grande Motte l’an dernier si je me souviens bien).

D’autres ont les écrans mais pas les vidéo projecteurs qu’il faut louer.

D’autres n’ont rien. Certains interdisent l’installation de vidéo projecteurs sur pieds car il n’y a pas d’espace dédié et c’est dangereux. Certains imposent des écrans type téléviseurs…

Cette année nous avions loué pour certaines des raisons ci-dessus 2 très grands écrans qui s’avéraient très petits vus du public.

Bref, vous avez entièrement raison mais les contingences matérielles et économiques rendent la réalisation moins simple qu’il n’y parait.

10- Sur le contenu et l’équilibre close-up / scène, magie contemporaine / magie ringarde…

Il en faut pour tous les goûts et toutes les modes.

Par contre la FFAP ne délaisse pas le close-up au profit de la scène dans la construction du programme (y a qu’à voir le programme des conférences et les pointures invitées au gala de close-up ou au triple fond).

Un grand close-up man américain coûte au moins aussi cher sinon plus qu’un numéro de scène venu d’Europe.

Pour ce qui est du traitement technique des deux, on est là encore tributaire des lieux, des équipements et des équipes disponibles.

Je dois avouer qu’à titre personnel, je redoute d’avoir à m’occuper des concours de close-up car ce n’est pas ma spécialité et avec le temps, avec @Jean-Philippe LOUPI, nous avons monté une équipe performante pour la scène.

Il y a un embryon d’équipe pour le close-up qu’il conviendrait d’étoffer et de pérenniser car éclairer et scénographier du close-up pour les spectateurs ET la caméra est une spécialité complexe.

Donc oui, sur l’aspect purement technique, le close-up ne bénéficie pas d’autant de moyens que la scène dans tous les congrès.

11- Et avec tout ça, il faut démarrer tous les événements à l’heure et que ça ne sente pas la transpiration ;)

Alors merci à la FFAP pour sa confiance renouvelée, merci aux équipes bénévoles et pro qui font que malgré tout, ça tourne plutôt pas mal, et merci à tous les magiciens – artistes engagés, artistes en concours, artistes congressistes pour leur présence.

Sans eux, pas de congrès et sans congrès pas de boulot ;)

Modifié par Thomas
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Un grand MERCI à toi @Thierry SCHANEN, @Jean-Philippe LOUPI, et à toute l'équipe !

Tant qu'on n'a pas personnellement organisé ou travaillé dans les coulisses d'un Congrès, on ne réalise pas vraiment l'ampleur du "backstage" et tout ce que cela implique.

D'ailleurs, il n'y a pas beaucoup de volontaires pour s'occuper de toute cette logistique, ce qui rend votre expertise et votre temps d'autant plus précieux. Bravo pour votre engagement les gars ! c'était mon 41ème Congrès...

Et je te confirme que lorsque tu n'es pas à l'organisation le temps est plus doux..

Un mot sur le PASS MAGIQUE : en effet, j'en suis à l'origine, en 2000 à Issy-les-Moulineaux.

À l'époque, l'idée était simplement de permettre aux artistes de close-up présents de partager un moment privilégié avec les jeunes du Congrès.

Nous avons commencé la soirée à 6 personnes, et avons fini à 400, dispersés jusque dans les escaliers.

Depuis, les formules ont évolué, tout comme les attentes.

Le public est devenu de plus en plus exigeant, cherchant à en obtenir toujours plus pour moins cher, ce qui est une équation difficile à maintenir.

Je crains d'ailleurs qu'il devienne bientôt impossible d'organiser de tels événements, car, comme tu le dis, le coût fixe devient insoutenable.

Avec les élections à venir, il y aura peut-être de nouvelles têtes et de nouvelles idées… ou peut-être pas. 😊

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D!d!er Cartomagie

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L'idée revient de temps en temps, avec ses avantages et inconvénients. Le Congrès National fait partie intégrante du paysage associatif, où chaque club a la possibilité (mais pas l'obligation) de s'impliquer et de se porter candidat pour accueillir cette convention. C'est souvent l'occasion de motiver ses membres, de se lancer dans un véritable défi collectif, de renforcer les liens au sein de l'équipe, parfois aussi de vivre quelques tensions, mais surtout de faire découvrir sa ville et de donner un coup de projecteur à son propre club.

