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Publié le

Ce qui est intéressant, c'est qu'il parle justement de tout ce qu'il y a avant le restaurant : comment le trouver, comment rentrer en contact avec le patron, par quel moyen, que dire au téléphone, qui demander, à quel moment appeler, quels tours lui présenter lors du RDV etc. (le genre d'infos que l'on ne trouve pas vraiment dans d'autres bouquins du genre comme celui de Stone - ceci n'est pas une critique).

Oh Bonne Mère, ça sert à quoi que Nourdine y se décarcasse ? :mad:;) :

Nourdine

La magie en restaurant

216 pages format, 17 x 23,5 cm

[…] D’abord, l’essentiel, à savoir tout ce qui concerne la profession indépendamment des secrets magiques : Comment négocier des contrats dans des milieux dits populaires ou autres, l’approche commerciale, le démarchage, quels restaurants et comment ?, les premiers contacts, l’argumentaire, les dates et les fréquences des prestations, les tarifs, le prix exact des cachets selon les types de soirées, les contrats, la publicité, les affiches, les supports marketing (fabrication et utilisation), les journaux, la préparation, le rapport avec le personnel de la salle, le repas, le trac, la tenue vestimentaire, la symbolique des couleurs, la prestation elle-même, l’attitude, la magie appropriée au contexte, l’adaptation aux contraintes, la « scène » au resto, la première table, l’entrée en matière, l’environnement, tapis ou pas tapis, la propriété privée, les casse-pieds, l’image de soi, le pourboire…

[…] Cette bible de la magie en restaurant propose une approche marketing permettant de se présenter comme magicien et pas comme représentant de commerce.

Pour le reste c’est ici :

http://www.virtualmagie.com/ubbthreads/ubbthreads.php/topics/239576/1

C.G. :)

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Membres les + Actifs

Publié le

Effectivement, honte à moi ! ;)

Je connais le livre de nom, mais je ne le possède pas encore. Il figurait déjà dans ma liste des futurs achats, mais la je viens de le mettre en première position lol !

Cette bible de la magie en restaurant propose une approche marketing permettant de se présenter comme magicien et pas comme représentant de commerce.

C'est marrant, Jay Sankey a plutôt tendance à faire l'inverse. Il n'hésite pas à parler de la magie comme un moyen de promotion, et déconseille dans certains cas d'employer le terme "magicien" qui pourrait effrayer un restaurant qui n'a pas l'habitude de ce genre d'animation ("Quoi, un magicien ? Il va faire apparaître des lapins qui vont courir partout et va faire tomber ses foulards dans la soupe des mes clients ?" :) ).

Merci en tous les cas pour le rappel de ce livre ! Avec ces 4 références, notre ami Rubin devrait y trouver son compte ! :)

Publié le

Juste une question à l'initiateur de ce post :

Salut Rubin ! Depuis combien de temps pratiques-tu la magie et le table en table ? Peux-tu un peu nous parler de ton expérience ?

Et concernant le Jury, et bien je dirais que c'est comme un jury pour un concours, pas trop de blabla et être synthétique. Donc a priori, privilégier l'effet. Si le jury n'est pas un adepte des magiciens et des spectacles magiques, rien ne t'empêche de sortir un classique !

Allez, bon courage à toi !

Jeannot57

Publié le

C'est un jury de profanes ou un jury de magiciens ? Ou un jury de profanes qui ont l'habitude de voir de la magie ?

Arrêtez-moi si je me trompe ... les tours techniques, il n'y a que nous qui savons qu'ils sont techniques.

Le public, que le tour soit technique ou non, ce qu'il voit c'est l'effet. Il n'en sait rien lui s'il y a 3 LD, 2 sauts de coupe, une roulade et un double saut périeux ...

Si tu ne le sens pas, pourquoi tenter le diable ? Surtout si c'est un bon contrat.

Après, ce n'est pas parce qu'un tour est technique que tu auras forcément plus d'impact.

Fais ce que tu maîtrises.

Publié le

Je sais que ce n'est pas l'objet de ta question mais cela me semble TRES IMPORTANT !!!!!

