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Invité bénocard
Publié le (modifié)
il y a 59 minutes, Melvin a dit :

C'est le contenu qui compte. Tu trouveras toujours des sites avec une critique qui te diras "surtout ne lisez pas cela, tout est faux". Et effectivement si tu t'arrêtes à ce genre de propos qui ne démontrent rien, qui ne contiennent aucun contre arguments, tu te fais forcément avoir.

Regarde la video que j'ai posté, tu auras des réponses sur les fraudes et les erreurs du Giec, après tu jugeras avec des éléments et tu pourras chercher les critiques si tu le souhaites.

Mais je n'y connais rien, Melvin. Comment je pourrais préférer les arguments de l'un à ceux d'un autre ?

En plus comme tu dis, quand l'un dit blanc tu trouveras toujours quelqu'un pour dire noir. Donc on compte les bulletins épicétou... Le consensus de la communauté scientifique, ça veut encore dire quelque chose. Je vais pas y substituer ma lecture personnelle.

Edit : la fraude ça m'intéresse. C'est à quel moment de la vidéo ? Le conférencier est assez mauvais, au passage. Et les fraudes que j'ai vues jusqu'à maintenant sont du côté des climato-sceptiques.

Modifié par bénocard
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Publié le
il y a 18 minutes, bénocard a dit :

Le consensus de la communauté scientifique, ça veut encore dire quelque chose. Je vais pas y substituer ma lecture personnelle.

Comment pourrait-il y avoir consensus sur de la science ? Une des particularités de la science c'est d'avancer lentement et de se remettre en question. Il suffit de lire l'histoire des sciences pour s'en convaincre. Et que dire de ce sujet du climat où, encore une fois, il n'existe pas de preuve scientifique de la cause humaine sur le réchauffement.

Même Stéphane Foucart, le journaliste apôtre du Giec, le reconnait pour son explication de la subtile différence entre preuve médiatique et preuve journalistique en ce qui concerne le pb du réchauffement climatique :

"C’est une question que l’on peut poser à deux niveaux, au niveau scientifique, et là à l’évidence c’est très très difficile de démontrer une causalité, et d’un point de vue disons médiatique, évidemment c’est lié. (…) Ceci veut dire simplement que pour vous et moi, la notion de preuve, elle ne recouvre pas du tout la même chose que pour un scientifique."

C'est une pseudo-science de la prédiction, avec des modèles informatiques comme ce qui est utilisé en économie. Dans tous les autres domaine de la science on a au moins deux ou trois éléments preuves pour parler de qqchose, là non. Tout s'est emballé par l'idéologie à l'origine du Giec (Maurice Strong...).

 

il y a 35 minutes, bénocard a dit :

la fraude ça m'intéresse. C'est à quel moment de la vidéo ? Le conférencier est assez mauvais, au passage. Et les fraudes que j'ai vues jusqu'à maintenant sont du côté des climato-sceptiques.

Franchement si tu trouves Vincent Courtillot être un mauvais conférencier, je ne peux rien pour toi. Il déroule toute une logique qui demande un effort d'écoute. Tu entendra parler de la courbe de Mann, pourtant démontrée fausse et sortie des derniers rapports du Giec, mais toujours utilisée dans le livre de Jean Jouzel qui vient de sortir.

Melvin

Invité bénocard
Publié le (modifié)
il y a une heure, Melvin a dit :

Comment pourrait-il y avoir consensus sur de la science ? Une des particularités de la science c'est d'avancer lentement et de se remettre en question. Il suffit de lire l'histoire des sciences pour s'en convaincre. Et que dire de ce sujet du climat où, encore une fois, il n'existe pas de preuve scientifique de la cause humaine sur le réchauffement.

"Le consensus scientifique est le jugement, la position, et l'opinion collectifs de la communauté scientifique qui travaillent sur un domaine particulier d'étude. Le consensus implique un accord général, mais pas nécessairement à l'unanimité. Le consensus scientifique n'est, en lui-même, pas un argument scientifique, et il ne fait pas partie de la méthode scientifique. Néanmoins, le consensus peut être basé sur la méthode et l'argument scientifiques."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Consensus_scientifique

il y a une heure, Melvin a dit :

Même Stéphane Foucart, le journaliste apôtre du Giec, le reconnait pour son explication de la subtile différence entre preuve médiatique et preuve journalistique en ce qui concerne le pb du réchauffement climatique :

"C’est une question que l’on peut poser à deux niveaux, au niveau scientifique, et là à l’évidence c’est très très difficile de démontrer une causalité, et d’un point de vue disons médiatique, évidemment c’est lié. (…) Ceci veut dire simplement que pour vous et moi, la notion de preuve, elle ne recouvre pas du tout la même chose que pour un scientifique."

