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Publié le
Dieu que c'est laid.

On dirait moi devant mon premier Bilis avec mon jeu de carte qui hurlait de douleur.

Je crois que le pire, ce n'est pas que ce soit laid, c'est surtout que la vidéo ne comporte pas une seconde d'illusion... On voit parfaitement d'où vient chaque carte, et la vidéo ne trompe (presque, hélas) personne. On peut la considérer, au choix, comme une vidéo explicative (elle révèle le concept), ou comme une vidéo de ce qu'il ne faut pas faire.

Publié le
Je n'ai pas à te prouver que je sais mieux le faire pour que ma critique ait plus de valeur. Effectivement, tu sembles ne pas connaître ce mouvement, renseigne-toi donc avant d'attaquer... (Même pas certain que tu reconnaîtrais la technique bien faite si tu la voyais, vu qu'elle ne ressemble très peu à celle postée)

Pourquoi tant de susceptibilité? Tu es vexé d'aimer quelque chose de mal fait ? Ou tu connais la personne qui le fait si mal ?...

tu es un plein de bouche , tu parle beaucoup et dés que je te demande de faire une vidéo là il ya plus personne mdr

C'est juste qu'il n'a rien à te prouver.

On est une petite dizaine à te dire que sur la vidéo le comptage est mal réalisé, qu'est-ce que ça peut te faire ? Tu le connait le type ? Pourquoi te vexer pour quelque chose qui n'est pas fait par toi ?

Prends le plutôt comme un conseil afin de travailler et de le réaliser mieux que ce Jean Bernard.

Et si c'est toi ce Jean Bernard bah.. fonce travailler ton Rumba !

HREJ je vois pas la difference c'est pareil

Arrêtes de mentir, ou sinon faut vraiment consulter un ophtalmologue.

Publié le

Les anciens du forum connaissent JBernard... il ne vient plus tiens... Maness le connait peut-être... ce qui expliquerait pourquoi il se vexe tant alors qu'il demandait lui-même quelque chose...

Publié le

Sans parler de la "récitation de l'évidence" (selon les termes de McMillan) qui consiste à dire exactement ce que le spectateur voit et qui est le degré zéro de la présentation, l'exécution de la technique est catastrophique, non seulement pour le rythme mais aussi pour l'illusion (on voit bien qu'il s'agit toujours de la même face). Tout dans cette vidéo est mauvais, il ne faut pas être un expert pour s'en rendre compte, et je ne comprends pas cette réaction agressive envers Richard qui fait un simple constat.

" Be really strict with yourself. The average person isn't strict enough wiht himself. He says, "Oh well, that's good enough... that will get by." But be really stric and say, "Well, wait... perhaps by talking or doing this or that I can make it still better." I think this is very important".

Un sage conseil de Dai Vernon qu'on devrait tous prendre en compte.

Publié le
HREJ je vois pas la difference c'est pareil

La fluidité du mouvement, le positionnement du paquet dans la main et la gestuelle des mains de JPV qui est quand même un modèle (quand même visuellement cette gestuelle est évidente).

Pas la peine de claquer les cartes non plus ca donne un effet saccadé.

Il existe un petit bouquin "the best of Rumba Count" dans la meme collection que les techno cartes et techno-pièces.

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le

Un grand sage a dit en substance (Je crois que c’est Meven, mais le raisonnement n’est peut-être pas de lui ;) ) :

« Les détails sont importants »

Les détails bien gérés ne se voient pas : ils sont invisibles, car tout a été pensé et réglé pour qu’on n’ait pas à s’en occuper.

Mais si un détail pose problème, la, on va le voir.

C’est une partie difficile de l’illusionnisme que de s’occuper des détails.

C’est pourtant souvent ce qui fait la différence entre une belle illusion et une pantomime sans aucun sens.

Je ne dis pas que dans la vidéo montrée, tout est mauvais.

Mais il manque une poignée de détail qui fait que la magie aura du mal être convaincante.

Tiens, pour n’en citer qu’un, et pas le plus grave :

Le bruit, qui a été évoqué.

Les cartes ne font pas naturellement ce bruit la, maniées avec délicatesse.

Cela indique une torsion, un arrachement.

On peut se demander pourquoi ?

Quel est la raison de ce bruit ?

Il se passe une chose étrange…il nous enfume, la.

Ce bruit va alarmer l’esprit du spectateur.

Surtout que le magicien parle à ce moment :

Le bruit détourne une partie de l’attention pour la centrer sur les cartes.

Il faut bien sûr que le spectateur regarde les cartes.

Mais comme une chose innocente, on est juste en train de les passer en revue.

Pas comme quelque chose de suspicieux.

Bref, ces petites choses, souvent anodines, on parfois des répercutions gênantes, du point de vue de l’honnêteté apparente d’un mouvement.

Bon, après cela, on peut discuter de variantes d’exécution du rumba count :

Faut-il par exemple que ce soit la carte qu’on vient de prendre qui retourne le paquet, ou les doigts qui sont sous cette carte, ou les doigts de la main qui tient le paquet ?

Un « détail » qui mérite, comme tous les autres, d’être réfléchi, expérimenté… et dont la réponse n’est pas forcément figée dans le marbre pour tout le monde.

Je n’ai pas pu regarder à nouveau la vidéo, elle est devenue privée depuis tout à l’heure.

Mais je crois, d’après le seul souvenir que j’en ai, qu’il y manque aussi de la délicatesse.

Une des choses qu’on m’a suggéré, quand j’ai commencé les cartes, c’est la légèreté des prises.

On devrait tenir les cartes avec juste assez de force pour qu’elles ne tombent pas, mais pas plus.

Les serrer plus entraine plein de choses :

Déjà, on va ruiner les cartes plus vite (d’où une effroyable consommation de cartes, quand on travaille de nouvelles techniques ;) ).

Mais aussi, cela va crisper les mains.

Cette crispation fait partie des détails qui agissent sur la qualité du rendu :

Une main crispée, un visage figé, une posture coincée, cela se sent coté spectateur.

Et même s’il ne sait pas ce qui l’a dérangé, le spectateur va partager la tension du magicien, et donc être dans l’inconfort.

Bon, on peut se servir de la crispation exprès, pour justement donner un sentiment d’imminence de l’effet au spectateur.

Mais dans un mouvement cool et fluide comme le roumba, la décontraction semble la meilleure option.

A, inutile de me demander de faire une vidéo :

Déjà, je ne suis pas un bon exemple à suivre ;)

Et je ne travaille quasiment jamais pour le net, il y a déjà assez de gens à le faire ;)

On se voit en vrai quand vous voulez :)

Sauf si tu es JB13, cela fait des années que je ne perds plus de temps pour cette personne.

Gilbus.

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le
La vidéo est devenue privée !!!

Nanar s'est vexé...Meven avait vue juste .

je suis son neveu et mon oncle n'as pas apprecié vos commentaires

KISS ARMY

Invité
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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
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