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Publié le
Il y a 10 heures, Frédéric (fredv) a dit :

Ah c'est compliqué.

Pourquoi certaines personnes aiment les Renault Alpine alors qu'elles sont absolument pas modernes, que la moindre voiture de 2019 est plus fiable et plus avancée et que leur look ne plait pas à tout le monde ?

La légende, la rareté, l'histoire .. 

On peut parler de la finesse des cartes, de la résistance des cartes, du légendaire fait qu'elles soient restées dans un entrepôt pendant plus de 10 ans et que le produit de finition ait pu durcir, affecter le toucher des cartes, ou surtout du fait qu'elles aient été appréciées par de nombreux magiciens célèbres avant que Dominique Duvivier n'achète tout le stock, fabriquant un manque, faisant indirectement monter le prix.

A mon avis seuls 5% des magiciens qui en ont s'en servent régulièrement ou travaillent mieux avec qu'avec des Bicycle mais, trop tard, ce sont les cartes les plus mythiques du monde magique. Ca ne s'explique pas.

Que DD ait acheté tout le stock, c’est lui qui le dit, ça reste à prouver...

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Publié le (modifié)
Il y a 4 heures, Frédéric (fredv) a dit :

Ah c'est marrant, j'en ai déjà beaucoup entendu sur les JN et DD mais je n'avais jamais entendu ce doute.

 

On est quelques uns à se poser la question, accessoirement au moment ou il les a acheté, soit disant pas chers, ils étaient déjà pas donnés et déjà assez recherchés, alors oui j’ai des doutes et je ne suis pas le seul, même si peu de personnes s’étendent sur le sujet....Contrairement à la légende ce n’est pas lui qui les a popularisés, d’ailleurs ils sont très populaires aux us ou il n’est pas excessivement connu....pour moi c’est plutôt Lee Asher le vrai gros proprio des jerrys...qui d’ailleurs est celui qui a mis DD au parfum selon la légende...

Modifié par David (Gunnm)
Publié le
Il y a 15 heures, Oswin a dit :

Cela en fait dis donc des jeux de cartes chinois de l'EPCC 🤔
Bah oui, l'EPCC a peut être son siège à NY, mais c'est imprimer à Taipei, j'espère me tromper mais la qualité des cartes imprimées par cette société est .... 🤮 J'ai eu des jeux (NOC et j'en passe) de cette marque, et cela a fini généralement avec moi direction la poubelle. J'espère me tromper, car même autant d'argent pour ces jeux, même si c'est des JN, faudrait pas se leurrer. 

En ce qui me concerne, j'ai toujours été un très grand fan du design en lui-même des Jerry's, j'ai toujours cherché à obtenir des reproductions, le problème étant que celles-ci étaient de mauvaise qualité très souvent, je ne les utilisais donc pas au final. Le côté "rare" des Jerry's n'est pas ce que je recherche en achetant ces cartes là (et puis de toute façon je ne performe pas devant des magiciens, donc que j'utilise des Jerrys ou des Tally, les gens s'en branlent) mais bien de performer avec un design que je trouve agréable. 

Et pour répondre à ton message, les cartes sont de très bonne qualité, plus souples que la moyenne, donc  c'est un bonheur de bosser avec et je suis bien content de mon achat 🙂 

 

Publié le (modifié)

Voici un retour comparatif à chaud.

D'un point de vue esthétique, le souci du détail transparait indéniablement. De nombreux petits éléments ont été reproduits, comme par exemple le design caractéristique de l'as de pique ou le découpage du timbre fiscal à l'ancienne. L'édition "vintage feel" bénéficie également d'un rabat allongé du paquet, comme pour les cartes originales.

En ce qui concerne la finition des cartes :

- Les Jerry's Nugget originales

L'aspect "treillis" que l'on peut observer habituellement sur nos cartes, et qui permet de générer les fameux coussins d'air, n'est présent que sur le dos des cartes. Par conséquent, les cartes ont une glisse nettement inférieure à celle des bicycles actuelles. Cependant, comme il y a moins d'air entre les cartes, les LD en sont évidemment facilitées. Le revers de la médaille, c'est qu'il faut travailler davantage en force certaines techniques. Les cartes sont par ailleurs relativement rigides et affichent une bonne résilience.

- L'édition "modern feel"

Imprimée par l'USPCC, apparemment sur un stock Bee (désormais appelé "premium" si mes souvenirs sont bons). Il n'y a évidemment pas grand chose de spécial à en dire, dans la mesure où tout le monde a déjà eu un paquet de bicycle ou de bee en main... Les cartes sont souples (ce qui peut donner l'impression erronée qu'elles sont plus fines), et présentent une très bonne glisse à l'ouverture du paquet (à voir si elle se maintient dans le temps).