Oui il a raison. Mais côté science on peut aller indéfiniment loin, il n'y a pas de limite à ce que tu peux appeler une preuve. Tu peux toujours être plus exigeant. C'est la nature du savoir qu'est comme ça. A titre d'exemple, démontre-moi que le soleil se lèvera demain. Tu ne peux pas.

C'est pour ça que démontrer au sens strict, c'est vraiment une expression réservée aux sciences les plus dures. Et encore, même en maths démontrer ça a toujours un sens bien précis, on démontre pas dans l'absolu, c'est toujours par rapport à un référentiel sur lequel on s'accorde implicitement.

il y a une heure, Melvin a dit :

C'est une pseudo-science de la prédiction, avec des modèles informatiques comme ce qui est utilisé en économie. Dans tous les autres domaine de la science on a au moins deux ou trois éléments preuves pour parler de qqchose, là non. Tout s'est emballé par l'idéologie à l'origine du Giec (Maurice Strong...).

Bah oui, c'est pas exact exact. C'est de la physique super complexe. Ca a quand même un avantage sur l'économie c'est que ça ne fait pas intervenir le vivant. L'économie n'est pas vraiment une science. La climatologie, oui.

Après, que des intérêts économiques se soient mêlés à l'affaire, c'est probable. Avec la perte d'objectivité qui va avec. N'empêche. C'est peut-être pire en face, alors. Sans compter la politique, les industriels... tous les gens qui cherchent à en tirer profit.

Reste que les débats ont duré près de quoi ? 20 ans ? Et que les climato-sceptiques mènent maintenant un combat d'arrière-garde.

Modifié par bénocard
Invité bénocard
Publié le (modifié)
il y a 35 minutes, Melvin a dit :

Franchement si tu trouves Vincent Courtillot être un mauvais conférencier, je ne peux rien pour toi. Il déroule toute une logique qui demande un effort d'écoute. Tu entendra parler de la courbe de Mann, pourtant démontrée fausse et sortie des derniers rapports du Giec, mais toujours utilisée dans le livre de Jean Jouzel qui vient de sortir.

Sur le fond je ne peux pas juger. Sur la forme je ne l'ai pas trouvé bon, mais je n'ai regardé que les premières minutes.

16:50 "Attention : la notion de température moyenne globale (je vous glisse cette incertitude qui me taraude moi-même), nous ne sommes même pas sûrs que ça signifie quelque chose". Believer spotted. J'arrête là.

Modifié par bénocard
Publié le
il y a 24 minutes, bénocard a dit :

16:50 "Attention : la notion de température moyenne globale (je vous glisse cette incertitude qui me taraude moi-même), nous ne sommes même pas sûrs que ça signifie quelque chose". Believer spotted. J'arrête là.

Effectivement la notion de T° globale n'est pas "très physique" pour une planète.

Pour chaque découverte, il y a eu des indices prégnants (si tu veux qu'on ne parle pas de preuves), là non !.
Le point de départ de cette histoire c'est le parallélisme entre l'évolution de la T° et l'évolution de la concentration de CO2 sur une courte période. Comme je l'ai déjà répété, la T° du globe est quasi plate depuis l'an 2000 alors que l'Homme a rejeté 40 % de tout le CO2 qu'il a rejeté dans l'atmosphère depuis qu'il le fait. Qu'on continue à faire des modèles climatiques en surestimant l'effet de serre du CO2 n'a aucun sens.  D'autres théories explicatives sont entrain de s'écrire.

Melvin

Invité bénocard
Publié le (modifié)

Oui oui, j'ai bien compris le débat : avant les climato-sceptiques disaient que la température augmentait pas spécialement, que c'était même pas sûr, qu'on en avait vu d'autres. Maintenant ils disent que c'est pas à cause de l'activité humaine. Après ils trouveront d'autres causes possibles, ils nieront l'impact sur l'environnement, etc, etc. Ca n'a pas de fin.

C'est pas de la science, c'est de la politique. Et là, chacun fait ce qui lui plaît (et moi je reste tranquille).

