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La Révélation des Pyramides : documentaire


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Ou pourquoi pas cela ?

Un gars qui aurait compris le truc des grands bâtisseurs :

fini les rolling stones voici les flying stones.

Et avec des plies du dieux indien varta

- Qui pense peu, se trompe beaucoup.

- Savoir écouter, c'est posséder, outre le sien, le cerveau des autres.

LEONARD DE VINCI

http://emalexmagic.com/

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Ou pourquoi pas cela ?

Un gars qui aurait compris le truc des grands bâtisseurs :

fini les rolling stones voici les flying stones.

c'est très intéressant, au niveau de la présentation:

comment un film utilise le format documentaire, les voix graves et sérieuses, les animations et les témoignages remplis de conditionnels, pour nous faire gober n'importe quoi...

Enfin, à la réflexion, c'est peut être vrai? ils ont tellement l'air d'y croire...

Et avec des plies du dieux indien varta

la, on a une chose légèrement différente:

L'explication ne fait pas appel à un phénomène surnaturel (bien que je n'ai rien contre), mais à notre tendance à considérer les anciens comme primitifs, ce qu'ils n'étaient pas dans tous les domaines ni partout dans le monde.

Ce qui est dommage, c'est que cette pile ne soit pas plus répandue dans les objets retrouvés, ce qui aurait pu accréditer son utilisation à l'époque.

Mais cela se comprend aussi, car les techniques et connaissances étaient parfois considérées comme des secrets d'artisans ou de corporations, et valaient chers.

La question c'est évidemment : comment, sans instruments ni connaissance théorique sur le sujet, as t'on pu inventer cela.

Sauf que le reportage le montre aussi, l'invention de la pile moderne leclenché a eut lieu dans des conditions qui nous semblent primitives actuellement.

Alors certains, utilisant un rasoir d'occam culturel, dirons que ce n'était pas une pile.

D'autres diront qu'il est évident qu'il faut une culture technique pour créer ces objets, et qu'il s'agit donc de la preuve que des voyageurs dans le temps ont fait une étape ici, et ont dut construire ces trucs pour recharger leurs batteries, avant de repartir.

Idem pour des extra terrestres...

j'aime bien penser, moi, que les hommes des époques reculées comptaient autant de génies que de nos jours, et que certains inventaient des choses extraordinaires pour leur temps.

Comme il y a peu de chance qu'on vérifie cela tout de suite, chacun peu choisir sa version, hein?

Gilbus.

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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Gibus tu dis : La question c'est évidemment : comment, sans instruments ni connaissance théorique sur le sujet, as t'on pu inventer

sans instruments ni connaissance pas si sur cela : il sont a l'origine de la médecine moderne le stérilet, les opérations de la cataracte aue l'ont redécouvre et toutes sorte d'autres opérations mais aussis les sciences, le magnétisme, les maths que les grecs ce sont attribués, ect...

trouvé sur FRANCE AFRIQUE :

Il n'est un secret pour personne que l'Egypte ancienne a su se constituer un savoir scientifique qui a rayonné pendant plus de deux millénaires sur le monde et notamment durant la période de l'Antiquité franchissant aisément le bassin méditerranéen pour influencer le savoir greco-romain. Ce sont la découverte des papyrus dits de Rind et de Moscou qui ont permis de révéler l'origine égyptienne du savoir hellénique constitué en corpus scientifique. Le papyrus de Rind remonte à la période 2040-1785 ans avant notre ère et a été retranscrit par le scribe Ahmès en -1650. Ce papyrus contient de nombreux problèmes et de nombreuses théories ayant trait à la géométrie, l'arithmétique, l'astronomie,...

Ainsi ce papyrus formule le théorème de Thalès 1300 ans avant que Thalès s'en attribue la paternité. Le papyrus de Moscou contient avant l'heure la théorie d'Archimède selon le Professeur Struve qui l'a édité : « Le papyrus de Moscou qui nous livre parmi de nombreuses autres, la preuve d'une célèbre découverte d'Archimède doit être inscrite au compte des Egyptiens. Nous n'avons donc plus aucune raison de rejeter les affirmations des écrivains grecs selon lesquelles les Egyptiens étaient les maîtres des grecs en géométrie [.] Ainsi, est-ce encore une grande découverte attribuée à Démocrite qu'il va falloir reculer de 1400 avant son présumé inventeur. Ces faits nouveaux, par lesquels le papyrus de Adwin Smith et le papyrus de Moscou enrichissent notre savoir, nous forcent à une révision radicale de notre jugement de valeur tenace jusqu'à présent, sur les connaissances égyptiennes. Un problème comme celui de la recherche des fonctions du cerveau ou bien celui de la détermination de la surface d'une sphère n'appartiennent plus au cercle des questions par lesquelles une connaissance empirique s'édifie, à l'intérieur d'une culture primitive. Ce sont déjà de purs problèmes théoriques, qui de ce fait prouvent que le peuple égyptien de même que le peuple grec se sont efforcés d'acquérir une pure vision intellectuelle de l'univers. ». (Cf. Lathematisher Papyrus des Staalichen Museumsder SchönenKünstein Moskau, cité par Omotunde, p.68-69).