- L'édition "vintage feel"

Imprimée cette fois-ci par l'EPCC. Je peux me tromper, mais j'ai le sentiment que la finition est identique à celle de leurs cartes habituelles (Superior Brand, Zen, etc). On retrouve ce touché lisse, un peu "huileux", et une rigidité caractéristique très marquée. Ça ne plait pas à tout le monde, mais il faut tout de même noter une bonne longévité des cartes et des propriétés relativement constantes dans le temps (là où la glisse des bicycles se dégrade bien plus rapidement en comparaison).

Bref, c'est clairement différent du feeling des Jerry's Nugget initiales. A l'usage, on retrouve cependant certaines caractéristiques communes : les LD plus faciles à rentrer, mais tout ce qui requière de la glisse ou de courber les cartes va demander beaucoup plus de force. On notera également que les faros rentrent nettement plus facilement dans un sens que dans l'autre.

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De gauche à droite : Jerry's Nugget originales, Vintage Feel, Modern feel. En zoomant, on peut observer la différence de finition entre ces différentes éditions.

 

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Le jeu des 7 erreurs : le dos d'une Jerry's Nugget à gauche, une Modern Feel à droite. 50 années séparent l'impression de ces deux cartes...

 

 

Modifié par Richard (bathcrew)
  • J'aime 3
Publié le
il y a 19 minutes, David (Gunnm) a dit :

On est quelques uns à se poser la question, accessoirement au moment ou il les a acheté, sois disant pas chers, ils étaient déjà pas donnés et déjà assez recherchés, alors oui j’ai des doutes et je ne suis pas le seul, même si peu de personnes s’étendent sur le sujet....Contrairement à la légende ce n’est pas lui qui les a popularisés, d’ailleurs ils sont très populaires aux us ou il n’est pas excessivement connu....pour moi c’est plutôt Lee Asher le vrai gros proprio des jerrys...qui d’ailleurs est celui qui a mis DD au parfum selon la légende...

Effectivement, les JN sont très populaires depuis longtemps aux USA en raison de leur qualité et aussi, d'après les contacts que j'ai pu avoir, en raison de leur très bas prix du fait qu'ils étaient bradés par le casino dans son Gift shop. J'ai des histoires de certains américains qui allaient tranquillement en acheter une douzaine de temps en temps jusqu'à l'épuisement subit du stock.

DD, fan de Jennings ou de Marlo, ne pouvait pas ne pas avoir envie d'avoir les mêmes jeux et j'ai du mal à croire qu'il ait inventé cette histoire alors que ca coincide bien avec la disparition des cartes en casino et qu'il en a quand même fait un peu sa marque de fabrique.

Pour Lee Asher, c'est un grand collectionneur de cartes également, avec des liens très proches avec les Duvivier à l'époque. Peut être que l'achat du stock s'est fait à quatre mains mais de là à se dire que DD aurait tout inventé, j'ai quand même bien du mal à y croire 🙂    Je vais lui demander histoire d'avoir une idée un peu plus claire sur le sujet 🙂

  • Merci 1
Publié le
il y a 4 minutes, Frédéric (fredv) a dit :

Pour Lee Asher, c'est un grand collectionneur de cartes également, avec des liens très proches avec les Duvivier à l'époque. Peut être que l'achat du stock s'est fait à quatre mains mais de là à se dire que DD aurait tout inventé, j'ai quand même bien du mal à y croire 🙂    Je vais lui demander histoire d'avoir une idée un peu plus claire sur le sujet 🙂

De mémoire, il me semble que Lee Asher avait confié avoir récupéré des jeux que Duvivier lui avait donnés.

Quoi qu'il en soit, il est certain que Divivier en possède un stock très important. Il y a quelques années, à une époque où les contrefaçons ne fleurissaient pas encore sur le net, il présentait un tour en conf avec un jeu truqué bidouillé à partir... de 52 huit de pique identiques en Jerry's... !

Publié le
Il y a 4 heures, Richard (bathcrew) a dit :

De mémoire, il me semble que Lee Asher avait confié avoir récupéré des jeux que Duvivier lui avait donnés.

Quoi qu'il en soit, il est certain que Divivier en possède un stock très important. Il y a quelques années, à une époque où les contrefaçons ne fleurissaient pas encore sur le net, il présentait un tour en conf avec un jeu truqué bidouillé à partir... de 52 huit de pique identiques en Jerry's... !

Ok, il en a au moins 52 🤪

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    • Qu’est-ce que The Age of Disclosure, le documentaire qui dévoile des secrets sur les ovnis ? Dan Farah souhaite révéler au grand public des dissimulations vieilles de 80 ans. C’est une question qu’on s’est tous posée au moins une fois : sommes-nous seuls dans l’univers ? Si Dan Farah tente de convaincre dans son documentaire The Age of Disclosure (l’âge de la divulgation) que les ovnis sont bien à prendre au sérieux, il souhaite avant tout éveiller les consciences sur les différentes dissimulations mises en place par le gouvernement des États-Unis.  https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Qu-est-ce-que-The-Age-of-Disclosure-le-documentaire-qui-devoile-des-secrets-sur-les-ovnis-
    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
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