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Je vais vous parler de mon expérience professionnelle vers les années 90, donc cela existait déjà il y a 20 ans 

Je mettais en route une machine pour faire des tambours en inox de machine à laver chez une grande marque W .......l pour ne pas la nommer (du côté d'Amiens, maintenant elle est partie en Pologne, je peux la dénoncer)

Après avoir mis en route la machine, on avait des finitions, et cela faisait une semaine que l'on faisait des tambours en petites quantités.

Un responsable est venu nous trouver et nous à demander de réduire le serrage des rivets du moyeu car le tambours résistait trop bien au fonctionnement, et que la durée de vie dépassait les 10 ans de fonctionnement dans une famille normale.

En effet au milieu de l'usine il y avait une cinquantaine de machines qui tournaient en permanence avec le linge que les ouvriers de l'usine amenaient laver le matin et reprenait propre le soir.

Le nombre de cycles de 10 ans d'une famille normale était fait en une semaine sur chaque machine jusqu'à ce qu'elles tombent en panne.

On a fait un réglage et une semaine après le gars nous à félicité le cycle des 10 ans était bon  Il nous a quand même demander de lui montrer comment il fallait faire. ( Au cas où il faudrait réduire encore le temps, je suppose)

Voilà à l'époque c'était 10 ans pour une famille avec 2 enfants.

Aujourd'hui je pense que l'on est plus près des 8 ans

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Merci Claude de ce témoignage. Du coup pour réagir à cet incroyable cynisme, le seul moyen n'est-il pas d'entrer en résistance... un moyen simple pour quelqu'un qui travaille dans une telle entreprise est alors de pratiquer un petit sabotage : en l'occurrence le sabotage consisterait à mieux serrer les rivets.

C'est quand même fou d'en arriver là... Un travail correct est devenu une résistance à l'obsolescence programmée !

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il y a 10 minutes, Kristo a dit :

Merci Claude de ce témoignage. Du coup pour réagir à cet incroyable cynisme, le seul moyen n'est-il pas d'entrer en résistance... un moyen simple pour quelqu'un qui travaille dans une telle entreprise est alors de pratiquer un petit sabotage : en l'occurrence le sabotage consisterait à mieux serrer les rivets.

C'est quand même fou d'en arriver là... Un travail correct est devenu une résistance à l'obsolescence programmée !

Hé oui, mais il y a pire, notre entreprise faisait des moutons non pas à 5 pattes mais à 10 pattes, grace à cela elle existe toujours, on faisait un boulot que les autres ne savaient ou ne voulaient pas faire.

Mais les entreprises de machines outils Française n'existent plus ils faisaient toutes les usines  des constructeurs Français de voiture et aussi d'electro- ménager.

Les concurrents étaient les Allemands et les Italiens. Les Allemands faisaient des machines ultra solides et les plus chères, et les Italiens faisaient de la M....e et étaient les moins chères.

Les technocrates des constructeurs Français calculant le moins cher, achetaient non pas Français mais au moins chères donc Italiens et l'usine se payait deux fois le prix de la machine en maintenance.

Les acheteurs des constructeurs Allemands achetaient allemand, ce qui fait que tous les fabricants de machines outils Française on coulés alors qu'ils étaient dans les meilleurs, merci Renault et Peugeot 😘

C'est ce qui fait qu'il n'y plus d'industrie en France.

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Oui et encore, il me semble que dans certains pays il leur reste encore moins d'industrie, je pense à l'Angleterre où je crois qu'ils ont délocalisé 100% de leur industrie...

Petite touche d'optimisme quand même : si un jour, dans les années à venir, la fin du pétrole approchant, le prix des transports internationaux se met à monter en flèche... il faudra bien recommencer à produire dans nos pays... et donc relocaliser...

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Publié le
il y a 5 minutes, Kristo a dit :

il faudra bien recommencer à produire dans nos pays... et donc relocaliser...

Il me semble que la relocalisation a commencé du fait des problèmes de qualité. Certaines entreprises se seraient rendues compte qu'au final elles étaient perdantes en produisant à l'étranger. A vérifier ceci dit.

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Faiseur de trucs et de bidules.

Publié le (modifié)

Pour revenir à l'obsolescence programmée, travaillant pour fabriquer des machines chez Moulinex je connaissais son existence déja dans les années 70, car Moulinex avait constaté sur son premier produit juste à la fin de la guerre qu'il avait fait un produit trop solide et qu'il le vendait une seule fois par famille, et qu'après c'était fini il n'en vendait plus aucun.

C'était le premier moulin à café électrique, increvable, si vous en trouvez dans une brocante, il fonctionne encore, même les lames ne s'usaient pas.

Donc les produits Moulinex suivant on été pensé de deux manières, qu'ils tiennent au maximum 5 ans, et que leur look soit à la mode, comme la mode change tout les ans, l'année suivante on peut changer son look et vendre un nouveau modèle avec juste une petite amélioration à chaque fois (où pas).

