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Publié le

Oui et non. L'idéal est d'avoir le livre ainsi que les consommables dont tu auras besoin pour préparer tes jeux.

Si tu achètes un jeu tu sauras simplement comment fonctionne le marquage mais ça ne t'avancera guère. De toute façon le livre est excellent et pour reprendre le cliché la routine "pure telepathy" vaut a elle seule le prix de l'ouvrage.

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Publié le

Non pas vraiment, il faut acheter le livre de Boris Wild, il existe point par point la fabrication de son jeu. A la base je jeu déjà marqué n'était pas commercialisé et tu recevais un gimmick permettant de marquer environ trois jeux.

Le consommable est disponible facilement ne coute vraiment rien.

Me concernant j'ai acheté à l'époque une dose importante pour 30euros ce qui me permettrait de marquer 30 jeux environ.

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Publié le

Le jeu marqué de Boris Wild (le livre) édité chez Joker Deluxe en 2000 était vendu avec le matériel de marquage.

Il y a eu une deuxième édition sous le même nom et depuis quelques temps le livre à changé de nom : Livre “Transparence" à 50euros avec 25 routines mais je crois que le matériel n'est plus vendu avec l'ouvrage.

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Publié le
Sachant que les jeux de Boris Wild fait maison seront "moins" bien que ceux achetés en boutique. Ceux en boutique sont directement imprimés alors que les autres seront .. Transférés ^^

P.S. : moins bien en terme de durée de vie. De plus, le matériel nécessaire a longtemps été en rupture..

Absolument pas Alex. la duree de vie ne change pas et cela fait treize ans que j'utilise le jeu. Le jeu sera usé avant le marquage si celui ci est correctement realisé.

Le systeme de marquage de Boris n'etait plus dispo un temps c'est pour cela que j'ai devaliser ma papeterie. L'avantage de son marquage qui est un perfectionnement de celui de Ted Lesley est qu'il personnalisable. la grandeur, l'emplacement ...

Steeve

Je confirme ce que dit Steeve.

J'utilise le jeu BW depuis des années et je n'ai jamais de soucis de durabilité avec le marquage "maison". Les jeux sont morts que le marquage n'a pas vieilli d'un poil !

Concernant "le" meilleur jeu marqué, il n'y en a tout simplement pas, chaque jeu a ses avantages et ses inconvénients. Les Ultimate et GT Speedreader sont très bien pour lire rapidement la valeur d'une carte, par contre le BW est imbattable pour retrouver une carte dans un étalement face en bas. Tout dépend de ce que l'on souhaite en faire.

https://www.fabienarcole.fr

Publié le

Et je rajoute, wild + transparence, ca vaut vraiment 70€?

« Quand on vous a eu, Tom et toi, ta mère m'a dit un truc que j'ai jamais vraiment compris. Elle m'a dit à partir de maintenant, il faut qu'on devienne des souvenirs pour eux. »