De nombreux récits émanant de philosophes grecques (Platon, Hérodote, Diogène) ou romains (Diodore de Sicile) qui remontent à l'Antiquité font état de l'initiation de nombreux de ces philosophes auprès des prêtres égyptiens. Pythagore (resté 22 ans en Egypte), Platon (13 ans), Eudoxe (13 ans), Démocrite (5 ans), Hippocrate (3 ans) ont reçu une initiation en Egypte de la part des prêtres égyptiens. Le cas le plus célèbre étant celui de Pythagore qui vécu plusieurs années en Egypte et dû patienter plusieurs années avant de gagner la confiance de ses maîtres égyptiens et de recevoir leur enseignement. Il vécu durant ces années en véritable Egyptien, il savait aussi bien lire les hiéroglyphes que les cursives (Hiératique et Domotique) et sacrifia à la coutume égyptienne de la circoncision que l'on retrouve aussi en Ethiopie. Lorsque le jeune savant revint en Grèce, il ne fit nulle mention dans ses découvertes de l'inspiration égyptienne qui avait été la sienne pour ne pas écrire à l'instar de Cheikh Anta Diop qu'il s'agissait de véritables « emprunts ». Beaucoup de savants grecques ont fait passer à la postérité des théorèmes scientifiques égyptiens sous leur nom sans même citer leurs sources. Certains chercheurs mathématiciens contemporains évoquent les erreurs de traduction des Grecs dans la transcription du savoir scientifique égyptien au point que certains théorèmes repris par les Grecs s'avèrent être incomplet. C'est le cas par exemple de certains traités de géométrie tel que celui d'Euclide. Ainsi selon le mathématicien Bertrand Russel (Principle of Mathematics cité par Omotunde) : « Puisque Euclide a toujours de la popularité et une réputation de rigueur même auprès des mathématiciens, en vertu de quoi on lui pardonne ses circonlocutions et son verbiage, on gagnerait à commencer par relever quelques-unes des erreurs contenues dans ses vingt six premières propositions. Commençons par la première. Il n'y a aucune preuve que les cercles qu'on nous a dit de construire s'intersectent et s'ils ne le font pas, toute la proposition s'effondre [.] Quant à la quatrième il y aurait beaucoup à dire : en fait la preuve d'Euclide est si mauvaise qu'il aurait mieux fait d'admettre cette proposition comme un axiome. »

C'est un peu le même topo pour Archimède : « Cependant soulevé qu'un coin du voile qui recouvre la genèse du grand nombre de propositions, lesquelles, démontrées par une double réduction à l'absurde, supposent malgré tout une notion préalable, obtenue par des moyens sur lesquels Archimède a gardé le silence, ou atteinte par des voies que nous suivons encore de nos jours, mais sur lesquels il aurait effacé soigneusement la trace de ses pas.» (Paul Ver Eecke à propos du traité de la mécanique d'Archimède dans Les Oeuvres complètes d'Archimède cité par Cheikh Anta Diop dans Civilisation ou Barbarie).

Selon le mathématicien R.J.Gillings la résolution de la quadrature du cercle est antérieure au traité des géomètres grecques : « Nous pouvons reconnaître que Ahmes (géomètre égyptien, ndlr) passe pour avoir été le premier authentique à inscrire un cercle dans un carré au vu de l'histoire écrite » (R.J. Gillings, Mathematics in the time of the Pharaohs, New York, Dover Publications ; 1982, p.145 cité par Théophile Obenga dans La géométrie égyptienne).

La médecine égyptienne a fait aussi de nombreux émules parmi les Grecs notamment Hippocrate qui a reçu pendant 3 ans l'enseignement des Egyptiens. Imhotep est sans doute l'un des médecins égyptiens les plus célèbres auquel se référait Galien. Les Egyptiens avaient des médecins spécialisés pour chaque maladie et pour chaque organe (oeil, dents, tête, ventre...). Ils ont été les premiers à mettre en exergue le rôle du cerveau sur le corps. Ils sont aussi les inventeurs de l'ancêtre du stérilet. Un savoir ancestral qui sera largement repris par les médecins de l'Antiquité grecque sans pour autant en citer les sources.

hommes vert ou pas, mais ils en savaient des choses.