Donc l'intérêt des ouvriers de ces usines et bien le même que celui de leur patron, car tant que l'usine vend, ils ont du travail, donc tant pis pour la communauté, et pas de sabotage comme tu le proposes, ce n'est pas l'intérêt de l'ouvrier, ni d'ailleurs du fabricant de machines comme ma boîte, car à chaque modèle on modifie la machine, ou carrément on en faisait une nouvelle.

Il y a 2 heures, Kristo a dit :

Merci Claude de ce témoignage. Du coup pour réagir à cet incroyable cynisme, le seul moyen n'est-il pas d'entrer en résistance... un moyen simple pour quelqu'un qui travaille dans une telle entreprise est alors de pratiquer un petit sabotage : en l'occurrence le sabotage consisterait à mieux serrer les rivets.

C'est quand même fou d'en arriver là... Un travail correct est devenu une résistance à l'obsolescence programmée !

Donc je n'en parlais pas, juste un peu dans la famille, mais le mot n'était pas encore inventé (obsolescence programmé) que je savais déjà que cela existait. Mais à l'époque c'était pour une durée de vie en rapport avec le prix. Le petit électroménager petit prix 5 ans, le gros électroménager 10 ans.

Les premiers à s'en rendre compte étaient les Américains avec Frigidaire, aujourd'hui c'est un mot courant, mais au début c'était une marque, mais leur frigos étaient increvables ils n'en vendaient qu'une seule fois par famille.

Eux ont inventés un autre concept, je l'appelle le snobisme matérialiste, tu deviens Asbeen quand tu as des meubles ou appareils ménagers de plus de 3/4 ans.

Donc quand tu invites du monde chez toi il faut que tu montre que tu as du matériel récent, cela fait marcher l'industrie, et évidemment il faut acheter du matériel américain, la voiture japonaise c'est la troisième pour le fiston pour qu'il se fasse la main.

Les Allemands aussi ont ce réflexe protectionniste. 

Nous les Français ont fait notre tors nous même, on veut du matériel le moins cher possible, et on ne regarde pas d'où il vient, et après on se plaint de ne plus avoir du travail.

Je suis sur que le concept de l'obsolescence programmée à été défini en règle par un Français, il a sûrement poussé les concepts jusqu'au bout.

C'est sûrement un technocrate dans une grande société Française, cela doit être le même qui a trouvé que le coût serait moindre avec un ouvrier chinois d'où la délocalisation, summum du concept.

Le Tailorisme lui au moins donnait du travail aux ouvriers auxquels il revendait les produits, il calculait combien il fallait payer les ouvriers pour qu'ils aient assez pour vivre et un peu de surplus pour se payer le matériel produit.

Les technocrates eux n'ont plus de scrupules, se faire le maximum de pognon et après eux le déluge.

 

Modifié par claudemage
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Publié le
il y a 9 minutes, claudemage a dit :

Donc l'intérêt des ouvriers de ces usines et bien le même que celui de leur patron, car tant que l'usine vend, ils ont du travail, donc tant pis pour la communauté, et pas de sabotage comme tu le proposes, ce n'est pas l'intérêt de l'ouvrier,

 

Là dessus je ne suis pas d'accord, car oui c'est peut-être de l'intérêt à court terme de l'ouvrier d'avoir du boulot quitte à fabriquer des trucs superflus ou fragiles du moment que ça se vend pour faire tourner leur boîte,

mais comme les ouvriers sont aussi des consommateurs, ils sont aussi victimes de ce système, en étant contraints de racheter régulièrement des objets qui tombent en panne prématurément (ou de devoir les réparer, dans le meilleur des cas).

Si ces objets n'étaient pas prévus pour durer si peu de temps, il y aurait besoin de moins de travail humain c'est vrai, mais il n'y aurait pas moins de richesses utilisables, donc les gens pourraient vivre tout aussi bien... à condition bien sûr que le travail (ou l'argent) soit réparti équitablement (travailler moins pour que plus de gens puissent travailler).

 

il y a 9 minutes, claudemage a dit :

C'est sûrement un technocrate dans une grande société Française, cela doit être le même qui a trouvé que le coût serait moindre avec un ouvrier chinois d'où la délocalisation, summum du concept.

Le Tailorisme lui au moins donnait du travail aux ouvriers auxquels il revendait les produits, il calculait combien il fallait payer les ouvriers pour qu'ils aient assez pour vivre et un peu de surplus pour se payer le matériel produit.

Les technocrates eux n'ont plus de scrupules, se faire le maximum de pognon et après eux le déluge.


Tout à fait d'accord.

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Publié le (modifié)
il y a 22 minutes, claudemage a dit :

Les technocrates eux n'ont plus de scrupules, se faire le maximum de pognon et après eux le déluge.

Un technocrate en remplacera toujours un autre, le diagnostic n'est donc pas à poser sur la personne mais sur la structure qui promeut ce genre de comportement. Ceci dit, c'est vrai qu'il y en a qui font un peu de zèle... 

 

Modifié par TanMai
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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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