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  • 13 années plus tard...
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Publié le

Bonjour à tous,

Suite à mes publications sur Bizzaremania, on m'a demandé des astuces pour vieillir le papier. Je vous propose un petit tuto (parmi pleins d'autres techniques possibles) pour faire vieillir vos papiers

Vieillir le papier : je choisis plusieurs types de papier, donc des papiers canson, papier 80gr offset, papyrus...J'abime les côtés a grâce à un outils, déchire également quelques parties et les bords. Je les mets dans un plat, avec un papier sulfurisé en dessous, je verse du café soluble dilué dessus, puis je mets quelques "graines" de café sur le papier. J'attends 20 minutes, puis je vides le liquide et passe un peu de papier absorbant  sur les papiers. Attention : les papiers ne doivent pas se coller au départ(pas de superposition). Puis je mets les papiers dans le four à 50-60° 15 minutes.  Une fois le papier sec, je le frotte avec du papier poncé.. Je brule également certaines zones avec un briquet.  Il est possible de terminer en mettant un vernis à bois (chêne doré) sur les papiers

Note : Cette technique n'est pas très adapté avec le papier pelliculé.

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Gilles

  • Thomas changed the title to Faire Vieillir des Documents | références
Publié le (modifié)

Salut, 

Il existe aussi du papier effet ancien pour imprimante ou fait à la main en achat sur le web, ça permet d'avoir des feuilles prêtent pour l'impression, pratique selon la complexité du motif ou texte que tu désires avoir ou imprimer sur ta page. .

IMG_7328.thumb.jpeg.ff0c619f771c84e151827b5caefb66fd.jpeg

https://www.google.com/search?q=papier+vieilli&source=lmns&tbm=shop&bih=808&biw=1745&rlz=1C5CHFA_enFR963FR963&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwi6yueGlJr1AhVF0YUKHf2SC4EQ_AUoAnoECAEQAg

 

Reste que fabriquer son propre papier (avec les différentes techniques ci-dessus) ça permet d'avoir différents rendus et faire cette expérience soit même, c'est plutôt sympa et ça coûte moins cher évidemment.

Bisou

Modifié par Jay Fox
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Ce n'est pas le monde qui est petit, c'est la famille qui est grande.

 

Publié le

Petite astuce en passant : les escargots et les limaces!

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Non ne rigolez pas, cela permet d'obtenir des effets de papier abimé surtout qu'en une nuit avec quelques escargots, on obtient un magnifique effet plus ou moins moucheté, difficile à reproduire à la main. A faire plutôt après la teinture pour que les bords ne se dézingue pas dans le bain, même si les papiers modernes sont plutôt costauds.

Il est possible de contrôler les parties attaquées en plaçant la feuille correctement ou avec un répulsif type cendre répartis sur les parties à protéger.

Pour les fainéants qui ont un jardin, abandonnez vos feuilles sur le sol durant la nuit (ne fonctionne qu'en été), c'est magique.

Quelques exemples sur du papier standard.

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Spécialisé en magie pour nouveaux nés et animaux domestiques.

Publié le
il y a une heure, Fouad OUALI a dit :

Petite astuce en passant : les escargots et les limaces!

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Non ne rigolez pas, cela permet d'obtenir des effets de papier abimé surtout qu'en une nuit avec quelques escargots, on obtient un magnifique effet plus ou moins moucheté, difficile à reproduire à la main. A faire plutôt après la teinture pour que les bords ne se dézingue pas dans le bain, même si les papiers modernes sont plutôt costauds.

Il est possible de contrôler les parties attaquées en plaçant la feuille correctement ou avec un répulsif type cendre répartis sur les parties à protéger.

Pour les fainéants qui ont un jardin, abandonnez vos feuilles sur le sol durant la nuit (ne fonctionne qu'en été), c'est magique.

Quelques exemples sur du papier standard.

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Excellent, on adore, je n’y avais pas pensé! 

Dans ce cas il y a aussi le ver du livre (Lépisme) ou les mites alimentaires, j'ai une copine qui travaille avec ces insectes pour ces pièces artistiques, ces insectes font de très belles formes et de "beaux dégâts".

1485986789_Capturedecran2022-01-06a11_19_27.png.fe48b108afbf4877a5e2c3cd65529395.png1969233949_Capturedecran2022-01-06a11_19_41.png.69741f4dac1a4ee89b852983a660a3b4.png1310165211_Capturedecran2022-01-06a11_19_59.png.64a4857875e679e0699bee2b13995196.png

 


 

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Ce n'est pas le monde qui est petit, c'est la famille qui est grande.

 

Publié le
il y a 4 minutes, Jay Fox a dit :

Excellent, on adore, je n’y avais pas pensé! 

Tu m'étonnes 😄

Même en me creusant la tête sur la question "comment vieillir du papier", j'avoue ne jamais être arrivé à cette solution.

 

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  • 8 months plus tard...
Publié le

Hello ! Comme promis ici

Voici un tuto "Vieillissement papier express 5 minutes" mention peu mieux faire 😉

 

1 - Impression papier 300gr

2 - Émousser les bords avec l'outils violet Scrapbooking

3 - Plier un bord, déchirer legerement les bords avec l'ongle perpendiculairement au papier

4 - Avec un pinceau, colorer les côtés avec du brou de noix ou café moulu

5 - Poncer quelques zones sur l'impression, papier 180gr - attention à ne pas endommager les zones utiles à la routine

 

Pour aller plus loin : La technique café / four 😉

 

 

thumbnail_IMG_5163.jpg

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Gilles

Publié le
Le 06/01/2022 à 11:29, SébastienO a dit :

Même en me creusant la tête sur la question "comment vieillir du papier", j'avoue ne jamais être arrivé à cette solution.

Et pourtant un Japonais avait essayé un truc avec une pastèque qui ne t’avait pas échappé, qui sait si ça ne fait pas vieillir du papier également ?

(Private joke.)

  • 2 weeks plus tard...
Publié le

Je crois que chacun a sa recette 🤪.

La mienne est avec une feuille A4 ou A3, je la froisse d'abord. Je fais chauffer du café et a l'aide d'un pinceau j'applique le Café sur la feuille, et je laisse sécher au soleil (sur la Côte d'Azur, c'est facile 😁) ou bien au sèche cheveux pour les magiciens du NORD 🤣.

Une fois que c'est sec je brule un bouchon et je fais les contours de la feuille.

Voila, rapide et simple, c'est ma recette. Bon appétit 😉.

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Zatanna, la magie au féminin.

https:www.zatanna.pro

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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