Au-delà du choix de la ville (car si le Congrès se tient au Touquet, les magiciens du sud de Lyon le trouvent forcément trop éloigné), l'essentiel est d'avoir une équipe d'accompagnement efficace, fiable et bénévole, ce qui, de nos jours, est de plus en plus rare. Et tout cela pour subir régulièrement des critiques en ligne et essuyer un flot de remarques désobligeantes.

Aujourd'hui, la FFAP dispose d'une cellule d'accompagnement (qui, elle aussi, n'échappe pas aux critiques, rassure-toi), et Internet permet d'accomplir des prouesses en termes de communication et de logistique. L'organisation générale de nos congrès est globalement stable et de qualité. Cependant, il faut répondre à un public de plus en plus exigeant, moins patient, tout en gérant un coût global qui ne peut être couvert uniquement par les inscriptions. Une équation qui, à court terme, risque de devenir de plus en plus difficile à pérenniser.

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D!d!er Cartomagie

Publié le (modifié)

Pour répondre à @Thierry SCHANEN, je suis entièrement d'accord avec toi à 95 % (plus, tu aurais pris la grosse tête ! 🤣).

Effectuant moi-même de très grosses régies dans mon domaine historique et la production d'artistes, je sais que peu de congressistes peuvent imaginer le temps, le stress, les prises de tête et les décisions impopulaires, improbables et importantes qu'il faut prendre en quelques minutes pour que tout fonctionne bien.

Toute l'équipe technique, et encore plus le "patron", sont sous pression constante.
Le Touquet a été une grande réussite de ce côté-là, avec de magnifiques éclairages, un son de qualité et un respect des horaires.

Concernant @Caroline MARX, là aussi, je suis totalement d'accord : elle était un numéro à elle seule !

Ayant assuré la régie scène lors des deux congrès mémorables de Dunkerque, je suis souvent passé pour un teigneux, en particulier pour deux artistes TRES TRES connus (je ne donnerai pas de noms 😂) qui, en arrivant sur le plateau, avaient des exigences de "stars".

Ils menaçaient même de ne pas se produire si leurs demandes n'étaient pas satisfaites. J'ai tenu bon, annonçant que si jamais ils mettaient leurs menaces à exécution, nous expliquerions aux spectateurs le "pourquoi". Bien sûr, ils n'ont pas mis leurs menaces à exécution.

Quant aux candidats qui arrivent le jour même avec leur fiche technique, notamment pour les éclairages, pas de cadeau !

On travaille à minima pendant le temps imparti à chacun pour leur mise en place (à Dunkerque, je travaillais au chrono !).

La technique n'est pas le "larbin" des candidats et des artistes, mais une COMPOSANTE essentielle de leurs numéros. Sans la technique, leurs performances perdraient 50 % de leur impact, ce qu'ils oublient souvent. Et le MERCI à la fin n'est pas un gadget, mais un signe de reconnaissance.

Pour Didier Ladane, je suis aussi entièrement d'accord avec toi.

Tout coûte de plus en plus cher, et nous avons un congrès au rapport qualité/prix tout à fait acceptable. Certes, on peut toujours penser que c'est cher, mais il faut comparer ce qui est comparable (regardez les congrès internationaux !).

Concernant l'idée de choisir un lieu UNIQUE et répétitif pour les futurs congrès, tu as raison. Toutefois, il faudrait que ce lieu soit "central", mais pas Paris (trop cher). C'est d'ailleurs la direction vers laquelle on s'oriente pour les futurs congrès, pour plusieurs raisons (peut-être trois ans à Troyes).

De moins en moins d'associations FFAP souhaitent s'investir dans une organisation qui demande des mois de travail. Une cellule congrès, qui prend de plus en plus d'importance, pourrait prendre le relais, mais cela risque d'être au détriment des associations locales.

Nous avons bien senti une certaine "tension" entre Noël Decreton et @Serge ARIAL, mais ils ont quand même réussi à trouver un compromis.

Toutefois, à l'avenir, si seule la cellule congrès est impliquée, où trouver les bénévoles INDISPENSABLES pour une telle organisation ? (Au passage, félicitations à ces bénévoles pour leur abnégation et leur travail dans l'ombre !!! 😍).

Voilà encore des sujets de discussion pour notre futur.

Le débat est ouvert !

