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Publié le

Tout à fait d'accord avec Screech !

Etant l'un des fondateurs du Magicos Circus Rouennais, je suis pour les clubs "non officiels"

Il y a une émulation collective, une sorte de challenge à chaque réunion qui nous pousse à aller de l'avant, à progresser, sur tous les plans, que ce soit purement technique ou artistique.

Sans le MCR, je n'aurais pas découvert certains aspects de la magie, certaines disciplines.

Sans le MCR, je n'aurais pas autant progressé

en 1 an, surtout pas tout seul dans mon coin.

Sans le MCR, je n'aurais surement pas participé à des journées magiques à Tours ou à Paris, et rencontré d'autres magiciens.

Sans le MCR, je n'aurais jamais participé à un spectacle comme celui que nous avons monté en Mai dernier.

Sans le MCR, je n'aurais pas autant de projet en tête que ce soit pour le club ou pour ma propre magie.

Sans le MCR, je n'aurais pas rencontré tout ces copains magiciens, car un club, c'est avant tout un endroit de rencontre et d'échanges.

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Publié le

Bon, ombre je vais quand même te répondre: merci de m'avoir fait une leçon là où il n'y avait pas lieu d'en avoir. Bref, on arrète les débats stériles qui ne servent à rien (joli pléonasme).

Si je posais cette question c'est que j'ai la chance ( si on peut le dire ) d'être sur Paris pendant un mois complet! Tu imagines un peu, je vais pouvoir aller dans des endroits où je ne vais pas d'ordinaire, faute de temps tel que l'illégal et les pizz (merci bruno et à ce soir chez nos couzins).

Tu vois donc qu'il n'était pas la peine d'interprèter encore une fois des propos qui ne le méritaient pas, c'est à dire : les miens.

Par contre, ici tu lances un nouveau débat, celui de la créativité dans les clubs!

magnifique, moi je pense qu'un club est un creuset d'idées nouvelles à faire germer et à exploiter!

si tel n'est pas le cas dans le tiens, changes en, tu y gagneras!

Pour info, je suis au club de Mons, en Belgique.

amitiés

Dragol

Publié le

Bonsoir,

Juste à titre d'illustration, le club de Poitiers a pour ambition de justement "créer", découvrir, inventer, réfléchir, approfondir... On a d'ailleurs sorti un livre il y a quelques années (oui, un "vrai", "beau" livre !...), qui s'appelle "Les Enfants du Lys" (et qui est toujours disponible sur : .)www.magie-poitiers.com). Il ne contient pas que des "techniques", mais aussi des textes, des idées de présentation, etc.

Alors ?... Les clubs ne stimulent pas la créativité ?... ;-))

Très cordialement,

---

Frantz

Publié le

Mais à quand le livre sans techniques?

A quand les techniques et l'illusionisme au service d'une histoire et pas l'inverse?

Pour l'instant, je trouve ce genre d'approches pas assez répandues à mon goût. Seul l'illusionisme fantastique fonctionne ainsi. L'illusion est un outil qui peut servir à mettre en valeur un histoire et (je me répète), ça ne doit pas être l'inverse.

Mais si vous pensez qu'un tel débat est stérile, ce seront mes dernieres lettres à ce propos.

Mon désir n'est pas de vous ennuyer avec des pensées très personnelles qui me tiennent à coeur.

Publié le

le fait est que le débat lancé par tes soins ne me dérange pas du tout, mais il n'était pas a propos avec celui que j'avais inocemment lancé.

Drago

Publié le

heu....! bein oui les clubs sont utiles qui en douterait ! Mais puisqu'il y a eu l'intervention d'une Ombre !!!!

Citation:

Débat lancé par Ombre:

Mais à quand le livre sans techniques?

A quand les techniques et l'illusionisme au service d'une histoire et pas l'inverse?

Pour l'instant, je trouve ce genre d'approches pas assez répandues à mon goût. Seul l'illusionisme fantastique fonctionne ainsi. L'illusion est un outil qui peut servir à mettre en valeur un histoire et (je me répète), ça ne doit pas être l'inverse.

