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… Et pour rendre hommage à Eugène Burger qui vient de nous quitter il y a quelques jours : 

Ce sont finalement les magiciens qui ont rapetissé cet art « intense et profond » qu’est la magie. La magie est un divertissement, certes, mais elle est aussi quelque chose de plus comme cela est démontré magistralement dans Magic & Meaning.

Le pire c’est que la plupart des magiciens sont entièrement d’accord (intellectuellement) avec cette vision des choses quand tu leur en parles.

 

il y a 26 minutes, HREJ a dit :

Et surtout la magie est-elle un art aussi puissant que la musique, la danse, la peinture ...

En gros comme le disant Gainsbourg à propos de la chanson n'est-elle pas un art mineur ?.

Cette question (y compris le clash Serge Gainsbourg / Guy Béart auquel tu fais allusion à propos d'art majeur / art mineur) a été abordée dans le fil sur l'illusionnisme ne sert-il qu'à divertir ... provoquant d'ailleurs un autre clash sur ce même fil.  :D

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Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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Publié le

Le fait de se lancer dans d’autres domaines (sculpture, graphisme, expos…) que le spectacle vivant peut être intéressant, c'est une autre façon d’utiliser le savoir ou les idées de l’illusionnisme.

Est-ce encore de l’illusionnisme, tout dépend de la définition qu’on met sur ce mot.

 

Mais même en spectacle vivant, ce qui semble évident, c’est qu’il n’y a pas qu’une façon de pratiquer l’illusionnisme.

Y a-t-il une « magie pure » ?

Dans tous les numéros, même ceux ayant l’illusion pour seul but, on trouve toujours une part de gestion du public, de psychologie, d’esthétisme visuel, de mise en scène, ou d’autres choses…

Certes, on peut dire que cela fait partie intégrante de l’illusionnisme, mais dans ce cas, ou est la limite ?

Ensuite, il y a effectivement les cas où, visiblement, il y a un mélange de disciplines assumé :

Avec du conte, de la danse, de l’ethnologie réelle ou inventée, du mime, de la marionnette, de la jonglerie, du théâtre, ou n’importe quoi, en fait, y compris les choses les plus dérisoires ou les plus pointues.

Ce mélange des disciplines est dans l’air du temps, mais cela n’enlève rien à ceux qui font de la magie seule, sauf à proposer autre chose au public, et donc élargir le public.

Évidemment, le risque est l’effet de mode :

Suivant les moments, certains voudraient rapidement être mentaliste, hypnotiseur, occultiste, jongleur ou conteur.

Bon, dans certains cas, on voit bien que ce n’est pas si simple :

Marier de la magie et de la jonglerie demande à savoir jongler, et si on ne sait pas, non seulement il faudra du temps pour apprendre, mais le faire mal se verra de façon évidente.

Par contre, on a le risque que sous la pression de la mode, certains prennent à la légère ce qui demande normalement des années à se mettre en place :

C’est le « tout, tout de suite » pour ces disciplines « complémentaires », tout comme certains veulent faire de la magie sitôt le truc sorti de sa boite.

Dans le domaine du conte, par exemple, n’importe qui peut raconter une histoire.

La raconter bien peut demander un peu plus de temps.

La raconter et intéresser le public, cela demande encore plus de temps.

Quant à la raconter tout en la mêlant à de l’illusionnisme, c’est encore une autre étape.

Cela ne se fait pas en un jour, ni même en deux (anti-pub pour mes stages d’octobre… ;) )

Mais cela peut s’apprendre, tout en demandant du travail, mais c’est faisable (bon, la, OK, c’est une pub… :) )

 

Et on retrouve cela dans bon nombre de disciplines, qui demandent à être maitrisées, pour être mariées à la magie.

