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Vous avez aussi le droit de trouver génial le nouveau numéro de BW avec les papillons...et moi j'ai le droit de penser que c'est une "mauvaise redite" des "bisous" que j'aime beaucoup...mais je ne vous le dirai pas...car vous pourriez me détester....

Assez d'accord avec cette observation. Je n'ai pas trouvé que BW etait a l'aise dans sa technique et un surjeu qui n'est pas a mon gout. Ça manque de cohérance dans l'ensemble.

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Publié le

Et bien dit donc !! Je voudrais vous y voir moi au PGCDM présenter une bonne routine de cartes qui changent des sentiers battus, c'est facile de critiquer mais faites aussi bien et on en reparlera !!!

Publié le

Par rapport à cette "polémique" sur le tour de hans klok, j'ai moi aussi été dans un premier temps dérangé par ce débinage indirect.

Puis, je me suis souvenu que dans new wave close up, thomas hierling effectue une routine de copper silver où il finit par faire fusionner les deux pièces en une seule pièce double face qu'il laisse au spectateur.

On pourrait ici appliquer le même raisonnement, à savoir qu'on dévoile indirectement la méthode. Pourtant je me suis servi de ce final pendant très longtemps sans que personne n'ai la moindre suspicion. Au contraire, l'effet de fusion était particulièrement puissant pour mes spectateurs.

Sinon je suis totalement d'accord avec vous sur dany lary, très jolie disparition et réapparition plus que laborieuse...

Publié le
Effectivement Boris Wild a proposé quelque chose de très original d'ailleurs à part lui, connaissez-vous d'autre magiciens qui utilisent les cartes de cette manière, en en détournant l'usage ?

Modifié par Nasarov (Aujourd'hui à 17:59)

OUI !

plusieurs mais cela n'enlève rien au grand talent de Boris pour ce genre de routine; gageons que ce battement d'aile de papillon fera des ouragans outre océans

En fait , ma réaction était une question mdr ... je suis donc preneur de noms... pour enrichir ma culture .

Merci c'avance

Il existe même une hypercard-papillon :

cartepapillon.jpg

Vous trouverez cette hypercard en fouillant dans ce site extra d'objets impossibles :

http://galleryimpossible.com/

Une remarque sur la routine de Boris Wild : Boris a au moins compris quelque chose qui est la personnalisation d'un numéro. Tout le monde peut puiser dans les réserves du patrimoine magique (tours et effets classiques, techniques, méthodes, subtilités, etc.) mais encore faut-il habiller tout ça. Le numéro de Boris, sans être mirobolant du point de vue d'un magicien qui rechercherait uniquement des paramètres de haute technicité, possède une identité visuelle. Autrement dit, il serait bon de comprendre que construire un numéro (et non enchaîner des pelletées d'effets, faire des démonstrations de techniques ou croire qu'une innovation constitue en elle-même une qualité suffisante pour justifier une représentation publique), c'est surtout "raconter une histoire à sa façon". Donc Boris continue dans cette voie qui lui réussit, il est donc tout à fait normal qu'il y ait des liens, des ponts, entre ses différents numéros (The Kiss Act notamment). C'est au contraire le gage d'une cohérence me semble-t-il, comme il y a une cohérence entre l'écriture de deux sketchs différents par un même humoriste (il n'y a qu'à comparer deux textes de Raymond Devos par exemple), on appelle ça un style au bout d'un moment. Après, "on aime" ou "on n'aime pas", c'est autre chose...

Publié le (modifié)

Ce n'est que mon point de vue qui est en rien universelle et heureusement ;).

Je n'attends pas une technique de fou mais propre et la ça ne l'est pas surtout a ce niveau d'exigence. De ce qui est de la coherence je parle dans le numero lui même pas entre le kiss act et le butterfly act. La critique n'est pas forcement mechante ;).

Pour ma part je remercie ceux qui le font sur mon travail qui m'a toujours permis d'avancer, pas toujours agreable pour mon égo mais au final toujours positif.

Modifié par Niko

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    • Boston Dynamics s'engage dans une stratégie qui à terme devrait permettre à Atlas (son robot de type androïde) d'apprendre à exécuter n'importe quel type de tâche. En gros il s'agit pour Boston Dynamics de donner de l'intelligence à son robot. Car à part faire des pirouettes, il faut bien reconnaitre que pour l'instant il ne fait pas grand chose d'autre (je caricature à dessein). Pour résumer très très simplement, l'idée est de reprendre ce qui a fait le succès de l'IA, c'est à dire nourrir d'une grande quantité de connaissance un système à apprentissage. Dans le cas d'Altas, il s'agirait de lui faire regarder des humains qui exécutent une tâche particulière pour qu'il puisse ensuite la réaliser lui-même. L'objectif est d'aller au delà de ce qui se fait déjà comme les robots de peinture qui ne font que reproduire fidèlement les gestes d'un ouvrier. L'homme a des capacités d'adaptation et d'initiative que n'a pas un robot conçu pour une tâche répétitive bien particulière. L'idée est de donner au robot ces capacités. Le défi semble de taille. Mais qui imaginait il y a encore peu ce que permet aujourd'hui l'IA. Plusieurs axes de recherche sont envisagés par les ingénieurs de Boston Dynamics. Je vous laisse les découvrir dans cette vidéo (avec Zach Jacowski, le responsable d'Atlas) : Bob
    • Je recherche pure cup de tcc, si vous vous en séparez, contactez moi !
    • Livre en français de 530 pages , bon état, éditions Georges Proust Contient la totalité des réflexions théoriques menées par son auteur depuis  une cinquantaine d’années. On y trouvera les versions définitives de textes parfois déjà publiés (surtout en espagnol, mais presque pas en français) ou de développements ayant nourri, au gré des années, les séminaires-conférences de Juan TAMARIZ dans le monde entier. Il y a en tout 12 chapitres (et 3 appendices). Il n’est pas possible, dans cette petite recension, de résumer un livre qui contient un florilège impressionnant de thèses et de sujets traités. Prix du Neuf 89 euros , vendu 65 euros FDPI envoie en mondial relai
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