Mais si vous pensez qu'un tel débat est stérile, ce seront mes dernieres lettres à ce propos.

Mon désir n'est pas de vous ennuyer avec des pensées très personnelles qui me tiennent à coeur.

On ne peux te dire que :

Developpe...... CA SEMBLE TRES INTERESSANT....!

JB

Publié le

L’art du conteur/acteur et celui du magicien ne sont pas incompatibles, au contraire, mais pas forcément liés…

De la même façon qu’il y a des spectacle de jonglerie ou de main à main qui sont intégrés a une mise en scène, et raconte une histoire, on peux concevoir un spectacle de magie dans ce sens.

Mais ce n’est aucunement une obligation :

La jonglerie, l’acrobatie ou la prestation magique peuvent se suffire à elle-même, avec un minimum de mise en scène (que le magicien ait un ‘personnage’ semble le mieux, hein ?)

Maintenant, c’est sur que la magie au service d’une histoire, c’est plus rare :

Tout simplement parce que ça demande plus de travail ?

Et qu’il faut des compétences variées, que tout le monde ne peut mettre en œuvre, surtout s’il n’est pas pro [sourire]

Je ne vois pas trop le sens de la question en fait :

Fais tu de la magie qui raconte des histoires, Ombre ?

Parle nous de ton expérience [sourire]

Gilbus, compteur kilo, mais trique...

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

Club officiel, club non officiel !!!pour vous, il y a une différence ??

Une association n'existe que par les personnes qui l'ANIMENT. Je ne parle pas des organisateurs ou des membres du bureau, mais tous les participants.

Il me semble, mais je suis peut être dans l'erreur, que les clubs déclarés non officiels sont renfermés sur les magiciens. Beaucoup de clubs officiels (disons afiliés à l'AFAP) organisent des spectacles ouverts qui permettent aux magiciens de s'exprimer devant un vrai public, c'est ce que nous faisons au Cercle Magique de Seine et Marne, (et nous ne sommes pas les seuls) pas seulement en close-up, mais également en magie de scène. Cela permet en plus à tous de s'impliquer dans l'organisation (son, éclairage...).

C'est vrai que les réunions entre magiciens excusivement tournent quelque fois autour de la technique, mais la technique de présentation, n'est-ce pas Didier L. Ce n'est pas lors des réunions quez nous travaillons les "passes magiques", nous n'en avons pas le temps.

Ce n'est certainement pas un problème d'officiel ou de non officiel.

Le congrès qu'organise tous les ans l'AFAP serait-il possible sans une structure affirmée.

Et en ce jour de célébration de la Saint Norbert, qui mérite mille fois la récompence qui l'a honorée, soulignons que Norbert à été président du club de Marseille ("heureusement qu'il en est sorti, sinon que ferait-il aujourd'hui !!")(humour)

Au plaisir de vous recevoir

cordialement

Patrick

Didier accroche toi, encore deux mois.

Publié le

Donc comme le dit Corneille, il nous aura fallu 3 messages pour nous rendre compte qu'on dit la meme chose...

(Screech)

Je vend ce tour 800 euros!!!!! [Clin d'oeil]

Mais si vous pensez qu'un tel débat est stérile, ce seront mes dernieres lettres à ce propos.

(ombre)

Reste, nous t'aimons!!

Je n'ai pas dit que parler de créativité était stérile.Ce qui est stérile c'est d'engager le débat avec des oppositions qui n'ont pas lieu d'etre, en l'occurence : "art contre technique".

Je ne vois pas en quoi ces deux aspects sont antagonistes.

Et je ne vois pas non plus pourquoi tu attends que quelqu'un parle trop de technique pour avoir envie de parler de "créativité".(hein, pourquoi?)

Si tu veus mon avis, et au risque de te choquer, je pense qu'en art la créativité n'a pas d'autre choix que de s'apuyer sur la technique (qu'elle soit virtuose ou non).

J'ais du mal à imaginer un violoniste qui jouerais sans son violon (meme s'il ne fait que taper dessus).

Bon tu vois finalement je parle de créativité en magie.

Magicien, comédien, artiste de rue 

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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