• Interstellar •

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    • Pourquoi prendre le risque de concourir en ne respectant pas les règles ? 🤔
    • C'est du ChaKPT, non ? (La neutralité du ton y ressemble et il y a des infos qui m'interpellent - il a vraiment été ovationné des son ENTRÉE sur scène ?)
    • Article prévu pour la Presse Française :  Double champion du monde ? Pourquoi Dani Lary a été privé d’une reconnaissance historique à la FISM    Chapeau : Ovationné pendant plus de deux minutes par 2 000 spectateurs à Turin, Dani Lary a livré un numéro d’une pureté rare lors du Championnat du monde de magie 2025. Pourtant, l’illusionniste français n’a pas été primé : la rigidité du règlement et des contraintes administratives l’ont privé d’une reconnaissance officielle, posant la question du rôle de la FISM et de son équilibre entre exigence et souplesse.   1. La FISM, vitrine mondiale de la magie La Fédération Internationale des Sociétés Magiques (FISM) est depuis plus de soixante-dix ans le rendez-vous incontournable des magiciens du monde entier. Véritables "Jeux Olympiques de la magie", ses championnats visent à célébrer l’excellence et la diversité artistique dans toutes les disciplines : close-up, manipulation, grandes illusions… L’édition 2025, organisée à Turin, a une fois de plus rassemblé des centaines d’artistes venus des quatre coins du monde, confirmant le prestige de l’événement.   2. L’exemple Dani Lary : quand la règle prime sur l’art Cette édition restera toutefois marquée par la controverse autour de la participation de Dani Lary, figure emblématique de la magie française. Dès son arrivée sur scène, l’artiste a déclenché une vague d’applaudissements et d’engouement de la part des 2 000 spectateurs présents dans la salle. Son numéro, Gloop, centré autour d’un aquarium, a été couronné d’une standing ovation de plus de deux minutes, au point que l’animateur a dû réclamer le silence avec difficulté pour introduire le passage suivant. La volonté de Dani Lary était de rester dans la pureté du numéro, débarrassé de tout artifice superflu, en assumant un minimalisme rare dans les grandes illusions. Ce choix, salué par le public, a pourtant été pénalisé par le règlement, qui considère qu’un seul "effet" ne suffit pas à concourir. « Ce numéro d’escapologie que j’ai présenté en hommage au célèbre magicien Harry Houdini, le Gloop, est à ce jour toujours incompris de tous les magiciens. C’est unique au monde. Jamais personne ne l’avait fait : c’est du 100 % invention, du 100 % créatif et novateur. Rien que pour ça, ils auraient dû se dire : “ce numéro fait avancer la magie à un haut niveau” », confie Dani Lary. Malgré l’innovation reconnue de son numéro, le règlement a prévalu : Dani Lary a été considéré comme n’ayant présenté qu’un seul effet et a perdu de précieux points.   3. Une rigidité qui interroge La FISM doit-elle rester intransigeante pour préserver l’équité ? Si la rigueur administrative garantit des conditions standardisées, elle peut aussi étouffer la créativité. Le cas Dani Lary illustre un déséquilibre potentiel entre prestige institutionnel et ouverture artistique. Gloop n’a jamais été expliqué ni reproduit ; il reposait sur un procédé totalement inédit. « J’ai gardé ce numéro pour le jour d’un congrès mondial parce que je savais que c’était une pépite », explique l’artiste, qui refuse encore de le vendre à d’autres magiciens tant il le juge unique. Dani Lary estime que ces inventions véritablement nouvelles devraient être davantage valorisées. « Ce sont ces numéros-là qui font avancer la magie », insiste-t-il.   📣 Encadré : “Un moment suspendu dans la salle” « Dès qu’il est apparu, on a senti une énergie incroyable. Les spectateurs se sont levés presque instinctivement et ont applaudi sans discontinuer pendant plus de deux minutes. L’animateur a eu toutes les peines du monde à calmer la salle pour enchaîner », raconte un membre de la communauté magique sur le forum Virtualmagie. Ce témoignage reflète l’intensité de l’émotion vécue dans la salle : un numéro salué par un public conquis.   4. Peu de précédents documentés À ce jour, aucun autre cas comparable — où un artiste majeur aurait été pénalisé pour quelques heures de retard ou pour un numéro jugé "trop minimaliste" — n’a été largement documenté. Ce cas reste donc isolé, mais soulève une question essentielle : certaines règles ne limitent-elles pas inutilement l’innovation et l’émotion scénique ?   5. Vers un équilibre à trouver Pour rester fidèle à sa mission, la FISM gagnerait à : Introduire une marge de tolérance sur les délais administratifs ; Valoriser la diversité expressive, y compris les styles minimalistes et novateurs ; Renforcer le soutien logistique auprès des artistes, quelle que soit leur renommée.   6. Conclusion Le prestige de la FISM repose sur un juste équilibre entre excellence artistique et rigueur organisationnelle. L’affaire Dani Lary rappelle que la magie est d’abord un art de l’émotion et de l’innovation. Le Gloop, salué par 2 000 spectateurs debout à Turin, a démontré qu’un seul numéro peut marquer durablement les esprits. Pour préserver sa crédibilité, la FISM doit évoluer vers davantage de tolérance et accompagner pleinement les artistes, au lieu de les freiner.
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