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Bonjour à tous ! 

Nous avons tous un jour réalisé un bateau en origami. 

Sylvain Mirouf nous livre un tour de mentalisme avec comme toujours une pointe d'humour. 

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Effet :

HO MON BATEAU 
Un effet de mentalisme visuel, amusant et dévastateur sur le public.
Vous présentez un bateau en papier et racontez l’histoire d’un capitaine de vaisseau qui donna le nom d’une carte à son navire. Etant porté sur la boisson et le jeu, un soir, avec ses compagnons d’infortune, il procéda à un jeu d’élimination pour déterminer la carte avec laquelle il nommerait son bateau.


Demandez au spectateur de prendre un jeu invisible, de mimer la séparation des cartes rouges et noires dans ses mains et de jeter la moitié qu’il souhaite. Puis de séparer les cartes qui lui reste, par exemple les rouges, en coeur et carreau et de jeter la moitié qu’il souhaite. Alors que les marins jouaient dans la cale, le bateau entra dans une zone de tempête. Désormais, pour chacun des choix du spectateur, vous déchirez une partie du bateau en papier que vous jetez. Demandez-lui de séparer les cartes hautes ou basses et de jeter la partie qu’il veux. Faites de même en jetant le morceau du bateau que vous venez de déchirer. Bâbord ou tribord ? Le jeu continue jusqu’à la carte finale.  C’est a chaque fois le spectateur qui décide lui-même de la moitié qu’il élimine. La procédure est ultra clean. A chaque élimination, vous illustrez ses choix en déchirant une partie du bateau que vous jetez.
Le spectateur se retrouve avec une carte imaginaire et il vous reste un morceau de papier informe.
Evidement le bateau sombra et au petit jour, sur la plage, on retrouva la chemise du capitaine. Joignant le geste à la parole, vous dépliez le papier pour révéler une chemise. Les sauveteurs comprirent qu’il s’agissait du bateau 4 de Coeur. En effet, brodé sur la chemise, se trouvait le nom du bateau. Vous retournez la chemise pour dévoiler le nom de la carte pensée imprimée dessus !

Facile à faire, vous pouvez vous consacrer à vos talents de conteur.
La technique d’élimination est un véritable secret professionnel qui bluffera même les magiciens.
Imprimé sur papier spécial, vous recevrez une quarantaine de petits bateaux.
Idéal pour le table à table, la présentation est interactive pour une à 5 personnes.


Version scène sur commande (150 €)
Expéditions début mars. Tirage limité.
40 € + 5 € de port.
Contact via Messenger

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  • Thomas changed the title to Ho Mon Bateau de Sylvain MIROUF
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A chaud, cela me fait penser à Inferno.

L'idée est amusante. 

Merci pour la découverte 

  • J'aime 1

La bêtise est nettement supérieure à l'intelligence car toute l'intelligence du monde ne permettra jamais de comprendre la bêtise universelle, tandis qu'un peu de bêtise suffit amplement à ne pas comprendre quoi que ce soit d'intelligent.

Philippe Geluck

Extrait de "Et vous, chat va ?"

Publié le
Le 21/02/2024 à 15:17, Jonathan LOUCHART a dit :

J'ai eu cette chance d'assister au tour et je peux vous dire que nous sommes à 1000 lieues du principe d'Inferno de Joshua Jay.

Encore une fois, c'est ultra clean.

Cela pique ma curiosité. Sans dévoiler le secret, peux-tu me confirmer qu'il n'y a aucun calcul à la fin du type : il vous reste trois cartes, comprimées les pour en faire une seule en additionnant leur point. 36 points ok, 3+6 = 9 et c'était bien le 9 de coeur. 

Si c'est vraiment je jette à chaque fois, jusqu'à la dernière carte, sans aucun autre artifice ou calcul alors là je suis bigremment intéressée. 

  • J'aime 1

La bêtise est nettement supérieure à l'intelligence car toute l'intelligence du monde ne permettra jamais de comprendre la bêtise universelle, tandis qu'un peu de bêtise suffit amplement à ne pas comprendre quoi que ce soit d'intelligent.

Philippe Geluck

Extrait de "Et vous, chat va ?"

  • 1 month plus tard...
Publié le

Une très belle bête de Sylvain Mirouf !

Version scène. Vous recevez un magnifique coffret avec fermeture aimantée, à l'intérieur les 40 bateaux déjà pliés et un bateau "préparé" prêt à l'emploi. Une pochette zip avec le matériel nécessaire pour "finaliser" les bateaux. Un livret d'explication de plusieurs pages sous la forme, qu'on lui connait bien, de ses notes de conférence.

Le papier et l'impression sont d’excellentes qualités. Les explications sont claires et détaillées avec des ajouts, des pistes de réflexions pour aller plus loin.

La routine est un assemblage de 2 principes :

- L'origami du bateau : On connait tous cet origami : La chemise du capitaine, mais Sylvain nous propose un origami qui va plus loin que la version d'origine. C'est très malin !

- Une méthode de forçage : Une création de Sylvain Mirouf, un forçage diabolique que vous pourrez utiliser dans d'autre routine,un jeu d'élimination pour arriver à un choix final.

Du très bon, tant sur la forme que sur le fond ! Vous investissez dans un tour mais surtout dans un principe.

  • J'aime 2
Publié le

Bonjour Dominique, la version "normale" est un origami en forme de bateau qui après 3 déchirures, devient une chemise en le dépliant. Visuellement dans le tour de Sylvain on arrive au même résultat, un bateau qui devient une chemise. Sur la chemise est inscrit le nom d'une carte, celle du spectateur. La différence est dans l'association de son forçage et de l'origami "modifié" qui permet une rythmique sans équivoque. En clair, avec la version d'origami "normale" et le forçage de Sylvain il faudrait faire 2 équivoques dans la procédure d'élimination des cartes. Dans la version de Sylvain, on élimine ce que le spectateur veut éliminer.

Publié le

Ca a l'air très malin, effectivement... sans être non plus l'approche du "bon coin"... 

et l'élimination progressive, sans la connaître, dit beaucoup sur la méthode ,

Du grand Sylvain, sans aucun doute...

 

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    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
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