En fait, tout demande un apprentissage, y compris à l’intérieur de la magie :

Ce n’est pas en ne faisant que des cartes qu’on saura faire des balles Excelsior…

Chaque chose demande du travail, et ce n’est pas parce qu’on sait parler qu’on est conteur, ce n’est pas parce qu’on a un objet ancien qu’on sait faire de la magie bizarre…

Le tout n’est pas de faire des choses différentes, mais de les faire avec talent.

Et pour le coup, Tabary, Chelman, Xavier Mortimer, Raphaël Navarro, Claude de Piante ou d’autres nous donnent de bon exemples…

Au boulot !

Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

OK pour le mélange des genre Gilbus mais ma question est plutôt:

A votre avis l'illusionnisme peut-il aborder des problèmes de société comme le permet la peinture avec Guernica de Picasso, par exemple, l'écriture avec un roman d'Emile Zola ou une interprétation du lac des cygnes par Noureev.

La magie nous permet-elle cela ?

En quelque sorte la phrase"La magie est quand l'âme agit" n'est-elle que de la poudre de perlimpinpin aux yeux et notre art est-il plutôt limité pour aborder certains sujets ?

Mais Shiva a peut-être répondu avec :

il y a 36 minutes, Shiva a dit :

Ce sont finalement les magiciens qui ont rapetissé cet art « intense et profond » qu’est la magie. La magie est un divertissement, certes, mais elle est aussi quelque chose de plus comme cela est démontré magistralement dans Magic & Meaning.

 

Si Dieu existe j'espère qu'il a une bonne excuse.

Woody Allen

Publié le (modifié)
il y a 28 minutes, HREJ a dit :

A votre avis l'illusionnisme peut-il aborder des problèmes de société comme le permet la peinture avec Guernica de Picasso, par exemple, l'écriture avec un roman d'Emile Zola ou une interprétation du lac des cygnes par Noureev.

Oui, clairement (selon moi). La magie est dans sa forme la plus basique, une façon de célébrer la fragilité/les faiblesses de l'être humain. C'est déjà une sacré thème de société. Central, même. Après, l'analogie permet d'élargir les thèmes abordés. 
La où le bas blesse, c'est que la performance magique n'a, pour le moment, pas vocation à être étudiée, décortiquée (au delà du "comment"), en matière de thèmes, de structure, de courant, d'influences... À part, par les magiciens, eux-mêmes. 
C'est un peu comme si on disait de Germinal: "sympa, mais c'est juste un conte, les personnages sont pas réels, c'est un mec qui les a inventé" ou "facile, il a utilisé mon empathie pour me faire ressentir des trucs!". 
 


 

Modifié par munky
  • J'aime 2
Publié le
il y a 14 minutes, munky a dit :

"facile, il a utilisé mon empathie pour me faire ressentir des trucs!". 

 :D Oui très bon ça !

Mais alors pourquoi la magie échappe-t-elle à cette règle de ne pas être étudiée et analysée par le public qui en reste au "comment ?" de la chose :(

Est-ce la magie ou le magicien qui est en cause ?

Si Dieu existe j'espère qu'il a une bonne excuse.

Woody Allen

Publié le
il y a 2 minutes, Andy Scott a dit :

Oui !
Sans s'appeler Émile Zola, Picasso, Noureev etc..., dès lors que nous abordons la Discipline comme un Véhicule d'Émotions, nous pouvons être des Passeurs.

Je pense au fond de moi que tu as raison mais pour l'instant je ne vois pas encore cette dimension dans les prestations de magiciens.

Je pensais donc que c'était ce blocage qui orientait certains vers d'autres formes d'expression.

Si Dieu existe j'espère qu'il a une bonne excuse.

Woody Allen

Publié le
Le 11/08/2017 à 11:37, Andy Scott a dit :

LE Performeur.

Seulement !

Tiens j'en profite pour poser une question à toute la communauté ( Enfin à ceux qui voudront y répondre :|) :

Qui d'entre vous a réussi, un jour, à faire naître des larmes d'émotion dans les yeux d'un de ses spectateurs ?