Il s'agit de faire 3h00 de close-up (avec des pauses), il y aura environ 30 tables.

Soit 6 min par table sans pause et avec un enchaînement immédiat d'une table à l'autre sans se recharger.

Si tu compte faire quelques pauses (au moins 3 en 3 heures)cela fait du 4 min par table soit à peine un tour.

Tout ça pour te conseiller de prévenir ton employeur que les conditions sont particulièrement extrèmes, le risque est que tu ne fasse pas toutes les tables. Et si tu en fait 29, soit certain que tous les clients de la 30ème table iront voir le responsable de la soirée pour se plaindre et qu'au final c'est à toi que l'on fera des reproches...

Il serait sage d'informer l'organisateur qu'il vaudrait mieux engager 2 magiciens. La simple division du temps par le nombre de table est un argument fort.

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

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    • Comment la FISM définit-elle un « trick » ?  Et un « act » ? Est-ce qu’un tour comportant des répétitions d’un même effet sous des conditions de plus en plus restrictives par exemple peut suffire à bâtir un « act » ? Sait-on si les participants reçoivent en plus du règlement disponible sur le site de la FSIM des directives plus détaillées ? *** Si j’ai bonne mémoire (possiblement défaillante vu l’avalanche de magie dévorée pendant 6 jours) l’italien Piero VENESIA n’a présenté qu’un seul tour (l’effet où des aiguilles et autres objets avalés par le magicien-fakir sont régurgités enfilés sur un fil) ce qui ne l’a pourtant pas empêché de tirer son épingle du jeu avec le 2e Prix en magie de salon. *** Description du numéro pour qui veut : À l’entame de ce numéro muet, le petit disque lumineux d’une poursuite perce le noir de scène pour révéler progressivement Piero VENESIA tiré à quatre épingles, pieds serrés, une main derrière le dos. Comme le disque de lumière va s’agrandissant, il révèle à sa droite une de ces anciennes machines à coudre, de celle qu’avait ma grand-mère, encastrée dans une petite table en bois aux pieds ornementés en fer, avec une courroie de cuir qui relie le mécanisme d’entrainement de l’aiguille à un large pédalier métallique situé sous la table. Nous sommes donc dans une maison de couture. S’agit-il d’un client ? Non : et la posture semblable à celle d’un valet au garde-à-vous tout prêt à exécuter une courbette, et la douzaine d’aiguilles qui accrochent bien la lumière piquées dans le revers de tissu sombre de sa veste, lèvent l’ambiguïté : Piero VENESIA est le petit tailleur. Une première aiguille avalée pour ainsi dire accidentellement, et Piero qui ne s’en trouve pas plus mal, se pique d’avaler toutes les autres. Un instant on a pu craindre que chaque nouvelle aiguille avalée allait être l’objet d’une pantomime propre, question de « meubler » le numéro (comme on l’a vu dans d’autres « acts » avec des textes trop longs et parfois superflus ou -surtout en magie scène- avec des jongleries et autres pas de danse quelque peu « plaqués » entre deux effets proprement magiques). Mais non, Piero VENESIA accélère le mouvement pour avaler toutes ses aiguilles (avoir toutes les aiguilles préalablement piquées dans ses revers participe de la clarté de l’effet) ; et de là, il amorce son crescendo, à la fois en variant taille et nature des objets avalés, mais aussi en accentuant le côté « tour de force »  des conditions dans lesquelles ces objets sont ingérés. Ainsi plutôt que d’avaler une à une des aiguilles, un petit faisceau de celles-ci sera placé dans un verre, mêlé à du vin, et le tout sera avalé d’un trait. Et, tant qu’à faire, pourquoi ne pas avaler au passage le bouchon de liège du carafon de vin. Repu, Piero s’allume une cigarette de fin de repas qu’il gobe avec son allumette. Restait la question du fil, blanc, bien visible depuis le début du numéro sur la machine à coudre : Piero s’en saisit, le rompt, et le convertit en fil dentaire d’après repas, avant de le manger aussi. S’ensuit la classique régurgitation un