Modifié par bénocard
Invité bénocard
Publié le

Tiens regarde sur quoi je tombe.

Citation

La controverse fabriquée est une technique utilisée par les lobbies destinée à confondre l'opinion publique en lui faisant croire qu'il existe une controverse sur un sujet quelconque, alors que ce sujet fait par exemple l'objet d'un consensus scientifique. Elle consiste en le financement et la publication d'un petit nombre d'études scientifiques contredisant les résultats obtenus dans la majorité des études existantes. Créée par l'industrie du tabac dans les années 1950, cette technique est notamment utilisée par l'industrie de la pétrochimie et les secteurs agrochimique et agroalimentaire et concerne entre autres le tabac, les pesticides, les perturbateurs endocriniens, le changement climatique et le sucre.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Controverse_fabriquée

T'as palpé, avoue.

Publié le
il y a 8 minutes, Melvin a dit :

Si je m'exprime sur le sujet c'est que ça fait plus de 5 ans que je m'y intéresse et que je suis son évolution.


Pas mal ! J'en connais un (dont le pseudo commence par un K), ça fait plus de 30 ans... et à l'époque, même les militants écolos les plus engagés attendaient de voir...
mais quand on aime, on ne compte pas !

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    • @Patrick FROMENT et @Christian GIRARD ...à propos de Crowley... voici un Podcast tout récent de Radio France sur le bonhomme: https://www.radiofrance.fr/franceculture/qui-etait-aleister-crowley-l-homme-le-plus-malsain-du-monde-9137606?at_campaign=Facebook&at_medium=Social_media
    • @Sasha CRESPI Extrait de Britain's Got Talent avec le coréen Manho HAN avec son numéro sur la mode.  
    • @Gilbus et @Melvin (Jean-Claude), vous avez quand même une opinion très définitive pour un simple différent de goût... 😅 En effet, avec l'art conceptuel (...contemporain ne voulant rien dire pour moi -vu que je n'ai pas lu Nathalie Heinich😬- sinon que c'est l'art de 1960 à nos jours) l'idée passe avant l'objet: un peu comme on dépose un brevet sur une invention! Le but n’étant plus d’être esthétiquement beau, mais de te faire "penser autrement". Historiquement l'art classique voulait imiter le monde. La photographie l'a remplacé. Lorsque la machine a fait mieux que les peintres, ils se sont tournés vers une forme d'interprétation de la réalité avec les impressionnistes, les expressionnistes, les cubistes ou les surréalistes. ...on glisse déjà vers plus d'abstraction. Puis, se questionnant sur ce qu'est l'art et en déconstruisant l'image, ce sont les dadaïstes et les surréalistes qui cassent les codes. Puis les abstraits (fin 19ème siècle) comme Kandinsky ou Mondrian. Avec eux il n'y a déjà plus de sujet concret. Et, dans les années 60, l'art devient une "expérience esthétique" plus qu'une "image esthétique". Comme le décrit Deleuze, le spectateur devient le sujet d'affects et de percepts autour de ce que l'oeuvre exprime. Ce changement est aussi dû au bouleversement sociétal imposé par le capitalisme et le libéralisme associé à une manière de "privatiser les idées". (Au même titre que certains ont commencé à se payer des montres, des fringues ou des 4x4 chers ...juste pour la marque.) D'ailleurs bon nombre d'artistes contemporains critiquent eux-même cette marchandisation dans leurs oeuvres (je trouve que ce sont les bons artistes puisque leur but est de faire réfléchir au fondement même de cette forme d'art que ce soit "beau" ou pas!). Tout ça pour dire que, qu'on le veuille ou non, l'art a évolué et, avec, la façon dont le spectateur peut aborder une oeuvre. Ce déplacement de la place du public peut se vivre en étant intéressé par cette nouvelle approche ou celle-ci peut être rejetée en bloc. Qu'importe... Mais, il me semble qu'un peu de curiosité devrait, de toute façon, nous empêcher les jugements hâtifs et réactionnaires du type "un enfant pourrait le faire" ou "ce sont des escrocs". 😅 Alors pour aborder de manière sympathiques différentes oeuvres contemporaines, je vous propose la très didactique chaine Insta de Raphael: https://www.instagram.com/raphael__ft/ 😉 Un des derniers en date qui rappellera à certains une très vieille blague des années 50... remise dans un contexte capitaliste. https://www.instagram.com/p/DQ1MdmuiDEr/
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