Si Dieu existe j'espère qu'il a une bonne excuse.

Woody Allen

Publié le (modifié)
il y a 53 minutes, HREJ a dit :

 :D Oui très bon ça !

Mais alors pourquoi la magie échappe-t-elle à cette règle de ne pas être étudiée et analysée par le public qui en reste au "comment ?" de la chose :(

Est-ce la magie ou le magicien qui est en cause ?

Bon, là encore, ça va juste être mon avis personnel. 

Nous passons beaucoup de temps à nous demander si notre discipline est un art ou non, s'il vaut mieux se pencher vers une magie conté ou une approche plus épurée, ou plus simplement, quelle histoire nous voulons raconter. Nous, nous, nous. 

Il me semble que nous ne nous penchons pas assez sur les vrais compteurs: les spectateurs. Au final, ce seront eux qui transmettront l'histoire de ce qu'ils ont vécu, qui réorganiseront un expérience en une anecdote qu'ils raconteront, d'abord à eux même, puis, peut être aux autres. 
Vu comme ça, tout tour est une histoire, même un tour muet, même un tour raté. 

Un exemple simple. Si on pose la question à la plupart des magiciens du pourquoi ils se sont intéressés à la magie, la grande majorité aura une histoire d'une expérience qu'ils ont vécu. 
Une histoire qu'ils se sont racontés à eux même, qu'ils ont peaufiné pour la rendre intéressante une fois verbalisée. 

Et je pense que, pour nous faire rejoindre le club des inadaptés sociaux qui balancent leur argent par les fenêtres et qui s'insultent sur les forums, ça devait être une sacrément bonne histoire! 
Et la plupart du temps, le magicien à l'origine de l'expérience n'était même pas à la hauteur de l'histoire qu'il a créé (hein pépé!)

Il a peut être juste pressé les bons boutons sans le savoir (ça se serait bon pour nous). Ou alors, le hasard a créé cette situation mémorable (moins bon pour nous).
Selon moi, les deux propositions sont exactes. 

Je me suis refait "Our Magic" y a pas si longtemps. C'est 1h30 de magiciens qui racontent l'histoire d'une expérience hors du commun qui les a fait basculer. Certaines me donnent des frissons (celle de Max Maven en particulier, courte mais si puissante). Intéressant à analyser. 



Si je montre Guernica a une personne qui n'a jamais vraiment eu l'expérience (en terme de vécu, pas de pratique) de la peinture, il y a une infime chance qu'il se sente transcendé, et une grande chance qu'il ne voit qu'un gribouillis, ou un truc qu'un gamin de 5 ans aurait pu faire. 

La majorité des spectateurs n'a jamais vu de magie en vrai. Pour la plupart c'est leur première expérience. Ils ne savent pas quoi en faire, quoi en dire, si ils sont sensés être content ou énervés de s'être fait dupés.
"Est ce qu'il se fout de ma gueule?
Est ce qu'il veut montrer qu'il est meilleur que moi?
Qu'est ce qu'il vient de se passer? "

Sauf qu'à la différence d'un peintre, ou d'un réalisateur, nous pouvons faire le service après vente (ou pré-vente, ou en-vente...). On est face aux spectateurs. On peut pointer ce qui devrait les intéresser, on peut les aider à monter leur scénario de l'histoire qu'ils se raconteront plus tard. 

Et je pense que ça nous échappe un peu, parce qu'on passe nos journées à regarder de la magie, ou à nous regarder nous-mêmes (magiciens). Pour nous c'est évident, la façon dont nous devons réagir, c'est évident que c'est pas réel, ou que c'est un art, ou que ça doit être analysé... Bref, c'est évident. 

Mais pas pour eux.

(Wow! V'la le pavé. Désolé...)
 

Modifié par munky
Publié le

Un autre domaine qui a subit une mutation récemment, c'est le jeu vidéo. 

