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Publié le

Merci de vos réponses!

Je n'utilise aucune gaff, rien d'autre que le jeu, donc ça devrait pas poser de problème de compatibilité ^^
Je vais donc essayer les Phoenix! De toute façon à la vitesse ou j'utilise les jeux je serais bon pour revenir sur les tally ho dans pas longtemps si je suis pas satisfait... :) 

  • 1 month plus tard...
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Publié le

Une recherche sur les stacks m'a fait découvrir le message suivant sur un forum de magie US... pour ceux qui ont un jeu phoenix merci de confirmer ou infirmer l'info

" This is definitely common knowledge, but in case anyone doesn't know, pheonix decks come with these ingeniously camouflaged cheat sheets for the aronson and tamariz decks. The sheets give you a quick reference for both the card by number, or the number by card. I mean it's definitely no substitute for actually learning the stack, but man talk about a cool feature!"

Publié le

Merci pour le partage. Je reconnais le début du mnemonica et je présume que la suite est dissimulée dans une grille au dos. 

Pour l'utilité il faudrait voir (outre le fait que même en connaissant le chapelet il est utile de disposer d'un tableau pour ranger rapidement les cartes). Peut être les spectateurs moldus ne sont ils pas interpellés par cette liste de cartes mais il est certain que rien ne vaut l'apprentissage par coeur pour être parfaitement discret...

Par contre l'utilisation du jeu Boris wild avec le stack se révèle une arme particulièrement puissante (été un filet de sécurité ) qui me semble vraiment digne d'intérêt et d'investigation. 

Publié le
Il y a 3 heures, Chrisparis75 a dit :

Merci pour le partage. Je reconnais le début du mnemonica et je présume que la suite est dissimulée dans une grille au dos.  

Il me semble que la suite du mnemonica n'est pas dissimulée bien loin sur cette seule face... ;) 

We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

Publié le
Il y a 4 heures, Chrisparis75 a dit :

Pour l'utilité il faudrait voir (outre le fait que même en connaissant le chapelet il est utile de disposer d'un tableau pour ranger rapidement les cartes). Peut être les spectateurs moldus ne sont ils pas interpellés par cette liste de cartes

C'est avant tout un argument de vente de Card-shark mais qui n'a pas trop d'intérêt comme je le disais auparavant. Une fois la période d'apprentissage passée, tu n'as pas besoin de repère pour remonter ton chapelet. Et si ça doit se faire devant des spectateurs et que tu ne le connais pas ... y a un problème :-D

L'un des autres arguments de Card-Shark c'est de pouvoir d'avoir un complice en impromptu. Bon, peut-être mais ca m'a pas convaincu non plus.

Publié le (modifié)
il y a 55 minutes, TanMai a dit :

Il me semble que la suite du mnemonica n'est pas dissimulée bien loin sur cette seule face... ;) 

Ça a un côté "La lettre volée", cette "dissimulation non dissimulée"...;)

Modifié par If....

Un endroit où la main de l'homme n'a jamais mis le pied... (Alphonse Allais)

  • 5 années plus tard...
Publié le
Le 11/12/2017 à 21:09, Jean-Jacques MEYER (Edler) a dit :

Mon intention n’est absolument pas de polémiquer sur les qualités et les défauts des cartes Bicycle et Phoenix, chacun étant libre de préférer les unes ou les autres.
Mais, à titre uniquement d’information, voici ce que dit Card-Shark à propos de ces cartes (je ne juge pas, je me contente de répéter ses propos) :

"Les cartes Phoenix Master Edition sont imprimées, tout comme les Bicycle, par US Playing Card Company. Les Bicycle en qualité Supermarché, les Phoenix en qualité Casino, qui est la plus haute qualité que peut imprimer l’US Playing Card Company.

Les cartes Bicycle sont destinées aux joueurs de Poker et peuvent être utilisées par les magiciens.
Les cartes Phoenix sont destinées aux magiciens et peuvent être utilisées par les joueurs de Poker (je doute un peu sur ce dernier point, car étant orientées de dos comme de face, elles pourraient faciliter des tricheries).

Mais le plus important reste que depuis 2010 la politique de l’US Playing Card Company a changé pour les magiciens :

-          plus de cartes truquées pour lesquelles le design du dos, des Joker ou des As de Pique  serait modifié ;
-          plus de cartes Jumbo (celles qui sont encore imprimées étant de mauvaise qualité) ;
-          plus de cartes blanches, à double dos ou à double face ;
-          plus de jeux marqués, de Twilight Angels (effet de Paul Harris)…
-          un nouveau design pour l’étui, qui ne montre pas le dessin exact du dos d’une carte au dos de l’étui, mais des différences importantes comme un tracé moins net, la taille différente des petits anges aux quatre coins et des couleurs différentes."

C’est juste pour expliquer la raison de la naissance des cartes Phoenix, d’après Card-Shark.

Cela dit, on continue de trouver des cartes Bicycle blanches, à double dos, à double face et des jeux marqués (Ultimate). Des anciens stocks ? Des impressions effectuées ailleurs ? Un changement de politique de la part de USPCC ? Avec une qualité réduite ?

Bonjour

J'ai lu dans un des sujets sur les cartes Phoenix ( mais ayant beaucoup navigué je ne le retrouve pas) que pour un même jeu de carte,  la qualité de la coupe varie selon l'endroit où il est acheté. De mémoire le message du collègue disait que par exemple les jeux vendus chez "Card-Shark" avaient les bords de meilleure qualité car ils exigent que la lame soit changée après la coupe d'un nombre limité de cartes. Ce qui laissait entendre que ceux vendus ailleurs ne bénéficient pas de ce privilège, que le nombre de cartes coupées avec une même lame est largement supérieur et que de fait la qualité de la coupe s'en ressent. Est-ce vrai ou est-ce du fantasme collectif?

Bonne soirée

Philippe

Philippe 

  • 5 months plus tard...
Publié le (modifié)

Bonjour, 

A l'unité, je ne sais pas si une boutique en vend, mais il existe un "Gaff Deck" Phoenix, décliné en index normaux et "large" index contenant entre autres :

  • 26 cartes Doubles-faces
  • 4 cartes Double-dos Bicycle/Phoenix
  • 3 cartes Dos Rouges/Faces Blanches
  • 3 cartes Dos Bleus/Faces Blanches
  • 4 cartes Double Dos Rouge/Rouge
  • 4 cartes Double Dos Bleu/Bleu
  • 4 cartes Double Dos Rouge/Bleu

Xavier.

Modifié par Xavier ROUZAUD
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  • Messages

    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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