à un de tous les objets que le magicien retire dramatiquement de sa bouche. *** Autant qu’on puisse en juger Piero VENESIA emploie ici un « décalage temporel » (D.ORTIZ) : c’est-à-dire que la révélation de l’état final débute (avec les premières aiguilles qui apparaissent sur le fil extrait de la bouche -> relâchement du spectateur , la magie a opéré, plus la peine de chercher le "truc") alors que la méthode pour produire l’effet n’est pas terminée. Malheureusement pour Piero VENESIA vendredi dernier le jury l’a sans doute épinglé à cet instant précis, faute à un mouvement curieusement chorégraphié qui attire trop l’attention sur lui et ne fournit pas la couverture suffisante à la dernière manœuvre nécessaire pour le final. Je viens de réaliser qu’une version de ce numéro était en ligne et ce moment clef y fait d’ailleurs l’objet d’un plan de coupe opportun : https://www.youtube.com/watch?v=xL2eSiXNZaM&ab_channel=PieroVenesia Rien de plus suspect pour un magicien que de dérober à la vue des spectateurs ses mains, qu’elles farfouillent trop longuement dans ses poches, sous la table ou dans son dos. Piero VENESIA offre ici une intéressante solution à deux niveaux : ·         Par sa pose initiale, celle d’un groom au garde-à-vous, d’un valet de pied, Piero VENESIA fixe l’image d’une posture archétypale, et si plus tard il l’adopte à nouveau, une main derrière son dos, cela nous parait tout naturel. ·          De plus placer une main derrière son dos est ici davantage perçu comme signe de franchise - pour exposer à la vue de tous le plus possible l’objet avalé ou régurgité.
    • Etant donné la direction que cela a pris, à l’évidence, il apparait logique de continuer à alimenter en ressources le système : livres, DVD, vidéo… Ainsi qu’en données annexes : Meta data sur les techniques et les routines. Plus c’est riche, plus les recherches seront intéressantes… Pour l’instant, j’ai limité l’interaction avec les techniques et les routines. Mais sur la partie d’administration, on peut passer d’un livre à une routine ou une technique qui nous mènent ensuite à des routines, des livres ou des techniques, etc… Ce type de données, c’est ce qui est le plus chronophage. Cela ne se voie peut-être pas mais cela gère les alias des routines ainsi que les traductions des noms des techniques. Car je me suis retrouvé assez souvent à être face à un nom alternatif d’une technique que je ne connaissais pas. Et dans les livres, certains utilisent un terme et pas les autres ou inversement. Il y a le même souci avec les routines qui sont encore plus difficile à recouper. En dehors des données, il y a les fonctionnalités. Aujourd’hui, lorsque l’on est connecté, la recherche se fait seulement sur les livres (et autres ressources) que l’on a. Cela prend un peu de temps d’aller indiquer que l’on a telles ou telles ressources mais ensuite la recherche s’y limite. A part cela, j’ai déjà fait des sites internet auparavant avec du contenu participatif. Notamment sur le cinéma. Du coup, je m’étais dit que j’allais remettre en place un système de ce type permettant aux personnes de contribuer directement, particulièrement sur l’aspect Meta data avec une modération en amont évidemment. Aujourd’hui, il faut surtout que j’améliore certaines parties de manière à assurer la suite mais cela n’empêche pas déjà de me fournir des sommaires sous une forme exploitable (simplement des photos lisibles en réalité) reprenant les informations bibliographiques et le sommaire lui-même.
    • C'EST ARRIVE DEMAIN (1944) Un journaliste reçoit chaque jour le journal du lendemain ce qui lui permet de créer des scoops ! En parallèle, sa dulcinée fait de la voyance. BEYOND THE INFINITE TWO MINUTES (2020) Peut-être que cela sort du cadre... Ou pas ! Un homme peut voir 2 minutes dans le futur via l'écran de télévision qui est installé dans son café. Il peut donc communiquer avec son "moi" du futur. Ce dernier communique avec son "moi" du passé.
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