Modifié par Thomas
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Publié le
Le 14/10/2024 à 12:05, Teddy REX a dit :

Yann, je ne pense pas que la FFAP néglige le close-up ni la magie de salon. On est à peu près à l’équilibre entre les galas et les concours. Quant aux conférences, elles sont quand même plus orientées close-up que scène. Et même si certains n'aiment pas les Grandes Illusions (G.I.), il en faut pour tous les goûts et toutes les sensibilités ! 🤣

C'est vrai.

Le 16/10/2024 à 20:14, Thierry SCHANEN a dit :

10- Sur le contenu et l’équilibre close-up / scène, magie contemporaine / magie ringarde…

Il en faut pour tous les goûts et toutes les modes.

Par contre la FFAP ne délaisse pas le close-up au profit de la scène dans la construction du programme (y a qu’à voir le programme des conférences et les pointures invitées au gala de close-up ou au triple fond).

Un grand close-up man américain coûte au moins aussi cher sinon plus qu’un numéro de scène venu d’Europe.

Oui, oui, OK, c'était mon sentiment personnel (dsl de le répéter 😉), avec mes biais personnels.

Concernant le gala du samedi, j'ai adoré les avions en papier de Nikolaï Striebel. Son final a malheureusement eu un loupé, mais sinon, c'était beau, c'était magique, vraiment . J'ai été agréablement surpris par Maxime Minerbe, aussi. Quant à Caroline Marx... si, moi, je ne suis pas forcément client de son "style" au départ (les allusions graveleuses, surtout), je dois reconnaître qu'elle a très bien assuré la présentation, que ça beaucoup plu à certains et, surtout, qu'elle sait faire de la magie. Certains de ses effets étaient très bons. Un détail aussi : quand elle a fait monter un spectateur pour en faire sa "marionnette", j'étais placé de telle manière que je la voyais par moments derrière, en train de lui donner les instructions, etc. Et bien qu'elle était cachée, elle avait un énorme sourire et elle avait l'air de s'éclater. Et ça, c'est très communicatif.

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Publié le (modifié)

Je n'ai pas tout lu, je veux juste faire ce poste pour deux choses: féliciter les bénévoles, les passionnés, ceux qui donnent pendant 1 an pour quelques jours de bonheur.

 

2 ème choses au niveau du tarif. Quand on est un petit créateur, une petite boutique, c'est très difficile financièrement de s'y retrouver. Plus il y a de stand, plus j'imagine , de rentrer d'argent. Pourquoi ne pas faire un tarif moins cher pour des créateurs ?

Comme pour les salons professionnels, il y a des coins start-up, .... Un tarif de stand lié au nombre de personnes sur le stand... Un stand a Blackpool me coûte 400€! 

 

Cela pourrait permettre de voir des produits, des idées innovantes bloquées par le prix des stands. 

 

D'autres petits congrès l'ont compris.

 

Modifié par Calix
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Smart bastards magazine, c'est bientôt...

 

"Les magiciens sont en concurrence car ils prennent des parts du gâteau, alors que mon but est de faire grossir le gâteau." Kostya Kimlat

