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Publié le (modifié)

Bonjour,

Certes Christian est peut-être trop pointilleux mais il a poussé le vice à l'extrême pour probablement te faire passer un message basique important et c'est cela qu'il faut retenir:

tu n'as pas sorti un cahier de notes noir et blanc relié à la "va-comme-je-te-pousse" comme une époque plus lointaine a pu connaitre dans la magie. Ce ne sont pas de simples notes de conf'!

De ce fait, il te faut un minimum être plus rigoureux par respect pour toi-même, ton travail, tes lecteurs, tes clients...

Rien qu'aujourd'hui, me demandant si j'allais commander the Diabolic Deck, j'ai rouvert Secret Mental pour aller au chapitre de cette merveille...

et là....sans méchanceté aucune, mes yeux ont vraiment saigné!

p70: "J'expliquerais....je terminerais...." c'est la base du futur simple à la première personne du singulier...c'est digne de la fin de primaire :(

"La totalité des cartes sont mélangées." Heu, y a pas comme quelque chose qui grince là?

p76: "dans l'une de ces poches..." tu désignes quoi comme poche? bref, bref...encore une faute élémentaire...

Sans parler de tous ces paragraphes qui sont écrits "à la bonne franquette" c'est-à-dire assez maladroitement et plutôt posés sur le papier comme on parle mais pas comme on écrit...

Voilà, c'est juste dommage car cela fait perdre de sa superbe à ton talent et à tes produits. Et il te faut absolument améliorer ce point là qui peut vite (mais ça se voit) offusquer certains de tes lecteurs!

A part cela, tu es un grand penseur de notre belle magie et un très généreux professeur de ton propre talent ;)

Continue ainsi! (les fautes basiques en moins)

Modifié par radlabo
  • Merci 1

Je vais jusqu'où je suis. Je n'y suis pas encore.

 - Je suis plus intelligent que vous, Laissez-moi vous fournir un exemple... Pensez à un chiffre, n'importe lequel
- Euh, cinq  ...
- Faux. Vous voyez ?
mdr

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Publié le

Dis-moi, Steeve. J'ai bien reçu le livre et ton DD est intéressant (j'avoue que créditer Vincent Hedan, qui a quand même remis le ME au goût du jour, aurait été pas mal), mais moi aussi, j'ai été chiffonné par les fautes d'orthographe.

Pourquoi ne pas l'avoir fait publier par un éditeur français dont la qualité des ouvrages est reconnue ? Je sais que cela était initialement prévu puisque -de par mon intérêt pour de tels projets- je devais faire partie de l'équipe de relecture.

PS : personne n'a souligné le "Diabiloc Deck" (au lieu de diabolic) sur la page "sources") ? C'est un exemple flagrant de coquille, illustrant le fait qu'il importe d'avoir plusieurs relecteurs sur un ouvrage.

  • J'aime 1

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

Publié le (modifié)

Effectivement, après vérification, j'ai dû sauter cette page. Autant (ou au temps) pour moi. Bon... j'avoue que, comme un idiot, je pensais que dans une rubrique "sources", il était courant d'y inclure toutes les sources, d'autant plus que tu y citais le Multi-Effet sans plus de précisions. ;)

Pour le reste, je suis navré et loin de moi l'idée de polémiquer, mais comme plusieurs VMistes disent qu'il eût été préférable de passer par un éditeur, je pense que cela fait partie du sujet. Cela n'est que mon avis.

Toutefois, merci de partager ainsi ton travail avec la communauté magique. Tout le monde ne le fait pas et déjà, cela est à souligner... Alors si, de plus, ce partage se fait sous la forme d'un bel ouvrage bien mis en page, comme un écrin dévoilerait son bijou...

C' est en ce sens que les critiques arrivent. Du moins je le crois. Non pour démolir ton travail.

Modifié par tanhouarn
  • J'aime 1

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

Publié le
Même le meilleur des auteurs ou relecteurs fera des erreurs et les laissera passer, c'est normal, il est humain. J'en veux pour preuve un immense monsieur pour lequel j'ai eu l'honneur de travailler.