Avant c'était des lignes de codes et le but c'était de faire des points, ou d'arriver au bout.

Maintenant on s'émerveille devant un Journey ou devant un Last Guardian. On parle de poésie, de "méta" et les game designers sont devenus des artistes à part entière (bon, comme dans toute forme d'art, on se touche aussi pas mal la nouille).
Et rétrospectivement, on analyse le game design de super mario bros, et on s'émerveille devant le génie de ce jeu qui peut se résumer par "c'est débile, c'est un plombier qui saute sur des champis". 

Mais pour le joueur de Candy Crush qui n'a jamais croisé ce genre de jeux, le jeu vidéo c'est toujours un loisir de décérébrés, idiot, voir dangereux, dans lequel on tue des gens. 

Avec un peu de pédagogie, on peut tenter de réduire l'écart entre les deux points de vue. 

Publié le (modifié)
il y a 25 minutes, munky a dit :

(Wow! V'la le pavé. Désolé...)

Pas grave sous le pavé la plage ! :D (Référence Mai 68 pour les jeunes )

Oui tu ouvres un autre espace dans la réflexion, je m'étais fait, un jour, une idée très séduisante sur un tableau de Dali ...Sauf que c'était tout à fait à côté :|

N'empêche que l'espace de ma réflexion j'étais tout heureux d'avoir ressenti des choses que,finalement, le peintre n'avait jamais eu l'intention de mettre :/

Sans doute qu'une oeuvre, un acte de magie, qui rentre en résonance et qui fait vivre une expérience à son public a-t-elle rempli son rôle. Quelle qu'en est été la perception biaisée ou pas

Modifié par HREJ

Si Dieu existe j'espère qu'il a une bonne excuse.