- Qui pense peu, se trompe beaucoup.

- Savoir écouter, c'est posséder, outre le sien, le cerveau des autres.

LEONARD DE VINCI

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  • 9 months plus tard...

UNE NOUVELLE HYPOTHÈSE DE CONSTRUCTION DES PYRAMIDES À FACES LISSES DE L’ANCIEN EMPIRE D'ÉGYPTE, Par Michel Michel :

Article PDF à lire ou à télécharger ici : https://www.academia.edu/6167934/UNE_NOUVELLE_HYPOTHESE_DE_CONSTRUCTION_DES_PYRAMIDES_A_FACES_LISSES_DE_LANCIEN_EMPIRE_DEGYPTE

Extrait :

La construction des pyramides égyptiennes demeure une énigme archéologique. De nombreuses théories ont été proposées jusqu’à ce jour. Généralement, elles se focalisent sur la pyramide de Khéops, ne reposent que sur des énoncés de principe et ne prennent pas en compte l’état de l’archéologie.

Notre démarche a d’abord consisté à analyser la chronologie de leur édification pour comprendre l’évolution de leur architecture, puis à étudier rigoureusement la configuration de plusieurs de ces monuments afin d’éliminer ou de privilégier certaines pistes parmi les hypothèses les plus fréquemment évoquées.

Ces investigations et l’observation d’une caractéristique architecturale commune à toutes les pyramides lisses de l’Ancien Empire nous permettent de proposer une solution possible à ce problème, applicable à la plupart d’entre elles et en accord avec nos connaissances actuelles.

Schématiquement, notre procédé consiste simplement à construire une pyramide à degrés puis à convertir cette structure initiale en pyramide à faces lisses.

[video:youtube]

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La théorie de la rampe n'est pas nouvelle, et bien tentante.

Mais pour ma part, plutôt que les extraterrestres, je pense qu'il faut voir la solution la plus simple: le démoulage.

On creuse un trou de la taille et de la forme de la pyramide, pointe vers le bas, et on la construit à l'envers, en partant du bas, donc de la pointe:

il suffit de laisser glisser les blocs, ce qui est bien plus facile.

Une fois la pyramide terminée, on la retourne, et on rebouche le trou, pour que personne ne se blesse en tombant dedans.

Gilbus.

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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La théorie de la rampe n'est pas nouvelle, et bien tentante.

Hello Gilbus

Oui, les "théories de la rampe" ne sont nouvelles, d’ailleurs Michel les évoquent bien de façon critique dans l'article mis en lien dans mon message :whistle: :

Plusieurs configurations ont été suggérées: les rampes internes (HOUDIN, 2006) qui reposent sur le postulat – non démontré - selon lequel la pose du revêtement n’est possible que de l’intérieur, les rampes frontales en briques crues qui nécessitent un volume excessif de matériaux, (LAUER, 1988, 220), les rampes hélicoïdales ou enveloppantes en briques crues qui se heurtent à des problèmes de manœuvrabilité des traîneaux aux coins du monument (GOYON, 1990, 193, fig. 73), (ARNOLD, 1991, 98), et enfin, les rampes latérales en briques crues qui permettent seulement la construction des pyramides à degrés (HÖLSCHER, 1912, 71-73). Nous nous inspirerons néanmoins de cette dernière en raison de l’omniprésence apparente d’une structure interne à degrés.

Ce que propose Michel Michel entre autres hypothèses, c'est notamment ceci :

Notre hypothèse consiste simplement à considérer des rampes en pierre plutôt qu’en brique pour construire la structure initiale à degrés. Il suffirait alors de déplacer une partie des pierres pour transformer les rampes en maçonnerie complémentaire, car leurs volumes respectifs sont équivalents. Ainsi, près de 91% des matériaux utilisés pour construire les rampes et les rendre fonctionnelles seraient suffisants et prêts à être convertis en maçonnerie complémentaire ; 50% de ce volume ne nécessiterait aucune manipulation supplémentaire. L’exploitation des matériaux utiles serait ainsi optimisée.

La présente étude vise à proposer un principe global de construction, applicable à la plupart des pyramides construites en pierre de taille et dont chaque génération d’architectes de l’Ancien Empire se serait inspirée en fonction des contraintes locales ou de l’évolution architecturale.

Sinon, pour revenir sur ta propre théorie du démoulage : selon moi, c'est du flan ! ;)

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