C'est vrai que je suis assez grand... mdr

Hein ? Quoi ? J'ai jamais rien écrit ? Probable, mais ça m'a pas empêcher d'y glisser quelques fautes...

Pour te repondre rapidement Vincent est credité dans la partie "Le grand final" ;)

Le "Grand Finale", tu veux dire ?

Haaaaaaal !!! ;)

  • Haha 1

David

mnemonaute_tn.jpg

Publié le

Non Tanhouarn, la question se savoir pourquoi je ne suis pas passé par un éditeur traditionnel à sa place ici ;) mais ma réponse n'a pas sa place :)

Je viens de t'informer de la raison en MP ;)

Concernant les sources, vous remarquerez que j'ai indiqué les vrais sources du jeu ME concernant, celles qui m'ont véritablement permis d'arriver au Diabolic deck. De plus, Vincent n'est pas le créateur du Multi-effet et lors de la création de mon jeu je ne connaissais pas son livre.

Par contre j'ai trouvé logiquement d'indiquer son livre dans le chapitre relatif au multi-effet ;)

Amicalement,

Steeve

received_10156857828455650.jpeg

Publié le

Pouf pouf :

On voit beaucoup de réaction sur la forme, mais pas trop sur le fond :

Vous êtes tous en train de lire et de jouer avec des autocollants ? ;)

Pour le kit ou pas kit, effectivement la question avait été posée :

Je trouve que le kit vous laisse libre de faire votre diabolik.

Si on applique le principe du diabolik à son chapelet préféré, par exemple, on peut faire pas mal de choses…

Du coup, comme chacun a son chapelet préféré, un kit est plus ouvert comme solution, non ?

A noter qu’on peut aussi faire du diabolique avec autre chose que le « Wild », après tout, ce n’est pas une limitation (même si le « wild » est pratique…)

Perso, je ne peux parler du livre, je ne l’ai pas encore commandé, budget explosé et pile de lecture en retard menaçant de s’effondrer…

Mais connaissant le principe par ce qui en était dit dans « secret mental », et pratiquant par ailleurs le ME, je suis intéressé par vos réactions globales…

Gilbus.

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

On a compris , il y a des fautes d’orthographe.

Ca ne change en rien la qualité du contenu du livre!

Je connais des livres de magie sans fautes mais par contre pas aussi bons...

Quand j'ai dit que j'aurai préféré recevoir le jeu fini c'est perso et ça ne change en rien la qualité du produit!

Question prix Mr Girard, votre amie connait-elle le milieu de la magie ?

Le prix est pour le livre, le jeu et ce qui va avec, les idées etc...

C'est sur que si on compare à un roman le prix est cher mais c'est pas comparable...

Après vous saviez plus ou moins à quoi vous attendre en achetant le livre donc perso le prix ne me dérange pas.

Ce que je trouve génial c'est qu'aujourd'hui il est abordable à n'importe qui de publier un livre/dvd s'il a du talent.

Les critiques sont toujours intéressante mais là c'est de l'acharnement.

Revenons au sujet intéressant qui le le contenu du livre, des effets et non au reste (malgré les fautes le livre est très bien présenté!)

Publié le

Si on compare avec les productions MdT, MD ou de Frantz, ben y'a pas de fautes (même s'ils sont pour beaucoup traduit en plus), et ils sont pas plus chers (et c'est un euphémisme)...

Demander à des potes de corriger, c'est bien gentil, mais ca le fait pour un pdf, pas pour un livre.

Un magiciens se sous-vend sous prétexte qu'il est amateur, et on va le défoncer, mais qu'on fasse faire les corrections par les copains plutôt que par un pro (voir les messages d'Isidore pour voir la différence), ca devrait pas être choquant?

Encore un détail: à 60€ le bouquin, c'est pas du partage, c'est du commerce. C'est pas forcément un mal, mais faut être clair.

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  • Merci 1

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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