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Publié le

Bonjour,

Comme beaucoup ici je suis "amateur" (dans le sens ou mes revenus viennent d'une autre source), mais je me suis déjà produit, notament au chapeau.

Je vais faire ma première prestation "avec cachet" et j'aimerais savoir comment faire dans les règles.

En parcourant le forum j'ai vu qu'il existait le GUSO (c'est assez flou pour moi) ou d'autres statuts.

Ma question est simple : le genre de prestation que je compte faire restera (pour le moment) rare.

Je ne compte pas avoir un statut officiel d'artiste, d'intermitant ou d'auto entrepreneur.

Quelle est la meilleure solution pour officialiser une prestation d'une soirée ?

Merci  

"La véritable réalité est toujours irréaliste" F. KAFKA

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Publié le (modifié)

GUSO,

tu es salarié comme un jardinier en emploi à domicile (chèque emploi service)

Donc juste une inscription, et si tu t'occupe de tout, si il n'est pas déjà inscrit comme employeur, tu inscrit ton futur employeur avec lui sur internet, c'est vite fait.

Si c'est un institutionnel, mairie etc, il doivent aussi avoir déjà utilisé le système.

Et si tu remplis les papiers tu lui demandes seulement 2 chèques, un pour toi, et un pour le GUSO (la part sécu retraite etc...). Tu envoies le chèque avec les papiers signés au GUSO.

Attention que la totalité des 2 chèques correspondent au devis que tu lui as fait, donc ce que tu touches c'est moins important que le prix annoncé.

Il faut absolument s'inscrire avant la prestation. (Sur internet)

Pour la part vacances tu l'inclus dans ta part puisque tu ne vas pas faire beaucoup de prestations.

Si tu fais une recherche sur VM il y plein d'explications, le spécialiste c'est @Teddy il répond facilement aux questions.

 

Modifié par claudemage
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Publié le

Hello MENTH. :)

Je plussoie totalement, le Guso est tout indiqué, simple facile d'utilisation, rapide ;)

Quelques clics et le tour est joué (HA HA HA MON DIEU JE M'AIME) ;)

Amic'

 

J'aime la magie, l'Art Magique, la chose bien faite ... vous aussi ? 

Publié le

Salut les amis . 

Menth , le GUSO n'est pas un statut mais une methode pour payer les charges sociales . Il n'est pas réservé aux intermittents , mais à tout artiste ou technicien effectuant une prestation . C'est relativement clair et facile , surtout si ton employeur est deja inscrit au GUSO ( il connaitra la demarche à effectuer) 

 

Tu as aussi le "cheque intermittent" qui est un derivé du GUSO , tu as aussi la possibilité de passer par un producteur de spectacle certes plus cher mais c'est lui qui fait les demarches . 

Je déconseille FORTEMENT le statut d'autoentrepreneur qui te permettrai de "facturer" tes prestations , car pour un artiste , il doit s'inscrire au Registre du Commerce et posseder la licence d'entrepreneur de spectacle 

Dernier point : pour te faire regler SURTOUT ne pas faire de FACTURE mais un mémoire de reglement !!! 

Publié le

C'est tres simple  . C'est comme une facture  SANS le terme facture (Eh oui je sais c'est idiot mais c'est toute l'ambiguité de" notre belle administration française !! Il faut d'ailleurs savoir que le tresor public régle bien les "memoires de reglement"  donc si une asso , une mairie, une administra  insiste vous leur dite bien que vous leur faite ce "mempire de rglement" 

Il mentionne Nom de la structure ( mairie asso ect) et adresse  . Nom et adresse du responsable decette structure , jour et lieu ou vous avez travaillé . Votre nom prenom adresse .  Montant à regler en chiffre et en lettre, modalité de reglement ( Mandat adm, cheque, virement)   éventuellement un numero de bon de comman de si vous en avez reçu un du commanditaire . Date et signature . 

A savoir aussi que ce memoire peut etre rédigé à la main ( SANS ratures) 

Publié le

Bonsoir Teddy, j'avais acheté vos notes de conférence sur le sujet. Mais sur le mémoire quelles sommes indique t-on : le salaire net que l'on perçoit, le montant à payer au Guso, les deux ?

merci pour vos réponses et si je pouvais avoir un modèle en MP. ce serait super sympa.

  • 3 weeks plus tard...
Publié le

Bonjour,

Je souhaite faire des prestations en close up et vendre des tours avec accessoires de magie pour enfants sur des marchés estivales en étant à mon compte. Quel sera mon statut pour chacune de ces activités? GUSO me parait être le moyen le plus adapté. Dans ce cadre là,  quel sera mon statut? un organisme de financement me demande ces précisions.

Publié le

Le GUSO  n'est pas adapté pour une activité de vente. C'est un statut de salarié.

Pour la vente, toutes les structure commerciales conviennent, en restant modeste ;)

Ton statut pour cette activité dépend de sa forme et du poste que tu va y assumer. Tu peut être salarié de la structure, ou dirigeant.

Pour une très petite structure, tu peux par exemple être auto-entrepreneur...

Mais pour la partie spectacle, sans gruger, le GUSO semble le mieux...

Gilbus

 

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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    • Certains tours de pièces peuvent être adapté aux pierres, je pense (pierre sous la table, disparition, réapparition, change de couleurs)  Et il y a pleins de principe en mentalisme comme ceux où l'on déplace des gobelets, pièces, runes... Le tour "the stone" de Doosung Hwang Peut-être dans ces livres que je ne connais pas : - Lucas Volpé - Mentalisme Émotionnel - Bizarremania de Fantomas - tour les pierres de vie Et voici des liens en plus de celui sur les 7 pierres du nils de Gwen Aduh Bonne lecture et au plaisir d'échanger sur ta future réalisation, car je cherche moi aussi @Alexis DUDZIAK m'a donné envie de créer ma propre routine avec des pierres 😉
    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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