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    • Autre détail : si tu confies le briquet à un spectateur et garde donc les aimants entre pouce et index, tu vas sans doute me demander comment je les remet sur le briquet pour la table suivante (en se plaçant dans la situation ou, comme moi, tu vas de table en table). Il faut que je précise que jusqu'à présent j'utilise un porte-monnaie avec des petits morceaux de papier flash dedans et un mouchoir en papier. Ce porte-monnaie est initialement dans ma poche extérieure gauche de veste avec le boulon dedans et les morceaux de papier flash (rectangulaires, à peine plus longs que le boulon et une position debout/couchée alternée, à angles droits les uns par rapport aux autres si vous préférez). Le mouchoir en papier est dans ma pochette (c'est le nom de la petite poche extérieure, de face, sur une veste). Le briquet équipé de ses aimants est dans la poche à briquet (c'est la poche intérieure gauche, en bas d'une veste qui s'appelle ainsi). 1ère table : je sors le porte-monnaie que je pose sur la table ou dans la main d'un spectateur e lui disant "résistez à l'envie de voir tout de suite ce qu'il y a dedans, je vais vous le montrer dans 30s" puis le briquet. Je fais cela pour éviter tout contact malencontreux entre le porte-monnaie et le briquet. Je demande au spectateur d'ouvrir le porte monnaie vers moi pour garder le mystère jusqu'au bout, je prend le boulon et un morceau de papier flash avec ma main gauche (j'arrive à en prendre un seul grâce au positionnement alterné des morceaux rectangulaires "allongés/debout"). Le boulon doit être dissimulé derrière le morceau de papier et le bout des doigts gauches et j'allume tout de suite le briquet (le bruit de la molette ou du piezo et la flamme attirent l'attention vers le briquet). J'enflamme et fait apparaître le boulon. Je présente la routine du boulon dont l'écrou se dévisse seul avec l'idée de Gaëtan BLOOM d'utiliser le briquet. Là : soit je remet le boulon dans le porte-monnaie et je range tout comme au départ pour la table suivante, soit un spectateur veut essayer d'allumer le briquet près du boulon. Je lui donne. Je récupère les aimants entre pouce et index comme je l'ai décrit dans mon message précédent et je prend le mouchoir en papier que j'ai dans ma pochette entre pouce et index droits (qui ont déjà les aimants) car le meilleur moyen d'avoir une position des doigts naturelle, justifiée est de tenir un objet. Lorsque le spectateur a terminé son essaie, le boulon a noirci un peu donc je lui tend le mouchoir pour qu'il me l'essuie et lui demande de me redonner le briquet. Là, vous l'aurez compris, je conserve les aimants comme avec le briquet lorsqu'il prend le mouchoir en papier et je reprend le briquet en replaçant les aimants dessus et hop, direct dans la poche à briquet. J'attends qu'il m'essuie bien le noir sur boulon (je plaisante un peu là dessus) et lui demande de mettre l'écrou à mi-chemin dessus (je l'embête un peu en lui disant "encore 2 tours et demi" ou je ne dis rien et en récupérant les spectateurs je dis "encore un tour ?"; Après leur "oui" je fais de manière exagérée un tour de plus à l'écrou sur la vis puis je leur dis "nan, vraiment, je vous montre encore un mystère rigolo...et là je sors les rondelles avec le trou que l'on fait voyager ou le clou qui se tord ou le stylo qui se tord, etc...ça dépend de mon envie du moment). Evidemment je range le boulon dans le porte-monnaie et c'est reparti...pour un tour ! Je précise aussi que lorsque je dis "pour la table suivante", en fait je parle non pas de la table que je vais aborder après mais de celle encore après car en table à table, j'ai deux enchaînements de 3 routines chacun et j'alterne une table sur deux. Un des enchaînement occupe mes poches gauches (intérieures et extérieures) et l'autre mes poches droites. Ainsi les spectateurs d'une table ne voient pas ou plus difficilement ce qui les attend. Deux tables voisines n'auront pas le même "numéro" et comme je dis souvent, le premier plaisir d'un spectateur par rapport à la magie, c'est de voir le numéro mais le second (et quelque part encore plus important) est de le raconter à des personnes qui ne l'ont pas vu le lendemain dans la famille, au boulot ou autre. Et là, entre tables, il n'est pas rare qu'ils échangent en disant "ils vous a fait le coup du...?" ou "t'as vu le tour avec ....?". Bien entendu, il n'est pas rare qu'une table me demande à voir un effet dont un voisin de la table d'à côté lui a parlé ou qu'il a entrevu de loin. Dans ce cas, selon le cas, je refais le tour en question ou un autre du même tonneau. Attention : sur certaines vestes, la poche à briquet et au même niveau que la poche extérieure gauche. Dans ce cas, l'aimant peut être trop près du boulon et l'activer malencontreusement. Dans mes vestes, la poche le fond de la poche à briquet est toujours plus bas que celui de ma poche extérieure gauche de veste et le porte-monnaie n'est pas gros mais assez rigide et épais (ce qui limite encore le risque et évite que le spectateur à qui je le confie sente le boulon ou en tout cas une chose dure au travers du cuir). Chaque détail compte pour moi. C'est au fil du temps que je trouve chacun de ces détails pour les routines que je présente mais ça, ce n'est pas un mystère, c'est évident. On s'écarte un peu des billets de Finn Jon alors pour "rattacher le wagon", je dirais que je n'ai jamais testé sa version des billets. Je trouve qu'elle n'est pas adaptée pour le table en table mais que c'est la plus nette pour la scène ou le salon (car les transformations sont à vue et douces, sans accoups et sans pliage des billets).
    • En effet, très sympa. Une idée simple mais très bien executée. D'où aussi l'importance d'avoir un bon public / assistants : cela renforce terriblement son numéro en créant de chouettes interactions.
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