Woody Allen

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    • Quand deux grands magiciens s'associent pour faire un chocolat, ça ne peut être que bon : (Wolfgang MÖSER & David ROTH) Vous trouverez ces tablettes chez ALDI et...oui, je le trouve vraiment bon. A déguster avec modération devant un dvd de l'un de ses "créateurs".
    • Autre détail : si tu confies le briquet à un spectateur et garde donc les aimants entre pouce et index, tu vas sans doute me demander comment je les remet sur le briquet pour la table suivante (en se plaçant dans la situation ou, comme moi, tu vas de table en table). Il faut que je précise que jusqu'à présent j'utilise un porte-monnaie avec des petits morceaux de papier flash dedans et un mouchoir en papier. Ce porte-monnaie est initialement dans ma poche extérieure gauche de veste avec le boulon dedans et les morceaux de papier flash (rectangulaires, à peine plus longs que le boulon et une position debout/couchée alternée, à angles droits les uns par rapport aux autres si vous préférez). Le mouchoir en papier est dans ma pochette (c'est le nom de la petite poche extérieure, de face, sur une veste). Le briquet équipé de ses aimants est dans la poche à briquet (c'est la poche intérieure gauche, en bas d'une veste qui s'appelle ainsi). 1ère table : je sors le porte-monnaie que je pose sur la table ou dans la main d'un spectateur e lui disant "résistez à l'envie de voir tout de suite ce qu'il y a dedans, je vais vous le montrer dans 30s" puis le briquet. Je fais cela pour éviter tout contact malencontreux entre le porte-monnaie et le briquet. Je demande au spectateur d'ouvrir le porte monnaie vers moi pour garder le mystère jusqu'au bout, je prend le boulon et un morceau de papier flash avec ma main gauche (j'arrive à en prendre un seul grâce au positionnement alterné des morceaux rectangulaires "allongés/debout"). Le boulon doit être dissimulé derrière le morceau de papier et le bout des doigts gauches et j'allume tout de suite le briquet (le bruit de la molette ou du piezo et la flamme attirent l'attention vers le briquet). J'enflamme et fait apparaître le boulon. Je présente la routine du boulon dont l'écrou se dévisse seul avec l'idée de Gaëtan BLOOM d'utiliser le briquet. Là : soit je remet le boulon dans le porte-monnaie et je range tout comme au départ pour la table suivante, soit un spectateur veut essayer d'allumer le briquet près du boulon. Je lui donne. Je récupère les aimants entre pouce et index comme je l'ai décrit dans mon message précédent et je prend le mouchoir en papier que j'ai dans ma pochette entre pouce et index droits (qui ont déjà les aimants) car le meilleur moyen d'avoir une position des doigts naturelle, justifiée est de tenir un objet. Lorsque le spectateur a terminé son essaie, le boulon a noirci un peu donc je lui tend le mouchoir pour qu'il me l'essuie et lui demande de me redonner le briquet. Là, vous l'aurez compris, je conserve les aimants comme avec le briquet lorsqu'il prend le mouchoir en papier et je reprend le briquet en replaçant les aimants dessus et hop, direct dans la poche à briquet. J'attends qu'il m'essuie bien le noir sur boulon (je plaisante un peu là dessus) et lui demande de mettre l'écrou à mi-chemin dessus (je l'embête un peu en lui disant "encore 2 tours et demi" ou je ne dis rien et en récupérant les spectateurs je dis "encore un tour ?"; Après leur "oui" je fais de manière exagérée un tour de plus à l'écrou sur la vis puis je leur dis "nan, vraiment, je vous montre encore un mystère rigolo...et là je sors les rondelles avec le trou que l'on fait voyager ou le clou qui se tord ou le stylo qui se tord, etc...ça dépend de mon envie du moment). Evidemment je range le boulon dans le porte-monnaie et c'est reparti...pour un tour ! Je précise aussi que lorsque je dis "pour la table suivante", en fait je parle non pas de la table que je vais aborder après mais de celle encore après car en table à table, j'ai deux enchaînements de 3 routines chacun et j'alterne une table sur deux. Un des enchaînement occupe mes poches gauches (intérieures et extérieures) et l'autre mes poches droites. Ainsi les spectateurs d'une table ne voient pas ou plus difficilement ce qui les attend. Deux tables voisines n'auront pas le même "numéro" et comme je dis souvent, le premier plaisir d'un spectateur par rapport à la magie, c'est de voir le numéro mais le second (et quelque part encore plus important) est de le raconter à des personnes qui ne l'ont pas vu le lendemain dans la famille, au boulot ou autre. Et là, entre tables, il n'est pas rare qu'ils échangent en disant "ils vous a fait le coup du...?" ou "t'as vu le tour avec ....?". Bien entendu, il n'est pas rare qu'une table me demande à voir un effet dont un voisin de la table d'à côté lui a parlé ou qu'il a entrevu de loin. Dans ce cas, selon le cas, je refais le tour en question ou un autre du même tonneau. Attention : sur certaines vestes, la poche à briquet et au même niveau que la poche extérieure gauche. Dans ce cas, l'aimant peut être trop près du boulon et l'activer malencontreusement. Dans mes vestes, la poche le fond de la poche à briquet est toujours plus bas que celui de ma poche extérieure gauche de veste et le porte-monnaie n'est pas gros mais assez rigide et épais (ce qui limite encore le risque et évite que le spectateur à qui je le confie sente le boulon ou en tout cas une chose dure au travers du cuir). Chaque détail compte pour moi. C'est au fil du temps que je trouve chacun de ces détails pour les routines que je présente mais ça, ce n'est pas un mystère, c'est évident. On s'écarte un peu des billets de Finn Jon alors pour "rattacher le wagon", je dirais que je n'ai jamais testé sa version des billets. Je trouve qu'elle n'est pas adaptée pour le table en table mais que c'est la plus nette pour la scène ou le salon (car les transformations sont à vue et douces, sans accoups et sans pliage des billets).
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